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MaxPierrette
178 abonnés
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1,0
Publiée le 14 décembre 2008
Quand Frank Martin passe la troisième sur grand écran, c’est presqu’un pléonasme de dire qu’il va très loin, et ce sur tous les tableaux : géographiquement d’abord, puisque sa nouvelle aventure le mène de Marseille à Odessa (Ukraine), où il doit livrer un colis dont il est le dernier à découvrir la nature; sur le plan de la vraisemblance ensuite, puisque ce “Transporteur 3” circule un peu trop souvent sur l’autoroute du grand n’importe quoi avec, dans son coffre, des idées pour le moins étranges, à l’image de ce bracelet attaché au poignet du héros, et qui l’empêche de trop s’éloigner de sa voiture, sous peine de finir en une multitude de morceaux. Une contrainte qui donne pourtant naissance à une poursuite des plus jubilatoires, lorsque Frank se retrouve en train de courir après son propre véhicule. Une scène déjantée à souhait, qui fait d’autant plus regretter son statut de rare bonne idée du film. Car, à côté de ça, le manque d’originalité, le sur-découpage des scènes d’action et la platitude des dialogues font que l’on s’ennuie à plus d’une reprise, malgré le charisme de Jason Statham, ou la classe de Robert Knepper (“Prison Break”), méchant hélas sous-employé. On a quand même déjà vu pire que ce “Transporteur 3”, mais il va peut-être falloir penser à se garer là, non ?
Pour être sympa on va dire que ce troisième opus de célèbre transporteur a un peu plus d'humour que les autres, que le héros est un peu plus humain, que les cascades et poursuites en voitures sont toujours à 200 à l'heure, que la photo est belle...Pour le reste rien de nouveau, production Besson/Europacorp. traditionnelle : pas d'histoire, pas dialogues, pas d'interprétation, pas de metteur en scène...Le seul intérêt (pour moi) reste encore et toujours le très sexy JAAAASOOOOONNNN Statham...une étoile rien que pour ça...et c'est cher payé...
Et un tour de piste supplémentaire pour "Le Transporteur" qui change de réalisateur (exit Louis Leterrier, désormais réalisateur bankable à Hollywood et remplacé ici par Olivier Mégaton) mais pas de style… bien au contraire ! Le producteur Luc Besson ayant visiblement décidé d’engranger les dollars sans trop se fouler, on assiste à une succession de pseudo-scènes d’actions plus improbables les unes que les autres (l’action man invulnérable n’impressionne plus personne aujourd’hui) quand elles ne flirtent pas carrément avec le ridicule (les stripteases de Frank !) rythmées par une BO attendue et des dialogues bas de plafond. Et ne parlons même pas de l’intrigue basique qui ne voit pas plus loin que son pitch (le transporteur ne doit pas s’éloigner de la voiture sinon BOUM !). Quant au casting, autour d’un Jason Statham revenu cachetonner une 3e fois (alors qu’il a été tellement meilleur ailleurs !) et un François Berléand sous-exploité, on retrouve le méchant Robert Knepper qui nous fait du T-Bag, Jeroen Krabbe en dirigeant ukrainien ou encore Natalya Rudakova dans le rôle de la lolita si chère à Besson. On pourra toujours rappeler que les 2 premiers épisodes n’étaient pas forcément d’un niveau très élevé mais ils avaient une petite valeur ajoutée (l’effet de surprise et le charme de la Provence pour le 1er, la mise en scène pour le 2e) qui manque à ce 3e opus, basique à tous les niveaux et qui ne mérite donc pas une 2e étoile. J’espère seulement qu’il s’agissait des dernières aventures de Frank Martin !
Comme dans le premier opus de la série, le casting est parfait (les méchants surtout, avec Robert Knepper en tête) car l'héroïne a moins de présence que Shu Qi, le « colis » du premier volet). Comme dans le premier volet, le scénario est absent. Et autant, en 2002, pour ma critique du premier volet, j'étais conciliant et gentil, autant en 2008, je suis intransigeant avec ce genre « d'oubli ». Mais en plus, on frise le ridicule à plusieurs moments par des scènes totalement irréelles spoiler: (exemple : la poursuite en vélo à travers un bâtiment et l'arrivée du héros directement dans sa voiture, le redémarrage de la voiture après son immersion ou les scènes du train) . Il y a tellement mieux au cinéma en ce moment que, si vous voulez que le producteur Luc Besson arrête enfin cette franchise, transmettez lui un message en choisissant d'aller voir un autre film.
Un navet au scénario bateau, aux dialogues risibles et au montage horripilant. Les acteurs sont blasés, les situations peu crédibles. Seules les scènes d'action valent le coup, malgré un montage encore plus épileptique que celui des films de Michael Bay... L'idée du bracelet explosif est amusante mais Le transporteur 3 est trop appuyé par des effets surannées, qui font peine à voir. Un mauvais film, comme on en voit trop souvent.
Aïe... Le fait que Megaton reprenne la série en main faisait plaisir... Le fait que le film soit vendu en + sentimentale présageait du bon film d'action qui reste intelligent... Mais non, après un 2 décevant, voilà un 3 décidément globalement mauvais : Scènes d'action mal fichu (accéléré la plupart des courses poursuites c'est vraiment du gachis) et toutes + grosses les une que les autres... Franck est désormais un surhomme, no limit dans les abérations, bref on en rigole + qu'autre chose. Si vous voulez du pur film français/prod Besson voyez TAKEN qui est un pur bijou
Un film sans surprises avec un scenario grotesque, des dialogues à dormir debout et quelques cascades improbables. Un film d'action comme il en existe des centaines.
L'intrigue tarde à se mettre en route sans parler des discussions incessantes pour ne garder que quelques scènes d'action. Luc besson ( le scénariste ) signe une grosse daube étalé pendant 1h40 pour 2 bagarres et 3 courses poursuites.
Les dialogues ce n'est vraiment pas ça, l'histoire est peu emballante, l'action moins mémorable (à part la course poursuite à travers les camions). On comprend bien que les scénaristes essaient de nous captiver par le biais de la sublime ukrainienne (Valentina - Natalya Rudakova) pour nous faire oublier la faiblesse abyssale du scénario. Mais cela ne prend jamais, notamment à cause d'une subtilité aux abonnés absents et de répliques d'une bêtise rarement atteinte ! On se croirait parfois dans une vidéo Jacquie et Michel... L'osmose entre le héros (Franck Martin) et l'héroïne du 2e épisode est bien loin... C'est, en définitive, ultra niais et très décevant, et le plus nul épisode de la trilogie !!
Le 3ème volet se situera légèrement en dessous des précédents. On a compris le délire, c'est toujours la même mélodie, "bim", "bam", "boom", "dans tes dents", les producteurs auraient pu en commander 12 tant qu'à faire. On ne s'ennuie pas car les scènes d'action sont belles et biens présentes et arrivent donc à nous tenir éveillé, c'est d'ailleurs pour cette unique ingrédient qu'on le regarde, mais ente nous on n'apprend rien, on ne ressent rien, on se zombifie sur des castagnes répétitives qui composeront la majorité de ce vide scénaristique. L'originalité s'en est allée (le problème des suites me direz-vous).
Suite à un premier opus moyen et à un second nullissime, ce nouveau volet qui clôture enfin une trilogie des plus désastreuse arrive à point. Navrant, désolant et même affligeant, "Le Transporteur 3" est une honte pour le cinéma d'action contemporain qui n'est pourtant déjà pas la référence de qualité du 7ème art.
Comme à son habitude on retrouve un Jason Statham dans la peau d'un personnage caricaturé au limite du possible qui parvient à poursuivre une Audi avec un BMX tout en trouvant le temps de faire une ou deux blagues "comiques". En compagnie cette fois-ci de Natalya Rudakova qui incarne le rôle classique du personnage féminin secondaire qui gâche 80% des films d'action, le héros se prend à éprouver des "sentiments" pour la sous-douée qui lui sert de copilote.
Dialogues lourds et d'un niveau élémentaire que tout enfant en mesure de tenir un stylo aurait pu écrire, les échanges sont au minimum qualifiables de délit littéraire. Bien entendu, il ne fallait pas s'attendre à se retrouver en face d'un scénario lynchien et encore moins à des interactions shakespearienne mais plutôt à des scènes d'action fortes en intensité et en violence.
Il n'en rien. Statham survole tous ses adversaires en enchaînant KO sur KO plus rapidement qu'un gorille mis en cage avec des footballeurs italiens. Clichés condensés et aromatisés à la sauce adolescent attardé en mettant en avant un personnage vide que l'on apprend à connaître en moins de cinq minutes, il est sûr que le "Transporteur 3" se joindra au Hall of Fame des suites périmées en compagnie d'"Hyper Tension" dans la section Action/Statham.
Un film d'action moyen qui est à l'image des productions de Besson, c'est un peu spectaculaire(en grossissant de temps en temps au détriment de la crédibilité) mais ça ne vole pas très haut avec des dialogues pas très inspirés et un déroulement de l'histoire sans surprise.
Le Transporteur 3 ressemble à un spot publicitaire vantant les mérites de l’automobile américaine. En ces temps de crise, c’est très noble. N’empêche qu’une pub d’1h45, aussi puissante et tape-à-l’œil soit-elle, ça reste long. Surtout quand on s’est payé une page entière sur des cônes glacés et du pop corn avant…
Autant les 2 premiers opus avaient le mérite d'être divertissant autant cette suite est assez nulle. L'action est pas terrible et le rythme reste assez mou. La jolie valentina est des plus énervantes dès qu'elle parle (et elle parle énormément).
Encore un navet de la production Besson qui pense que couper ses scénes de facon clip rend dynamique l'action et stylistique or il se fout un gros doigt dans l'oeil et nous pond un schmilblick de cascade complétement à la ramasse qui arrive à légérement divertir pour peu qu'on ait quelques verres dans le nez mais pas trop sinon on risque l'extraction forcée.Passons également les grosses longueurs entre tout ca avec des dialogues et une histoire d'amour à mourir de rire.Bref espérons que le transporteur s'arrétera là.