Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
15 critiques presse
L'Obs
par Pascal Mérigeau
Lake Tahoe est cinéma. Il ne cesse de l'être, avec une assurance et une énergie qui font plaisir à regarder (...) Eimbcke n'a pas 40 ans, il vous demande quatre-vingts minutes de votre vie, qui vous paraîtront incroyablement courtes et vous dureront très longtemps.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
Libération
par Bruno Icher
Fernando Eimbcke mêle adroitement la tension née de ses plans interminables à un burlesque presque toujours hors champ. A cet égard, l'utilisation systématique de longs écrans totalement noirs, rendant l'action par le son, est un petit bonheur de drôlerie.
La critique complète est disponible sur le site Libération
MCinéma.com
par Hugo de Saint Phalle
Lake Tahoe garde ce côté tendre, léger et terriblement attachant dont il faut espérer que Fernando Eimbecke fasse sa marque de fabrique. Le cinéaste n'en est qu'à son deuxième long métrage... Vivement la suite !
Cahiers du Cinéma
par Christophe Beney
Chaque lieu capté en un unique plan large (...) et un cadre toujours fixe, à de rares mais précieuses exceptions près (...) D'abord film de surface pure (...) Lake Tahoe gagne en profondeur psychologique à mesure qu'il gagne en profondeur de champ.
La critique complète est disponible sur le site Cahiers du Cinéma
Ciné Live
par Xavier Leherpeur
Voir le site www.cinelive.com
La critique complète est disponible sur le site Ciné Live
La Croix
par Arnaud Schwartz
Fernando Eimbecke signe un film magnifique de puissance et de simplicité. (...) [Le film] témoigne de la force retrouvée du cinéma mexicain.
La critique complète est disponible sur le site La Croix
Le Monde
par Jacques Mandelbaum
Lake Tahoe est un tendre mémento mori en même temps qu'un émouvant roman d'éducation.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Les Inrockuptibles
par Vincent Ostria
Eimbcke transcende l'anecdotique pour fabriquer de formidables vignettes hyperréalistes, des épiphanies drôles et subtilement cruelles. Cela s'appelle le style.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Paris Match
par Christine Haas
(...) l'émotion prend le spectateur au dépourvu et la cavale éperdue se transforme en un étonnant parcours initiatique. (...) Son [Fernando Eimbcke] cinéma contemplatif (...) porte en lui la promesse d'un futur grand réalisateur de la nouvelle vague mexicaine.
La critique complète est disponible sur le site Paris Match
Télérama
par Pierre Murat
La gravité douloureuse du deuxième film de Fernando Eimbcke (...) est ponctuée d'éclats de malice inattendus (...) et d'une tendresse impérieuse, très néoréaliste à l'italienne.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Chronic'art.com
par Julien Abadie
Eimbcke traduit failles et doutes par la seule entremise des images et de leur défilement fragmenté. (...) Ce rapport d'un corps à des plans trop grands en dit en tout cas d'avantage sur la perte que les habituelles démonstrations lacrymales du cinoche tiers-mondiste.
La critique complète est disponible sur le site Chronic'art.com
Positif
par Grégory Valens
(...) Le sens du cadre du cinéaste, sa direction d'acteurs sensible (...), le travail soigné sur la lumière et les couleurs compensent la lourdeur du propos (...) et la lenteur épuisante de plans conceptuels interminables.
La critique complète est disponible sur le site Positif
Première
par Isabelle Danel
Ce deuxième long d'un Mexicain découvert à la Semaine de la critique en 2004 avec "Temporada de patos" distille une petite musique douce-amère à l'humour subtil.
La critique complète est disponible sur le site Première
Studio Magazine
par Thomas Baurez
Voir la critique sur www.studiomag.com
La critique complète est disponible sur le site Studio Magazine
TéléCinéObs
par Nicolas Schaller
Eimbcke prétend rechercher la pureté formelle; il trouve l'ennui pur et simple.
L'Obs
Lake Tahoe est cinéma. Il ne cesse de l'être, avec une assurance et une énergie qui font plaisir à regarder (...) Eimbcke n'a pas 40 ans, il vous demande quatre-vingts minutes de votre vie, qui vous paraîtront incroyablement courtes et vous dureront très longtemps.
Libération
Fernando Eimbcke mêle adroitement la tension née de ses plans interminables à un burlesque presque toujours hors champ. A cet égard, l'utilisation systématique de longs écrans totalement noirs, rendant l'action par le son, est un petit bonheur de drôlerie.
MCinéma.com
Lake Tahoe garde ce côté tendre, léger et terriblement attachant dont il faut espérer que Fernando Eimbecke fasse sa marque de fabrique. Le cinéaste n'en est qu'à son deuxième long métrage... Vivement la suite !
Cahiers du Cinéma
Chaque lieu capté en un unique plan large (...) et un cadre toujours fixe, à de rares mais précieuses exceptions près (...) D'abord film de surface pure (...) Lake Tahoe gagne en profondeur psychologique à mesure qu'il gagne en profondeur de champ.
Ciné Live
Voir le site www.cinelive.com
La Croix
Fernando Eimbecke signe un film magnifique de puissance et de simplicité. (...) [Le film] témoigne de la force retrouvée du cinéma mexicain.
Le Monde
Lake Tahoe est un tendre mémento mori en même temps qu'un émouvant roman d'éducation.
Les Inrockuptibles
Eimbcke transcende l'anecdotique pour fabriquer de formidables vignettes hyperréalistes, des épiphanies drôles et subtilement cruelles. Cela s'appelle le style.
Paris Match
(...) l'émotion prend le spectateur au dépourvu et la cavale éperdue se transforme en un étonnant parcours initiatique. (...) Son [Fernando Eimbcke] cinéma contemplatif (...) porte en lui la promesse d'un futur grand réalisateur de la nouvelle vague mexicaine.
Télérama
La gravité douloureuse du deuxième film de Fernando Eimbcke (...) est ponctuée d'éclats de malice inattendus (...) et d'une tendresse impérieuse, très néoréaliste à l'italienne.
Chronic'art.com
Eimbcke traduit failles et doutes par la seule entremise des images et de leur défilement fragmenté. (...) Ce rapport d'un corps à des plans trop grands en dit en tout cas d'avantage sur la perte que les habituelles démonstrations lacrymales du cinoche tiers-mondiste.
Positif
(...) Le sens du cadre du cinéaste, sa direction d'acteurs sensible (...), le travail soigné sur la lumière et les couleurs compensent la lourdeur du propos (...) et la lenteur épuisante de plans conceptuels interminables.
Première
Ce deuxième long d'un Mexicain découvert à la Semaine de la critique en 2004 avec "Temporada de patos" distille une petite musique douce-amère à l'humour subtil.
Studio Magazine
Voir la critique sur www.studiomag.com
TéléCinéObs
Eimbcke prétend rechercher la pureté formelle; il trouve l'ennui pur et simple.