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lionelb30
446 abonnés
2 604 critiques
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2,5
Publiée le 14 janvier 2012
Mitige.C'est le sentiment a la fin du film.On se laisse emporter par le jusqu'au boutisme du role d'Yvan Attal dans ce film malgres un scenario et une histoire pas vraiment credible surtout a la fin.
le film durant sa premiere partie est vraiment excellent, mais après le scenario part dans le n'importe quoi, d'un drame social avec la délocalisation d'une usine, on attérit sur une affaire de trafic d'armes international melant de hautes personnalités notamment le ministre des affaires étrangères...
cinedidou.blog4ever.com A Marseille, un patron s'apprete à délocaliser son usine et à détourner deux millions d'euros en liquide ! Un ouvrier entend par hasard cette conversation que le patron a avec une grosse ponte du coin... Ecoeuré, il ne lui en faut pas plus pour élaborer avec son meilleur ami en situation précaire depuis son licenciement trois ans auparavant, un braquo qui va très très mal tourner !
Un film d'action, sans aucun doute, on est pris dans la tourmente avec les acteurs qui se mettent dans une mélasse pas possible à laquelle ils vont bien avoir du mal à se sortir ! Le trio Attal Cornillac Seignier est excellent comme bien souvent ! A voir sans nul doute : 14 sur 20 !
On ne s'ennuie pas, il y a de l'action, de bon acteurs, sauf Yvon Attal qui en fait un peu trop, mais beaucoup d'incohérences qui nuisent à la crédibilité de l'ensemble. Le dénouement laisse aussi à désirer, en ajoutant au conflit social et à la malversation financière une affaire d'état...ça fat beaucoup tout de même....
À trop vouloir démontrer l’inacceptable et dénoncer les injustices sociales, Christophe Ruggia se perd dans son propre scénario. Alambiqué, invraisemblable et inutilement violent celui-ci déraille souvent et certaines scènes frisent la limite du ridicule. Je n’ai pas été pris une seule seconde par cette chronique sociale, pourtant au faîte de notre triste actualité. Des trois principaux protagonistes, Mathilde Seigner s’en tire plutôt bien. Ses partenaires font tout ce qu’ils peuvent pour sauver le film d’un naufrage au beau milieu des calanques, sans arriver toutefois à me sauver d’un ennui profond. http://cinealain.over-blog.com/article-dans-la-tourmente-94930410.html
Comment se sont il investis dans cette histoire bourrée d’incohérences???? si l'idée de départ semblait alléchante, les acteurs essaient tant bien que mal de sauver ce film sans hélas y parvenir.....très déçu...le seul bon point du film , de jolies vues des calanques, mais était-ce vraiment le propos?
Yvan Attal a contre emploi c'est intéressant après cela part un peu en sucette mais l'idée de départ sur la délocalisation et la mafia était intéressante.
Ce film, allie les cliché les plus monstre, avec une histoire invraisemblable. Yvan Attal joue tellement mal qu'on voudrait le baffer. Le tout sur des décors dégueulasses, des plans foireux. Bref je suis partie au bout d'une heure.
Franck ,Farid, Azouz travaillent dans la même usine. Une usine en difficulté qui est menacé de fermeture. Franck entend une conversation : l’usine ferme à l’insu des ouvriers et le patron va détourner 2 millions d’euros. Franck propose à Farid, Azouz et à son ami Max, ancien ouvrier licencié, de voler l’argent. Seul Max accepte…
Dans la tourmente est un drame social dans l’air du temps. Dans la tourmente raconte l’histoire d’ouvriers oubliés et d’un patron corrompu ! L’idée de départ est intéressante et d’actualité . Le drame social se transforme en thriller. Les 2 tiers du film se tiennent. Mais pour conclure le film se termine par une course poursuite invraisemblable et le final est peu crédible .. malgré la beauté des paysages naturels du sud de la France.
Le casting propose de bons comédiens mais leurs rôles sont trop effacés, comme celui de Abel Jafri (Farid)… ou trop caricaturaux (Clovis Cornillac, Yvan Attal).
Tout d’abord, le trio de comédiens, Clovis Cornillac qui est pratiquement dans toutes les scènes, (je ne suis pas fan). Emmanuel Seigner en épouse “modèle” qui défend son mari bec et ongles. Yvan Attal, malgré son personnage trop caricatural, est parfait. Il est constamment sur le fil du rasoir et on ne sait pas trop ce qu’il est capable de faire…tout celà bien sûr avant que son personnage ne parte en vrille dans un scénario invraisemblable . Autour d’eux, Abel Jafri et Azouz Begag avec des rôles qui auraient mérités plus d’ampleur.
Dans la tourmente est un drame social dans l’air du temps qui malheureusement part en vrille. Dommage …et puis c'est quoi cette affiche ???
C'est sûr, ce n'est pas un chef d'oeuvre, mais j'ai passé un très bon moment devant ce thriller sur fond social de délocalisation qui trouve de nombreux échos dans notre actualité. Je trouve que le mélange des genres fonctionne bien, en tout cas je suis resté happé par l'intrigue jusqu'à la fin.
L'histoire allie curieusement le plus invraisemblable comme le plus attendu et les pires lieux communs. Le jeu des acteurs est si outré qu'on en oublie qu'ils avaient du talent, au départ. L'image est métallique, comme si elle sortait d'un de ces premiers caméscopes numériques. Le son est brouillon autant que heurté. Ruggia film la société la société française comme si elle lui était radicalement étrangère, et s'adresse à nous spectateurs comme à des demeurés. Mention spéciale de la grossièreté cinématographique : Cornillac est un ouvrier, donc il porte un bleu, et sous le bleu, devinez quoi ? Un Marcel blanc, forcément...