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Un visiteur
1,0
Publiée le 16 janvier 2012
le plus mauvais film d'au moins ces 10 dernières années réalisation nulle ,scénario très mauvais mais qu'allaient donc faire dans cette galère ces 3 acteurs que j'aime bien ??
Le début du film avec le plantage du décor est plutôt pas mal. Mais par contre la suite et surtout la fin c'est un plantage : on le voit venir énorme la boulette de Attal lors du braquage ; Attal au volant de sa Audi se prend pour un mélange de Taxi et Fast & Furious afin d'échapper aux voitures de flics ; et puis magistral la course cache-cache dans les calanques... et j'en passe ! Malgré tout cela, j'ai ressenti parfois de l'ennui durant le film.
Au départ cela commence plutot bien. Des ouvriers en plein conflit pour sauver leur usine puis une opportunité pour certains d'entre eux de voir leurs vies changer en braquant le patron voyou. Après on passe à la partie thriller cela tourne mal engrenage de mauvaises décisions et chasse à l'homme et MALHEUREUSEMENT !!! On termine dans une affaire d'Etat invraisemblable avec les méchants agents secrets et les dossiers à recuperer bref du grand n'importe quoi !!! Dommage les acteurs sont plutôt bons surtout Yvan Attal.
Pas terrible. Très long, avec les images dans le noir. La deuxième moitié du film est meilleure, mais le film reste creux et sans intérêt, malgré une excellente prestaton deC.CORNILLAC et Y.ATTAL. A voir une fois
Dans la tourmente est un thriller mi figue mi raisin, qui part bien mais s'enfonce dans des situations compliquées et improbables. L'émotion, la tension tout est là peut être un peu trop et trop surjoué par les acteurs. Bref, le fond est bon mais on se perd dans les mélanges
Entre le drame social et le thriller le film balance. Cependant le scénario peu crédible donne du plomb dans l'aile à cette réalisation énergétique (bien que trop américanisée)! Et même si Attal est caricatural dans ce rôle de psychopathe il ne cesse de surprendre par la puissance de son talent d'acteur! Clovis Cornillac est pour moi la surprise de ce film peut être est ce l'association que Ruggia en a fait entre une Mathilde Seigner en demi teinte et un Attal excellent!
Christophe Ruggia nous livre un bien piêtre film .Moi et mon amie nous sommes ennuyés du début à la fin ! Nous regrettons nos 8 euros (par personne, faut il le préciser par ces temps qui courent) pour cette séance. En tout cas le titre du film est très bien choisi, rendons grâce à son réalisateur, ce film aura au moins en effet le mérite de plonger ses quelques rares spectateurs dans la tourmente d'un scénario pitoyable !
Annoncé sous de nombreuses plumes professionnelles comme "thriller social" (sic), "Dans la tourmente" n'a de "social" à vrai dire que le prétexte de départ (trois ouvriers soudeurs d'une entreprise fabriquant des hélicoptères civils et militaires, menacés de perdre leur emploi, sont prêts à tenter le chantage au sabotage de leur usine avec un ancien collègue, victime d'un précédent plan social, quand l'un d'entre eux surprend une conversation indiquant que le patron va profiter du week-end pour faire démonter et embarquer les machines, confirmant les rumeurs de délocalisation - ils décident alors de changer leur fusil d'épaule et s'improvisent braqueurs pour récupérer le contenu du coffre : deux millions d'euros ; mais seuls Franck - Clovis Cornillac et Max - Yvan Attal ont le courage de passer à l'action) et le suspense attendu est plutôt modeste (même avec des fioritures façon espionnage : argent "sale", ministre compromis et traque musclée dans les très photogéniques calanques marseillaises par la DCRI - issue de la fusion de la DST et des RG). Quelques scènes de manifs pimentent le tout - retour de la touche "sociale", bien dans l'air du temps, et qui plaît tant au boboland.... L'ensemble, aux ambitions "policières" autant que "politiques", loupe et les unes, et les autres, frise souvent avec le ridicule et se termine dans l'invraisemblance. Cornillac, en brave prolétaire embarqué malgré lui dans une affaire criminelle comme seul moyen de combattre les visées d'un patron "voyou" fait surtout du Cornillac (c'est dire s'il est moyennement convaincant), Mathilde Seigner, au naturel, est un poil meilleure en épouse de Franck (Hélène), d'abord dépassée, puis finalement pleine de ressources, quand Yvan Attal sauve cette très décevante troisième réalisation de Christophe Ruggia du naufrage total, en donnant une vraie épaisseur à son personnage jusqu'au-boutiste.
Patrons voyous qui délocalisent salement leur usine, ouvriers en révolte, braquage qui tourne mal et poursuite dans les calanques de Cassis, ce thriller ne manque ni de rythme ni d’idées. Un solide trio d’acteurs porte l’ensemble et nous donne un moment de cinéma plutôt plaisant. Dommage que le scénario imaginatif ne soit pas mieux maîtrisé et nous assène vers la fin une avalanche d’invraisemblances qui viennent gâcher de si louables intentions. Mention spéciale à une Mathilde Seigner particulièrement inspirée.
Un bon thriller social bien joué et haletant . Un jeu d'acteurs vrai , proche d'une certaine vérité concernant le volet social et ce que le dépit , la colère , le sentiment de profonde injustice, la descente aux enfer (misère !) peuvent amener jusqu' à l'irréparable . Pour autant la fin et son invraisemblance gâche un peu l'ensemble .
Un bon sujet et un bon casting ne suffisent pas forcément à faire un bon film ! "Dans la tourmente" en est la preuve. Un démarrage trop poussif, trop de longueurs, une tentative de complexifier le scénario complètement inutile... Eh bien le résultat n'est pas bon : 1/2 étoile pour chacun des 3 acteurs principaux et c'est tout.
Pas du tout déçu d'être allé voir ce "Dans la tourmente" qui s’annonçait de toute façon prometteur au vu des trois pointures qui ouvrent le générique. Et comme je le dis souvent, à défaut de savoir faire des vrais films d'action "à l'américaine", les réalisateurs français excellent dans le thriller dramatique et psychologique qui s'immerge dans le monde politique, des affaires, social et rural. Sans doute parce qu'en France plus qu'ailleurs malheureusement, l'actualité, la vraie, est aussi brutale et violente qu'une simple fiction et constitue pour nos scénaristes et cinéastes une mine inépuisable de sujet et de personnages complexes, suffisant poignant et captivant pour être porté sur grand écran et faire de bons films. C'est totalement le cas dans ce troisième long métrage de Christophe Ruggia qui fait son retour au cinéma 10 ans après "Les Diables" (2002). 10 ans d'absence qui ne lui ont pas fait perdre la main dans une mise en scène tout en tension et suspens sur fond de climat de révolte qui pousse en permanence ses protagonistes à la limite de l'implosion. Tout prêt de Marseille, l'usine dans laquelle travaille durement Franck (Clovis Cornillac) s’apprête à être délocalisé du jour au lendemain au nez et à la barbe de tous les ouvriers. Usé par le combat syndical, les luttes ouvrières et un quotidien où il faut sans cesse tirer le diable par la queue, Franck et son pote Max (Yvan Attal), ancien collègue ayant déjà fait les frais d'un licenciement au sein de cette usine, décident de prendre tous les risques pour saisir une autre opportunité et espérer des jours meilleurs...Dans la tourmente (ou plutôt dans la m...... mais les producteurs ne pouvaient pas écrire ça sur l'affiche) fait partie de ces films où nos héros sont des gens simples et ordinaires qui se retrouvent confronter au pire et qui doivent aller au bout d'eux même pour se sauver quitte à enfreindre la loi. Ce doit être cela qui nous touchent particulièrement, ce genre de situations qui finalement pourrait arriver à tout le monde et qui prend au tripes plus qu'une énième histoire de super-héros intergalactique ! L'amateurisme de Franck voir de Max face aux situations de danger est émouvant et leur dérive est plus sujet à la compassion qu'au blâme. Sans être à leur avantage pour une fois, Clovis Cornillac et Yvan Attal sont excellents et très touchant tout comme Mathilde Seigner qui interprète la femme de Franck, la seule à ne pas perdre les pieds et à rester lucide. Un film où l'amour et la solidarité sont très présent...à voir.