Derniers Avis : Propriété interdite - Page 5

Super film et puis j'aodre à la fois l'actrice et le réalisateur. Avoir absoluement.

Un navet! J'ai rarement vu un film aussi nul. C'est mou, plat, sans grande surprise et émotion. La fin est baclé. Bref je ne le recommande vraiment pas! J'ai meme hésiter à jouer avec mon ipod ou à partir avant la fin.

Étrange, loufoque, assez dérangé et plutôt agaçant, voir somnolant. C'est ainsi qu'il faudrait résumer ce film.. Pourtant on ne sort pas de la salle totalement amorphe et le cerveau ramolli par l'accumulation des heures de sommeil perdues/rattrapées au cinéma.. On nous parle de 'Thriller dramatique'? On nous promet 'Un film d'horreur français avec suspens et tension'. L'affiche est inquiétante, le nom aguichant, la bande annonce alléchante.. Et le film en lui-même n'est pas rebutant, quelque peu indéfinissable ; mauvais je crois, globalement mais pas seulement. La sensation d'assister une parodie de film d'horreur/épouvante, l'impression que rien ne démarre réellement, une stagnation d'une heure vingt gênante, vide d'émotion et d'intérêt, un scénario poussé vers l'absurde, la folie d'un personnage, la stupidité d'un autre ou sa grande naïveté, l'indifférence et le dédain ; cette diversité n'a rien de désagréable.
C'est véritablement le long métrage en lui-même qui ne tient pas la route ; nul moyen de transpirer, de s'éprendre, d'accrocher les accoudoirs dans un ultime geste désespéré visant à expulser le stress et la tension par la solution violente et agressive..
Et faute d'avoir aimer la fin, elle est cohérente avec tout ce qui se passe avant.. A aller voir si vous avez la carte UGC et du temps..

Film sans aucun intérêt, scénario vide (3 scénaristes pourtant !), on
se demande comment Charles Berling et Valerie Bonneton ont pu
accepter ! Un petit coup de WELCOME, il faut aider les sans papiers,
mais bon là on leur donne plein d'argent alors qu'il volent dans notre
maison et puis on tue son mari et ses amis parce qu'ils n'aiment pas
le sans papier. Et ça juste après avoir été frappé dans un camp de
sans papiers !

Comment un producteur a pu accepter, comment le CNC a pu accepter un
scénario pareil ?

Se présente comme un film d'horreur mais n'en est pas un. Ou alors
trois pauvres coups de feu, un visage à peine en sang et du bruit la
nuit ça fait un film d'horreur.

Je ne sais pas si c'était la salles mais les images étaient vraiment
moches, beaucoup de bruit dans les images nocturnes et de flou, même
en plein jour.

J'aurais du aller voir le dernier Clint.

L'histoire d'un couple improbable qui va essayer de se débarrasser d'une baraque héritée.

Six personnes dans la grande salle du Publicis, et on comprend pourquoi !
J'ai déjà vu des films mal foutus ou complètement ratés, mais là c'est le pompon. Entre l'actrice qui regarde la caméra dans les travellings et joue avec plus de réalisme la droguée que la folle, le positionnement systématiquement hors du sujet principal de toutes les péripéties, la totale invraisemblance du couple vedette, le côté bouche trou de l'appropriation des faits divers (ROMs) qui peuvent passer par là, tout est fait pour accoucher d'un ratage monumental.

Certes, tout ce que je viens d'énoncer pourrait déboucher sur un Lynch inquiétant et auteur, culte sur BluRay dans 5 ans. Manque de chance, c'est tellement mal filmé, mal joué, ennuyeux au possible que ça ne fonctionne jamais.

Mais c'est sans parler du grand final, totalement à côté de la plaque, totalement irréaliste (les hommes, surtout ceux d'argent, ne se laissent pas avoir si aisément), tellement facile que même un gosse n'aurait pas osé s'en sortir par une telle pirouette.

Comme pour son précédent « Rencontre avec le dragon », pompeux et faussement « artistointelloïde », il est clair que cette réalisatrice doit avoir un sacré réseau pour que les producteurs la laissent jouer avec une caméra sans aucune maîtrise, ni talent, ni respect pour les spectateurs un tant soit peu exigeants.

Le pitoyable jeu de Valérie Bonneton rend inefficace l’atmosphère oppressante que veut créer Hélène Angel qui, quand elle s’aperçoit que son film d’horreur ne sera jamais horrifique, le transforme subitement en pamphlet politico-social aussi peu crédible. Les quelques personnages, tous aussi ridicules les uns que autres (tant dans leurs interprétations que dans ce que leur fait faire ce scénario très douteux), réagissent chacun à leur manière face à la présence de sans papier jusqu’à une explosion de violence finale purement absurde. Bref, c’est sans doute là ce que peut nous apporter de pire le 7ème art!

Je ne pensais pas qu'en maintenant 2.5 étoiles à ce film je relèverais la moyenne des critiques ! Et pourtant si....on peut comprendre que cette histoire en ai laissé plus d'un indifférent car elle est assez étrange et il faut dire qu'il ne se passe pas grand chose. Mais même si le film met du temps à démarrer vraiment, il installe quand même sa petite ambiance glauque et son atmosphère glaciale. Sans faire offense au film de Dominik Moll, on notera quelques similitudes intéressante avec "Harry, un ami qui vous veut du bien" (si ça peut vous inciter à vous déplacer au ciné). Au delà de la vieille bâtisse abandonnée et du cadre champêtre très ressemblant, on retrouve un couple, Benoit et Claire cette fois et non pas Michel et Claire comme dans Harry, qui traverse une période un peu difficile et qui arrive dans cette maison isolée où le frère de Claire s'est récemment suicidé. Alors que Benoit, interprété par Charles Berling, n'a pas franchi le pas de la porte qu'il veut déjà partir, Claire, interprétée par Valérie Bonneton, au contraire ne veut pas lâcher ce pavillon, persuadée que son frère n'est pas mort et qu'il est toujours présent....là...pas loin. Une obsession qui laisse planer un doute suite notamment à une série d'évènements troublants auxquels Benoit tente d'apporter des explications rationnels. Ce climat dérangeant trouve quand même un dénouement aussi inattendu que percutant : même Première ne s'y ai pas trompé et a mis une note de 2 étoiles ! Une bonne note aux deux seconds rôles Guilaine Londez et Thierry Godard que j'ai trouvé excellent !

La réalisation n'est pas maladroite et l'interprétation est bonne mais le scenario manque visiblement de travail. Hélène Angel nous livre ainsi un film qu'elle a du mal à étirer pour arriver à peine à 80 minutes de projection. C'est suffisamment bref pour qu'on n'ait guère le temps de s'ennuyer mais on n'est jamais véritablement pris par cette histoire. Encore un film qui sera vite oublié et souhaitons que l'auteur nous offre un plat plus consistant la prochaine fois.

A éviter de toute urgence !
Acteurs mauvais, scénario mauvais , ne fait absolument pas peur , ce n est pas un thriller , d' ailleurs on ne peut Meme pas appeler Ca un film

Pauvre petit film... pauvret, pathétique, avorté. Et en même temps, une espèce de bonheur (un plaisir cynique, en fait) m'a rivé à mon fauteuil jusqu'à la fin. Car il y a quelque chose d'hallucinant (au sens propre du terme) à voir ainsi se saborder toute une équipe: réalisatrice, production, technique, acteurs surtout, exposés frontalement à ce désastre. A chaque scène on pense avoir mal vu, mal entendu. "non, ça ne peut pas être aussi minable!" se dit-on. eh si! Les deux protagonistes principaux semblent n'avoir jamais rien eu d'autre à faire que de se bouffer le nez, et ce depuis le début de leur relation: elle engloutit n'importe quoi (puis vomit), il lui planque sa bouffe et le conflit s'arrête là. pas de passé, pas d'avenir, rien qu'une ébauche de trame dramatique destinée à justifier la présence dans une maison pourrie d'un couple anémié dont le sort importe peu. Le jeu de Berling est tendu, mécanique, sans le moindre charme. Ils sont tous ridicules d'ailleurs, les acteurs et actrices. comment de tels produits cinématographiques peuvent-ils voir le jour, c'est ça, la véritable intrigue de ce film.

"Propriété interdite" cherche tout d'abord à nous vendre une atmosphère inquiétante. La mise en scène petit budget et minimaliste marche plutôt efficacement. On reprend les codes traditionnels du thriller angoissant dans un cadre typiquement français et réaliste. Pour cela le couple Charles Berling/ Valérie Bonneton joue sur un ton authentique. Dès lors, les rouages de l'intrigue nous laissent attentifs, à travers un style lent: peu de dialogues, de longues scènes, des temps morts... un choix assez dynamique malgré tout. Mais plus ça avance, et plus on tombe dans le simple registre dramatique, un poil décevant. Sauf que plus on tombe dans le drame, et plus ça devient bizarre. L'essai commence alors à se démarquer d'une manière bien étrange, qui ne manque pas de folie! Un petit n'importe quoi surprenant mais désorganisé qui se résume à une entourloupe un peu facile et pas très pertinente. Cependant l'exercice de style devient plus convaincant après réflexion, car sur le coup, on reste un peu abasourdi par le spectacle accablant. Au final, un court-métrage aurait peut-être suffit.

http://cineglobe.canalblog.com/

Pauvre cinéma Françaisi maltraité avec ce genre de films , et les acteurs n'arrangent rien , hélas!; ici ils sont à la limite du ridicule , et donc très drôles ...

Grande déception, parce que j'avais lu une critique plutôt bonne annonçant un film "surprenant". En fait, c'était vrai : ce film est consternant de nullité. C'est totalement n'importe quoi. Rien n'est crédible là-dedans, même le jeu des acteurs qui semblent avoir du mal à croire à ce qu'ils font. C'est zéro. Inutile d'aller perdre 1h20 et le prix correspondant pour aller voir cette daube.

Eh bien moi j'ai aimé ce petit film , oui il manque de moyen mais en France , un film comme ça n'en récolte jamais beaucoup ... Comme je n'avais pas lu beaucoup sur ce film j'y suis allé sans à priori , j'ai été surpris et j'ai compris certaines choses à la fin . Ce film est très bien interprété et finalement , malgré toutes les critiques , et ses quelques défauts , et bien moi j'ai aimé !

Alors là je dis non ! Ce film commence en reprenant toutes les ficelles ringardes et usées du cinéma de genre. Comme cette scène où Valerie Bonneton rampe par terre avec une image saccadé style The Grudge.
Et puis à la moitié du film, la réalisatrice se dit "Tiens je vais faire une critique politique" et hop le coté fantastique et remplacé par un Roms. Le film s'enfonce alors devenant encore plus ridicule et prévisible.
Bref passez votre chemin !