Note moyenne
3,5
20 titres de presse
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Les Inrockuptibles
Subtil et ample, prenant et profond, ambitieux et modeste, aussi bon dans son mouvement général que dans ses détails, "Avant l'aube" nous fera définitivement nous souvenir du nom de Raphaël Jacoulot.
Elle
Tout le talent de Raphaël Jacoulot tient à la manière dont il n'enferme pas son film dans un genre, ce qui lui permet de montrer une myriade de situations.
L'Humanité
Un joli film de genre, impeccablement filmé, à voir comme on dévore un polar.
Le Figaroscope
Le tandem Bacri-Rottiers est excellent. Et Sylvie Testud dénoue fort joliment l'affaire.
Le Journal du Dimanche
L'art taiseux de la mise en scène et de la suggestion opère de manière implacable par petites touches jusqu'à l'effet souhaité : vous intriguer.
Le Point
voir la critique sur lepoint.fr
Libération
L'intensité du film tient dans le duo Bacri-Rottiers (le premier franchement bon et le second s'imposant comme l'un des meilleurs de sa génération) et l'auteur aurait (...) sûrement gagné à concentrer son regard sur ce sourd affrontement, ce cercle de force.
Positif
Raphaël Jacoulot signe une fiction intense et maîtrisée qui témoigne de son inspiration singulière dans le "jeune" cinéma français.
TéléCinéObs
Raphaël Jacoulot (...) signe un thriller chabrolien où s'affrontent bourgeois des cimes et prolos de la vallée d'en bas. Cette tragédie cruelle, servie par une mise en scène élégante, vaut aussi par son interprétation.
Télérama
Un de ces faux polars, prétexte à sonder la " pâte humaine " dans son trouble et son ambiguïté. Un film d'action où l'action s'efface, ce qui est tu l'emportant sur ce qui est montré...
Critikat.com
Si Jacoulot sait se servir de son matériau pour instaurer l'atmosphère peu commune d'une réalité naturelle au bord de l'irréel, il est un peu plus laborieux pour lui de remplir ce cadre avec de la matière consistante, de raconter des histoires, des personnalités, une vision.
L'Express
[Des] ressorts dramatiques mollement ficelés [malgré] l'esthétique glacée de la mise en scène (...).
La Croix
(...) il (...) en demeure une impression subtile de menace et de tension, savamment entretenue par une mise en scène maîtrisée.
Le Monde
Plutôt que par la manière dont se résoudra l'énigme, on est captivé par une tension aux résonances de lutte de classes (...).
Le Parisien
En dépit de quelques flottements, on aime cet univers à la Simenon, porté par une distribution idéale.
Ouest France
(...) une intrigue simple et subtile à la fois, qui se faufile dans les secrets et les comportements d'un petit monde fermé.
Première
Chabrol aurait probablement été intrigué par ce film. Le second long-métrage de Raphaël Jacoulot marche en effet sur les traces du cinéaste en déguisant un rapport de classes sociales en polar.
Studio Ciné Live
Voir la critique sur le site de Studio Ciné Live.
Excessif
(...) Bien qu'il soit porté par un casting convaincant, ce polar enneigé et intimiste ne parvient pas à nous captiver.
Filmsactu
Si l'interprétation est solide, on regrettera que l'intrigue policière ne soit qu'un prétexte à la photographie d'une bourgeoisie de province soucieuse avant tout de protéger ses acquis.