Note moyenne
3,2
16 titres de presse
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20 Minutes
Au-delà de ces scènes spectaculaires, c'est l'alchimie entre les personnages qui emporte l'adhésion. La complicité unissant Hannibal, Futé, Looping et Barracuda donne envie de leur voir confier une nouvelle mission. Si l'humour de la série et son côté système D ont été gommés,ce n'est pas au détriment de protagonistes charismatiques. Le quatuor transforme ce qui n'aurait pu être qu'une énième grosse machine en vraie partie de plaisir.
Filmsactu
Dans le genre spectacle über-éclatant qui a absolument tout pigé aux attentes du public, cette adaptation tant attendue de la série TV culte déboule par la grande porte en l'enfonçant à grand coups de pompes.
Le Figaroscope
Ce blockbuster décomplexé revisite avec entrain la fameuse série télé, mettant en vedette quatre anciens commandos d'élite traqués par l'armée.
Metro
(...) adaptation musclée de la série des année 1980.
Télé 7 Jours
Bardé d'action et sans prétention, ce blockbuster joue avec zéro complexe la carte de la grosse artillerie. De quoi séduire petits et grands.
Chronic'art.com
Le plaisir du revival pur le dispute à l'enthousiasme de la relève, puisant sans complexe dans le patrimoine (les acteurs sont tous très bons) et perpétrant l'esprit rigolard de la série, entre autodérision et tentation parodique.
Critikat.com
Ce plaisir basique que les artisans de la chose ont visiblement pris à courir après les gimmicks cultes d'antan reste la seule âme qui vive dans cet objet par ailleurs pas honteux, mais terriblement désincarné.
Excessif
Fidèle à ses principes, Joe Carnahan fait littéralement tout péter, depuis la scène d'intro en territoire mexicain jusqu'au final détonant, on en prend plein les mirettes.
L'Express
voir le site www.lexpress.fr
Le Journal du Dimanche
(...) on retrouve la dimension absurde et burlesque (...) de même que que l'humour potache qui était la marque de L'agence tous risques. (...) Un "pop corn" movie qui n'a pas d'autre prétention que d'assurer le spectacle.
Le Point
voir Le Point.fr
Les Inrockuptibles
Avoir "deux coups d'avance", c'est situer son récit non pas avant ou pendant la guerre en Irak (...) mais juste après, lors du (futur) désengagement des troupes américaines. Et ne pas tomber dans le panneau des dénonciations faciles au sujet des armes de destruction massive, pour préférer une bête chasse aux billets (...) qui n'épargne pas la CIA, elle.
Ouest France
Le cinéaste parvient à prendre ses distances avec l'esprit potache de la série télévisée, tout en préservant une nécessaire tonalité de dérision dans un divertissement qui n'entend pas se prendre au sérieux.
Télérama
(...) un scénario truffé d'humour et une mise en scène très énergique. Le réalisateur enchaîne les cascades (...) d'autant plus jouissives que parfaitement invraisemblables.
Le Monde
L'ensemble est parfois amusant, subissant toutefois des baisses de rythme et sombrant, dans sa dernière partie, dans une confusion assourdissante.
Libération
Greenzone bis plein d'insanité militaro-complotiste bagdadie (CIA, SWAT, FBI, GI...) cela peut délasser comme un match de foot tragicomique des bleus.