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Un visiteur
5,0
Publiée le 17 janvier 2009
Pour la première fois de ma vie j'ai vu Jean-Paul Belmondo au Cinéma. J'ai tout ses films en DVD et ce dernier est vraiment boulverssant, un Belmondo fatigué, mais la fatigue ne l'empêche pas d'envahir l'écran. Il faut avouer que j'ai du mal avec les films de Francis Huster, mais il à quand même réussit à me charger d'émotions.
Film exceptionnel!! Quel plaisir de retrouver notre Belmondo!! ne changez rien!vous êtes et serez toujours un acteur extraordinaire!!vous êtes un exemple pour nous tous!!
Très beau film et très émouvant. Merci Mr Belmondo de ce très beau cadeau. On attendait votre retour depuis bien longtemps. Vous nous manquiez terriblement!!!
La question de savoir s'il faut faire un film avec bebel n'a aucun sens. JP Belmondo est un grand garçon qui a décidé tout seul de tourner un film, personne ne l'a forcé. Il est toujours aussi beau et magique. Malheureusement, que c'est triste de faire son retour avec un Navet absolu. Huster a un mauvais goût qui dépasse les bornes, chaque plan, image, dialogue ou situation sent le ringard. Aucune émotion sincère, que du pathos long, poussiéreux et grotesque. Un casting de guests en transe de partager l'affiche avec Belmondo (on les comprend) seulement, ils n'ont rien à jouer, rien à raconter. Un homme et son chien, c'est le néant. Monsieur Belmondo revenez vite derrière la caméra d'un réalisateur qui a des idées, pas seulement des désirs.
je donne 4 étoiles à monsieur Belmondo et autant à son chien, pour le reste ... c'est un film dramatique....ment vide, Leila n'a rien à communiquer, pas plus que la belle Jeanne. Encore une fois prenez les meilleurs ingrédients si le cuisinier n'est pas bon le plat sera médiocre
j'attendais cela depuis bientôt 8ans le grand retour d'un monstre sacré du cinéma français et quel retour un jean Paul BELMONDO magnifique émouvant tendre .j'ai pourtant 55 ans j'ai été très ému par l'émotion que procure ce film qui hélas est toujours d'actualité la misère la pauvreté et l'égoïsme de l'être humain.je remercie mr francis HUSTER d'avoir fait ce film avec un BEBEL ÉPOUSTOUFLANT. ALLEZ VOIR CE FILM VOUS QUI AVEZ AIME JEAN PAUL BELMONDO VOUS NE SEREZ PAS DÉÇU. LA MAGIE DU CINÉMA EST PRÉSENTE DANS CE FILM. un admirateur qui a eu la chance d'approcher de près ce grand acteur .bonne chance a ce film
Bien sur j'ai pleuré, bien sur je suis sortit bouleversé de la salle. Par les temps qui courent, c'est sur, perdre 1h40 de sa vie et 7€, y' a vraiment de quoi chialer... Ah oui, j'oubliais, j'ai quand même bien aimé ce somnifère de M.HUSTER. Dur à avaler, certes, mais diablement efficace. je préfère encore en rire (jaune bien entendu...)
Malgré cette ineptie cinématographique française, Jean-Paul Belmondo reste et restera à jamais LE plus grand et le plus respectable acteur que le cinéma Français est jamais connu...
1. Belmondo fait pitié. Rien d'autre. Ce film efface avec cruauté tout souvenir agréable et/ou admiratif que l'on peut avoir de lui. 2. La réalisation de Huster est juste hallucinante, d'un autre temps. Même pas démodée, Citizen Kane ou The Party sont mille fois plus moderne, juste ridicule, caricaturale à souhait. Insupportable.
Ce film est un pur chef d'oeuvre. Très triste mais également très émouvant de vérités terribles telle la condition souvent précaire des retraités (la scène du car des restos du coeur surtout). Chapeau bas pour Jean-Paul Belmondo que j'admire depuis tout petit (et je le suis encore, je ne suis pas tout à fait majeur ^^) et dont la seule présence suffit pour le mettre en valeur. Il parle peu mais son personnage fascine et s'impose. Son film d'adieux à son public est une vraie réussite. La foule d'acteurs et actrices qui défilent autour de lui est remarquable (le face à face avec Jean Dujardin toujours excellent est un très bon clin d'oeil, d'autant qu'il apparait cette fois avec moins de panache que dans OSS 117 mais cela crée-bien au contraire- une ambiance décalée de 2 générations, le maître et la relève, quand ils se retrouvent, l'ex Magnifique et le petit nouvel agent secret des années DVD qui défend René Coty) et j'ai retrouvé beaucoup de comédiens tels Charles Gérard ou Robert Hossein qui ont bercé mon enfance et m'ont toujours donné envie de travailler dans le cinéma. Mais en raison de leur àge, adieu les scènes de cascades comme dans le Guignolo où Bebel se retrouve suspendu à un hélicoptère en caleçon à coeurs ou encore les scènes de duels comme le sensationnel face à face revolver au poing de Hossein et Bebel dans le professionnel.
Belmondo dis adieu à son public, d'accord. Terminée les histoires de gangsters pourchassés par des flics, toujours à se courir après ou à se tirer dessus dans une ambiance bon enfant. Fini les mots d'esprit subtils. Les films de mon enfance ont pris une ride mais les histoires et leurs personnages sont a jamais figés sur la bande.
Voilà M. Belmondo, je vous remercie pour toutes ces émotions que vous m'avez donné à travers l'ensemble de votre oeuvre.
Retour de Bébel dans un remake de "Umberto D" de Vittorio De Sica. De l'émotion et de bons moments pour un film sur la vieillesse et la mort. Ce film aurait été plus efficace si Francis Huster ne s'était obligé à embaucher des stars en veux-tu en voilà qui parsèment le film de clins d'oeil plus ou moins valable. Est-ce un vrai film sur le thème principal de la vieillesse, de sa solitude, de la mort où plutôt un prétexte à hommage au grand Jean-Paul Belmondo ?! Au vu des clins d'oeil divers et variés (José Garcia pour une blague, Tcheky Karyo pour 10 secondes de guitare (lol), Michèle Bernier...) pour moi ça ressemble plus à un Adieu ... On ressort du film sans vraiment savoir ce qu'à voulu faire Francis Huster (on voit qu'il est prof, mise en scène hyper académique). Inabouti ou inégal c'est un film dont la saveur reste le retour de Bébel.
J'ai beaucoup aimé ce film pour plusieurs raisons : 1-le scénario : certes la vieillesse, l'abandon, l'infidélité humaine ou la fidélité animale, l'égoîsme, ont déjà été traités, mais là pas de grand drame, un "ruisseau" qui coule lentement comme le film, et qui dépeint un certain "modernisme banalisé" 2-un rendu émouvant, de sensibilité, de vérité, la souffrance interne de ce qui est quotidiennemnt caché 3-un acteur principal qui, malgré son handicap, n'a rien perdu de son expression professionnelle, il parle moins, il bouge moins, mais le résultat est le même 4-un réalisateur qui a su faire passer ses messages sans exagérer ni amener à pleurer, juste ce qu'il faut. Une belle histoire, bien traitée pour peu que l'on y soit sensible, et affecté, par l'homme et son chien.