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titicaca120
386 abonnés
2 179 critiques
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4,0
Publiée le 7 mai 2009
franchement j'ai trouvé la premiére partie du film décevante jusqu'a la scène du chien sur le fauteuil ou j'ai retrouvé cet humour à l'anglaise qui est inclassable,aprés les situations burlesques s'enchainent pour notre plus grand plaisir et j'étais ravi d'avoir vu ce film finalement.
BRITISH à souhait comme j'aime ! une touche d'humour, un zest de derision et des acteurs au top chacun tres bien dans leur rôle et cela vous donne un film tres tres plaisant ! je vous le recommande !
Une comédie qui laisse la place à l'émotion, c'est suffisamment rare pour être souligné... Jessica Biel est remarquable de beauté dans cette oeuvre qu'il faut évidemment replacée dans son époque: les années 20... Film pro-américain et anti-anglais? Certainement pas, son réalisateur a suffisamment d'humour... british pour choisir son camp...
Jessica Biel illumine le film à chaque plan et montre qu'elle excelle dans le domaine de la comédie. D'ailleurs son mari dans le film, Ben Barnes, a du mal à exister à côté d'elle. Le film avance vite, le comique de situation fait mouche et Kristin Scott Thomas est fabuleuse dans son rôle de mégère. J'ai adoré!
Dès que j'ai vu l'affiche dans le métro j'ai tout de suite très envie de voir le film. J'étais super impatient. Hier soir j'ai enfin pu découvrir ce petit bijou d'humour anglais. Répliques qui fusent, quiproquos, finesse, légèreté: j'ai adoré. Une des choses qui m'a particulièrement plu dans la mise en scène de Stephan Elliott c'est qu'il va à l'essentiel, pas de longueurs inutiles, le film est percutant. Ah et puis Jessica ...
Marrant avec un humour qui fait mouche ! Des acteurs attachants, un décor cottage agréable, des costumes en adéquation, une danse tango vibrante (!) et un final inattendu (sauf avec du recul ^^) Je me suis régalé devant ce film très bien fait !
Le film ne dure qu'1h30 mais parait durer une éternité tant il est ennuyant. Les moments "forts" (euuuuh, je vais peut-être un peu loin là..) sont tous présent dans la bande-annonce. Seul Colin Firth s'en sort avec les honneurs.
Années 20. John Whittaker, un Anglais fils de famille insouciant et oisif, en villégiature sur la Côte d'Azur, rencontre, séduit et épouse la riche Larita, une jeune veuve Américaine, belle et affranchie. Les nouveaux époux gagnent rapidement l'Angleterre et la demeure familiale du jeune homme. Dans le château décrépit vivent ses deux soeurs inmariables, son père désabusé et sa mère Veronica, autoritaire et éprise de dignité et de self-control jusqu'à la caricature. L'affrontement entre belle-mère et belle-fille, de "petite vertu" ("easy vertue", en anglais dans le texte) est immédiat et impitoyable. L'atmosphère générale, guindée, entre traditions et préjugés, rappelle furieusement dans un premier temps celle des livres de P.G Wodehouse, mais ici le "butler" est bien loin du digne Jeeves, et la déchéance guette les hobereaux. En fait, Stephen Elliott adapte une pièce de Noel Coward dont il nous livre une version caustique très réussie, où la gentry, ses fastes et (étranges) coutumes assurent distribution (casting impeccable) et décor à une comédie de moeurs réjouissante autant qu'acide. A déguster sans modération.
Une bonne petite comédie bien anglaise, étonnant de voir Colin Firth en mari décrépit et dégouté de sa vie mais tres agréablement surprise par la prestation de Jessica Biel, qui innove dans ce genre de rôle ! Bine sûr, les problèmes de relations entre fille et belle mères, on en a déja vu, mais certaines situations burlesque sont a voir ...
Une comédie anglaise classique au charme suranné avec un savoureux zeste contemporain, « Easy virtue » est l’adaptation d’une œuvre théâtrale sans que l’on puisse dire pour autant que c’est du théâtre filmé. La caméra vire-volte, de-ci, de là, permettant une création véritablement cinématographique. Les vétérans retrouveront leurs émotions de jeunesse, mais les plus jeunes risquent de ne sourire qu’à de très rares moments et de trouver l’ensemble un peu long. Charmants anachronismes de la bande son : « Cash Wash », « When the going gets tough » à la mode des Années Folles….
Dès les premiers instants du générique, le style du film s'installe : couleur entre-deux guerre, humour british. Cela donne un spectacle très plaisant mené par des acteurs inspirés (surtout J.Biel et C.Firth), des relations entre les personnages torturées et complexes. Je suis sur que vous vous y retrouverez un peu. Bon film.
Voyant la bande-annonce de Easy Virtue j'avais pensé à un sous Gosford Park ou à un sous Howards End . Hélas trois fois hélas, c'est bien pire que ça. Ca sent la naphtaline, c'est vain, superficiel et même pas drôle. Kristin Scott Thomas en fait des tonnes (à la demande du real explique t-elle en interview) et semble s'ennuyer ferme. Dans la salle c'est pareil : on s'ennuie ferme.