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Alejandro Almodoclint
18 abonnés
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2,0
Publiée le 27 avril 2010
L'humour british, les bons dialogues et la bonne prestation du duo Biel/Scott Thomas ne suffisent pas à égayer cette histoire assez fade dont on devine vite que l'héroine Larita cache quelque chose...
Film plus sérieux que la BA le laissait supposé. Mais passé ce moment de surprise (pas forcément négatif), c'est vraiment un bon film. Colin Firth en British désabusé est excellent ... L'opposition entre une Angleterre bien ancrée dans ses traditions (vieilles familles aristocratiques) et une jeune américaine en pleine émancipation féminine (Jessica Biel très bien): Réjouissant ! à voir absolument !
Vraiment ennuyant ! Il ne se passe pas grand chose. Jessica Biel y est toutefois très charmante. Heureusement qu'elle était là, sinon, je me serais endormi... A part ça, passez votre chemin...
Voilà une très bonne surprise. Je suis tombé dessus par hasard et je me suis bien amusé devant. Je ne suis pas fan des films en costumes ou relatant la vie avant 1960 mais là les dialogues sont pointilleux et l'humoir noir "made in English" fait tout oublié de ce qui me dérange. Mention spécial pour Colin Firth qui c'est enfin sorti les doigts du cul!!!!
L'histoire d'une femme libérée à une époque et dans un monde où cela ne se faisait pas. J'y suis allé par hasard en ayant confiance dans le « bon goût » du réalisateur de « Priscilla folle du désert », malgré la mauvaise bande annonce. Et bien m'en pris car il ne s'agit pas d'une comédie pataude mais d'un hommage tragi-comique aux femmes qui ont su se débarrasser des contraintes masculines … en prenant leur place. C'est aussi la première fois que l'on a un peu de sympathie pour Colin Firth, de lourd beauf ou aristocrate coincé habituellement, on a un rebelle cynique et désabusé, mais qui est prêt à espérer de nouveau si l'occasion est belle. C'est donc l'histoire du féminisme incarnée par une américaine qui n'a pas froid aux yeux, confrontée au psycho-rigidisme des matrones anglaises victoriennes. Même si tout est plutôt sur le mode littéraire, les saynètes et les anecdotes sont sympathiques. Seule la fin donne tout son sel à une dénonciation d'un ordre social qui permettait à chacun de ne pas montrer ses faiblesses ou ses originalités, mais qui ne permettait à personne de s'épanouir. La solution de cette américaine effrontée s'appelle le courage de la liberté, avec les dégâts qu'elle occasionne chez les faibles, et l'immense soulagement chez les forts. Ce film bien fichu bien qu'un peu lent a le mérite de montrer que contrairement aux comédies niaises hollywoodienne, ce type de bonheur sinon de revendication ne va pas sans poser problème pour la grande majorité. Et c'est sa petite victoire.
Le réalisateur du fou "Priscilla Folle du Désert" revient en 2009 avec Un mariage de rêve. On pourait se dire tiens encore un ou une marié(e) confronté à sa belle famille avec des répliques fades et faussement drôles. Mais c'est tout le contraire ! Mise en scène dans une angleterre des années 30 très colorés et festives. Les vestiges de la guerre dans cette comédie au allure de drame. On peux aussi voir un choc entre deux cultures qui malgrè lors langue commune sont complètement différentes tant de le fond que dans la forme: les Etats-Unis et l'Angleterre. Un mère manipulatrice tente de garder sa famille soudée pour ne pas faire transparaître la pauvreté et la désunion de sa famille. Elle est campée par une des meilleures actrices françaises: Kristin Scott Thomas qui dévoile encore une facette de son immense talent. "L'intru" est Jessica Biel en aventurière américaine à l'inverse de la famille Whittaker. Ce film romantique sans trop l'être parle de sujet important comme "tuer" pour eviter la souffrance d'un être cher, la solitude, la perte d'un être cher pour lequel on ne peut pas tourner la page. Stephan Elliott, le réalisateur, dans des années 30 très réaliste, amène aussi dans son scénario des répliques cinglantes et réjouissante. Un film amusant et boulversant en quelques sortes !
Ce film tiré d'une pièce de théâtre de 1924 pose quelques questions tout à fait modernes: l'euthanasie, les séquelles dues à la guerre, le qu'en dira t'on, l'hypocrisie d'une certaine société qui, n'en doutons pas, existe toujours: il n'y a qu'à lire les tabloïds autour de la famille royale Anglaise, par exemple. Le tout saupoudré d'un cynisme et d'un humour assez corrosif rend "Easy virtue" particulièrement plaisant. Jessica Biel dans un grand rôle, son plus grand, peut-être...
Ce film sans prétentions n’a pas vraiment de saveur et à certains moments on sent qu’il n’a pas trop de sens. On passe vite du coq à l’âne, apparemment seul le scénariste en comprend l’intérêt. L’histoire avec le chien était plaisante mais le reste, revu trop de fois donne de la banalité au film. Ne restera pas dans les annales.
Dommage que Kristin Scott-Thomas en fasse un peu trop et que la fin ait été bâclée. Mais ce film reste un bon moment de cinéma, l'humour anglais, grinçant et drôle est là, bien présent. Le tango dansé par Jessica Biel (la très belle Jessica) et Colin Firth (excellent) est pour moi un des moments clés de ce film. Que ce doit être pesant ce poids des convenance !!!!!
Une romance bien sympathique avec des acteurs performants et présents, dommage cependant qu'elle se base sur tant de clichés et que au fil du film, on se lasse un peu de cette histoire sans trop d'issue apparente ni réel retournement de situation. La fin est prévisible mais bien faite malgré le dernier affrontement entre les deux dames, que j'aurais préfère plus explosif mais qui n'est finalement que comme les autres.
Un bon divertissement! J'ai eu la chance de pouvoir découvrir ce film en avant première et en version originale il y a deux semaines près de chez moi. Ce film est une pure comédie so british avec en prime un superbe casting. Kristin Scott Thomas est formidable dans son rôle de belle-mère, un rôle qui m'a beaucoup fait rire. J'ai également apprécier tous les autres acteurs qui collaient parfaitement à leurs rôles. Chaque personnage est différent et unique. On aime John (Ben Barnes) l'héritier un peu immature, Jim (Colin Firth) le père qui n'aime rien, Hilda qui aime les histoires morbides, Marion qui s'imagine un mai qui change tout le temps de tête, etc. On apprécie aussi certaines scènes, comme la famause scène du pauvre chihuahua écrasé. A voir!