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    412 critiques spectateurs

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    anonyme
    Un visiteur
    4,5
    Publiée le 28 mars 2013
    j'adore ce film, je trouve la mise en scene splendide. Tous les acteurs sont formidables (y compris les seconds roles) L'histoire est palpitante en plus d'etre tirée d'une histoire vraie. Bref je le conseille à tous le monde.
    anonyme
    Un visiteur
    4,0
    Publiée le 11 mars 2013
    une histoire incroyable , un film très bien réalisé et un François Cluzet qui joue son rôle à la perfection (comme toujours) 4/5
    anonyme
    Un visiteur
    2,5
    Publiée le 17 février 2013
    Une histoire incroyable, mais qui tient debout (normal, pour une histoire vraie!).
    Mais il y a des moments creux, des moments mal joués, etc. On regarde, mais on détourne le regard de temps à autres. A voir, pour l'histoire de ce personnage!
    Dicidente
    Dicidente

    35 abonnés 691 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 16 février 2013
    C'est une bonne histoire, mais un peu long et lancinant, dommage qu'on ne rentre pas davantage dans la peau du personnage.
    anonyme
    Un visiteur
    3,5
    Publiée le 28 janvier 2013
    Ce film qui fait penser à "Fitzgerraldo", pose des questions sur le sens de nos vie dans cette société en perte de repères. Je ne suis pas fan de tout le film, mais j'ai regardé avec intérêt.
    anonyme
    Un visiteur
    3,5
    Publiée le 30 décembre 2012
    A l'origine n'est pas seulement l'histoire d'un gigantesque abus de confiance. C'est aussi -surtout- une fable étonnante sur un groupe de gens qui retrouvent un élan collectif, une forme de solidarité perdue.
    serbitar38
    serbitar38

    7 abonnés 178 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 16 décembre 2012
    Un beau moment de grâce au milieu d'un cinéma français malade qui manque bien trop souvent d'envergure et d'ambition. Ici la profondeur du propos n'a d'égal que la puissance de l'image, pas question d'une quelconque forme de nombrilisme ou de complaisance. Xavier Giannoli nous donne une véritable vision de l'humain, de ses rêves, ses convictions, ses paradoxes, sur le (dis)fonctionnement de sa société et pose de vraies questions sur le concept même du travail d'un point de vue philosophique. Forme d'esclavagisme moderne ? Accomplissement illusoire de soi ? C'est frappant et souligné d'images fortes et émouvantes.
    anonyme
    Un visiteur
    2,5
    Publiée le 14 novembre 2012
    Le scénario est intéressant mais je le trouve trop long je me suis un peu ennuyé alors que j'adore
    François Cluzet dommage !
    anonyme
    Un visiteur
    5,0
    Publiée le 23 octobre 2012
    Super, d'autant plus que tiré d'une histoire vrai !
    Cluny
    Cluny

    74 abonnés 593 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 19 octobre 2012
    Rares sont les réalisateurs français qui ont le droit aux honneurs de la sélection officielle à Cannes pour deux films consécutifs. Xavier Giannoli fait partie de ceux-là : trois ans après "Quand j'étais Chanteur", "A l'Origine" concourrait pour la France au printemps avec "Un Prophète", "Les Herbes folles" et "Soudain le vide". Avec deux sélections ces dix dernières années, il se trouve aux côtés de Desplechins, Dominik Moll, Gaspar Noë et Nicole Garcia, juste devancés par Assayas et ses trois sélections.

    Est-ce ce label officiel "cinéma français", ou le sentiment de m'être fait avoir par la promo d'un François Cluzet utilisant la méthode Coué pour nous vendre le film, qui renforce mon agacement devant les mêmes défauts que j'avais déjà constatés pour "Quand j'étais Chanteur", défauts partagés dans de nombreux films français ?

    Pourtant, le pitch était alléchant. A l'origine, il y a eu un article de Jean-Paul Dubois dans le Nouvel Observateur consacré à Philippe Berre, un escroc qui s'était fait arrêter en 1997 près du Mans pour avoir construit deux kilomètres d'autoroute en se faisant passer pour un patron du BTP et en ayant embauché une cinuqntaine de personnes. Le juge d'instruction de l'époque, Laurent Leguevaque qui a depuis quitté la magistrature, explique ainsi ses motivations : "Quand je lui ai demandé le pourquoi de son imposture, il m'a répondu « parce que pour la première fois je me suis senti être quelqu'un.»"

    C'est visiblement cet aspect qui a intéressé Giannoli, la rencontre d'un escroc en bout de course et d'une communauté frappée par la crise, et le chemin de la rédemption que le premier va suivre en se voyant investi de tous les espoirs par ceux qu'il a dupés. Le début s'annonce plutôt bien, avec un climat qui évoque les films de Lucas Belvaux, et notamment sa capacité à mêler l'action et le contexte social.

    Malheureusement, la volonté de Giannoli de faire comprendre le cheminement intérieur de Philippe Miller l'amène à insister lourdement dans sa mise en scène et sa direction d'acteurs, avec par exemple une scène où François Cluzet s'effondre en geignant "Tout est faux", histoire de vérifier qu'on ait bien compris, ou l'échange entre Depardieu et lui : "Je ne le fais pas pour l'argent... - Alors, pourquoi tu le fais ?".

    L'histoire de cette imposture se suffisait à elle même, avec une spirale à la Jean-Claude Romand où pour faire face à la découverte d'un mensonge, il faut en inventer un nouveau. Malheureusement, Xavier Giannoli a brodé des intrigues autour : une idylle avec la Maire du village, jouée par Emmanuelle Devos, assez horripilante, un transfert quasi filial avec Nicolas, et la menace d'Abel incarné par Depardieu. Cette dramatisation sonne faux, et détourne l'intérêt de l'essentiel, à savoir le rêve à la "Fitzcarraldo" de Philippe et l'hypnose collective des habitants, concentrée sur le très beau personnage de Monika, joué avec subtilité par Stéphanie Sokolinski, alias Soko.

    Je reste assez sidéré de l'enthousiasme de la critique, avec Pascal Mérigeau du Nouvel Obs qui parle de "formidable déclaration d'amour au cinéma" ou Serge Kaganski dans Les Inrocks qui le qualifie de "film français d'une rare ambition", sachant que si ces critiques l'ont vu à Cannes, ils avaient dû subir 25 minutes de plus, alors que la version de 130 minutes m'a déjà paru bien longue. Cet emballement, ainsi que la reconnaissance d'une sélection cannoise, me semblent hélas symptomatiques d'un cinéma hexagonal vivotant majoritairement des mêmes éternelles recettes, et expliquent que dans le bandeau au bas de cette page, parmi mes sept films préférés de ces quatre dernières années, aucun ne soit français.

    http://www.critiquesclunysiennes.com
    7eme critique
    7eme critique

    529 abonnés 2 778 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 21 septembre 2012
    Puissant ! Une histoire vraie parfaitement retranscrite. "A l'origine", une escroquerie assez osée et complexe ; à l'arrivée, un message de solidarité fort émouvant. Une digne réalisation de la part de Xavier Giannoli qui s'est accaparé l'un des meilleurs comédiens français, François Cluzet, qui comme dans ces dernières années, impose facilement son personnage aux téléspectateurs grâce à la crédibilité qu'il dégage. Une histoire captivante qui, à l'entendre, paraîtrait incroyable, mais à la voir, le paraît également.
    BabsyDriver
    BabsyDriver

    80 abonnés 817 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 20 septembre 2012
    Tout en dressant le portrait d'une société en constante indécision, "A l'Origine" délivre un message de solidarité et de collectivité malgré l'ambiguïté de l'anti-héros autour duquel elles s'organisent. Il a beau être un peu longuet, le film de Giannoli fait tout de même froid dans le dos...
    soniadidierkmurgia
    soniadidierkmurgia

    1 174 abonnés 4 169 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 25 février 2014
    Certains vont voir un psy pour soigner leur névrose; Philippe Miller lui a choisi de mener de sa propre initiative, hors de toute commande, des chantiers de travaux publics. Ici il s’attaque ni plus ni moins à la reprise d’un chantier d’autoroute abandonné dans la région du Nord sinistrée par le chômage. Gianolli avec l’aide d’un Cluzet complètement halluciné, explique comment une population en détresse peut se fabriquer un messie sans que celui-ci n’ait même pas eu le temps d’endosser le costume. Un costume qui s’avérera bien trop grand pour lui. Cet escroc qui n’en est pas vraiment un, s’avère un être timide et complexé qui semble vouloir corriger son manque affectif et relationnel en se fixant des challenges qui par leur immensité le transcendent, lui procurant une aura inaccessible quand il n’est que lui-même. Cluzet rend parfaitement l’angoisse de cet homme profondément seul, effrayé par les dégâts qu’il va fatalement engendrer pour ceux qui l’ont cru aveuglément. Si on dépasse le portrait psychologique de Miller on peut voir en lui le justicier du capitalisme devenu fou, chargé de réparer les dégâts du système. Car au final quel est le plus fou ? Miller ou ceux qui ont commencé un tel chantier pour l’abandonner. Gianolli nous montre très bien comment la machine s’emballe. Miller n’a pratiquement rien fait de son initiative au début, poussé par des gens en attente du messie. Il ne répond d’ailleurs jamais à ceux qui s’interrogent sur les incohérences du projet, l’enthousiasme reprenant systématiquement le dessus. Au final il n’aura servi que de catalyseur à une machine à fantasmes bien contente de pouvoir redémarrer faute de réel espoir. Le film démontre aussi de manière éclatante l’impact du travail sur la vie d’une communauté. L’ensemble des acteurs pour la plupart inconnus sont au diapason. Emmanuelle Devos démontre une fois de plus l’étendue de sa palette de jeu. Enfin Depardieu qui avait repris goût à son métier grâce a Gianolli (« Quand j’étais chanteur ») offre une prestation jubilatoire. Un bon film chargé de sens sur nos sociétés en perte de repères, qui fait parfois penser à un "Fitzgerraldo" des temps modernes.
    Hotinhere
    Hotinhere

    547 abonnés 4 954 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 4 novembre 2022
    La spirale infernale du mensonge d'un escroc se faisant passer pour un entrepreneur venu relancer un chantier dans le Nord de la France.
    Inspiré d'une histoire vraie assez folle, un thriller social palpitant, porté par l'interprétation puissante de François Cluzet tout en ambiguïté, à la fois fragile et manipulateur. 3,75
    anonyme
    Un visiteur
    4,0
    Publiée le 19 juillet 2012
    Très bon film avec des personnages très vraisemblables dans
    une histoire basée sur des faits réels. François Cluzet campe un admirable escroc au bon fond ...
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