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Votre avis sur Batman contre le fantôme masqué ?
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À l'heure où Batman commençait à s'exporter de plus en plus au cinéma, "Batman contre le fantôme masqué" venait proposer un long-métrage d'animation avec des ambitions bien différentes de ses homologues. Cela se ressent déjà par le simple fait que ce film soit un projet en animation, mais également par le fait qu'il soit une extension de la série "Batman" des années 90. Avec des bases aussi solides, le long-métrage avait donc un lourd poids sur les épaules, et il a clairement assumé celui-ci. Pour moi, ce film est un petit bijou, et il est vraiment dans le top de ce qui s'est fait en la matière chez DC Comics. Sa première qualité est évidemment de nous replonger dans la superbe ambiance du dessin-animé. On retrouve cette esthétique indatable dans les décors, avec des environnements d'une autre époque, qui viennent faire un parallèle avec la technologie avancée qu'utilise Batman. Mais c'est également un plaisir de retrouver cette atmosphère sombre et pesante, proche du film noir, celle-ci étant bien loin de ce qu'allait donner "Batman Forever". Même si c'est de l'animation, le tout se veut assez mature, avec une base scénaristique mettant l'aspect détective du justicier en avant. Dans le style, on est même très proche d'un thriller, avec un récit qui tentera de maintenir du mystère quant à l'identité de ce fantôme masqué. Le film s'amuse à dissimuler beaucoup de fausses pistes, et à prendre son temps pour développer ses personnages. Et c'est réellement le point que j'ai le plus aimé de ce long-métrage, car il prend la peine de lier son intrigue à des thématiques propres à Bruce Wayne. Nous ne sommes pas seulement sur un épisode classique de la série, le film essaie d'aller un peu plus loin que tout ça. Ici, on va questionner sa double-vie et son incapacité à mener les deux. Cela sera globalement bien fait, même si j'avoue avoir été un peu déçu par la conclusion. La scène finale est sympathique, mais elle manque d'un véritable point final à mon sens. J'aime les fins ouvertes, mais c'est peut-être un peu trop léger pour ce cas-là. Cependant, cela n'enlève rien à tout ce qui s'est déroulé avant. L'ambiance fonctionne, le rythme est bien mené et l'histoire se permet un développement vraiment maîtrisé. Bénéficiant également de l'excellent doublage de l'époque, il est donc assez logique de saluer la performance de ce projet. Même s'il est peu cité par rapport aux films en live action, je pense que l'on doit un peu plus de respect à ce superbe projet. Pour conclure, un film qui est bien trop souvent oublié.
Une super adaptation de l'anime porté en format en film. La série était déjà énorme mais là le film, nous plonge dans les émotions et le passé de Bruce Wayne, comme jamais il n'a été adapté. Bruce Wayne qui touche du bout de ses doigts le bonheur, où il faillit renoncer à être Batman. C'est la première qu'on a droit une adaptation de ce genre et c'est réussi. Sans oublier le joker qui est toujours aussi convaincant.
D'un côté cette animation de 1993 première pour un long de Batman a des qualités qui plaisent à ceux qui suivent cette série et sous différentes formes il présente cet univers avec des formes de préquel de façon attractive avec un Bruce Wayne amoureux. Cependant objectivement il est bien mal construit avec des aller retours complexes, juste des effets qui sont dans le propos et ce propos est bien exposé ; noirceur. Avec ses aspects conformistes malsains tel le fou malfaisant Joker, tout le long on retrouve des drames, des gangsters, de la corruption. C'est bien cela le fond de cet univers exposé, ici en l'idéalisant ce qui ressort au final est une forme de démence consensuelle où la seule moralité est celle douteuse de ne jamais vouloir tuer les pires criminels ce qui a comme finalité de leur donner un rôle prédominant.
Un très bon film Batman, tout films confondons.
L’intrigue est vraiment prenante et l’ambiance est sombre, tel qu’on l’a retrouvera dans les films de Nolan bien plus tard.
Et c’est peut être bien dans ce seul film qu’on cherche autant à comprendre le personnage de Bruce Wayne autant que celui Batman.
L’intrigue est vraiment prenante et l’ambiance est sombre, tel qu’on l’a retrouvera dans les films de Nolan bien plus tard.
Et c’est peut être bien dans ce seul film qu’on cherche autant à comprendre le personnage de Bruce Wayne autant que celui Batman.
Je me suis reconnecté avec un personnage qui a fait partie de mon enfance! Bien que, en grandissant, j'aie commencé à ne plus autant aimé Batman en tant que héros, je ne peux pas m'en débarrasser, car l'univers DC est très précieux pour moi tout comme l'univers Marvel, mais personnellement les dessins animés que je voyais sur Cartoon Network comprenaient plutôt des héros de l'univers DC y compris Batman qui est une des figures de proues de cet univers. Ce film est merveilleusement bien construit. L'animation, le scénario, les personnages, tout est époustouflant et peut entraîner la nostalgie en tous les fans. Je peux dire à la fin que c'est une animation à ne pas manquer!
Cinememories
"De toutes les adaptations du célèbre personnage créé par Bob Kane et Bill Finger, il ne fait aucun doute que Batman contre le fantôme masqué entre sans peine au panthéon de l’excellence. 30 ans plus tard, dans la lignée de Batman, la série animée, [...] Warner Bros. vous propose de le découvrir chez vous, dans une version restaurée qui n’a rien perdu de sa flamme et de sa noirceur."
"Appel de détresse et outil de terreur, le Bat-Signal prévient les malfrats qu’une ombre les guette. La nuit tombée, Batman traverse Gotham avec l’intention de combattre ceux qui lui résistent. Mais qu’en est-il le jour ? L’orphelin businessman et philanthrope de l’empire Wayne pense déjà à replonger dans la prochaine mêlée nocturne. Pourtant, l’irruption d’Andrea Beaumont dans sa vie peut changer la donne. Véritable personnage d’un film noir, Andrea est une femme fatale, dont la silhouette est calquée sur la magnétique Lauren Bacall, identifiable par le regard perçant et singulier qui la révèle au grand jour dans des succès consécutifs des années 40. Elle ne constitue pas un levier romantique gratuit, car l’idée de renoncer à une carrière de justicier effleure les pensées de Bruce, encore en quête identitaire."
"Entre vigilantisme et vengeance, les masques tombent. Nous n’aurons jamais autant vu Bruce Wayne à l’écran dans une œuvre qui lui accorde tout le crédit nécessaire pour exister, en opposition à son rôle de justicier. C’est également le cas pour l’antithèse de Batman, à savoir le Joker, que l’on retrouve bien évidemment dans une œuvre qui use habilement de la tragédie. La naissance du héros n’en est que plus pertinente, car ce qui peut cruellement manquer dans les superproductions héroïques aujourd’hui, c’est bien l’aspect humain. L’habit ne fait pas le moine et la cape ne justifie pas toute la noirceur que dégage le héros, simplement un homme brisé. Le film contient ainsi une grande palette émotionnelle et certainement tout ce qui peut attirer les amateurs d’actions."
"Tout comme Miles Morales a cristallisé la carrière de l’homme-araignée sur grand écran, Batman contre le Fantôme Masqué constitue l’une des plus grandes réussites parmi les adaptations animées. Il mérite qu’on le célèbre à nouveau et qu’on replonge dans la tragédie qu’il conte et qu’il assume jusqu’au bout de ses 76 minutes de folie."
Retrouvez ma critique complète sur Le Mag du Ciné.
"Appel de détresse et outil de terreur, le Bat-Signal prévient les malfrats qu’une ombre les guette. La nuit tombée, Batman traverse Gotham avec l’intention de combattre ceux qui lui résistent. Mais qu’en est-il le jour ? L’orphelin businessman et philanthrope de l’empire Wayne pense déjà à replonger dans la prochaine mêlée nocturne. Pourtant, l’irruption d’Andrea Beaumont dans sa vie peut changer la donne. Véritable personnage d’un film noir, Andrea est une femme fatale, dont la silhouette est calquée sur la magnétique Lauren Bacall, identifiable par le regard perçant et singulier qui la révèle au grand jour dans des succès consécutifs des années 40. Elle ne constitue pas un levier romantique gratuit, car l’idée de renoncer à une carrière de justicier effleure les pensées de Bruce, encore en quête identitaire."
"Entre vigilantisme et vengeance, les masques tombent. Nous n’aurons jamais autant vu Bruce Wayne à l’écran dans une œuvre qui lui accorde tout le crédit nécessaire pour exister, en opposition à son rôle de justicier. C’est également le cas pour l’antithèse de Batman, à savoir le Joker, que l’on retrouve bien évidemment dans une œuvre qui use habilement de la tragédie. La naissance du héros n’en est que plus pertinente, car ce qui peut cruellement manquer dans les superproductions héroïques aujourd’hui, c’est bien l’aspect humain. L’habit ne fait pas le moine et la cape ne justifie pas toute la noirceur que dégage le héros, simplement un homme brisé. Le film contient ainsi une grande palette émotionnelle et certainement tout ce qui peut attirer les amateurs d’actions."
"Tout comme Miles Morales a cristallisé la carrière de l’homme-araignée sur grand écran, Batman contre le Fantôme Masqué constitue l’une des plus grandes réussites parmi les adaptations animées. Il mérite qu’on le célèbre à nouveau et qu’on replonge dans la tragédie qu’il conte et qu’il assume jusqu’au bout de ses 76 minutes de folie."
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Le meilleur Batman de tous les temps, en tout cas à égalité avec Dark Knight et The Batman. Il est sans doute un peu supérieur aux excellents Batman de 1989 et de 1992. Bref l'histoire, l'intrigue, les personnages, la folie du joker, le passé de Bruce etc TOUT est parfait. Un plaisir !
En parallèle de mon visionnage de la sublime série animée Batman, j'ai décidé de me regarder de temps en temps un long métrage sur le super héros masqué. Comme d'habitude, ordre chronologique, Batman contre le Fantôme Masqué. Son statut n'étant plus à prouver, j'avais quand même une certaine réticence avant de le voir. Tout simplement la peur que ce soit un simple épisode longue durée. Mais les doutes se dissipent très vite.
Ce Batman: Mask of the Phantasm s'avère être un long métrage à part entière, reprenant les codes de la génial série, mais avec son histoire et sa propre façon de l'aborder, toujours bien accompagné par l'excellente partition. Une histoire à trou, très complexe, aux retournements de situation recherchés, avec un méchant ultra charismatique et flippant, le Fantôme. C'est une véritable faucheuse, avec sa voix, son design, son thème et la fumée l'accompagnant. Aussi très accentué par l'excellent travail sur les ombres, l'obscurité et la pluie, ce qui nous offre des plans géniaux qui iconisent les personnages.
Mais le véritable intérêt de ce long métrage est la figure de Bruce Wayne, qui enfin est exploré. Dans la série il est clairement délaissé, c'est Batman et rien d'autre, deux ou trois petites miettes de temps en temps mais pas plus. Ici on explore son passé, ses débuts en tant que justicier, son histoire d'amour avec la fameuse Andrea... Mais ce qui est d'autant plus fort c'est que ça va toujours dans le sens de l'intrigue, ça fait avancer le tout. En même temps on y voit un Batman différent, qui se rappelle des souvenirs qui lui font mal, un Batman vulnérable (son identité n'a jamais été aussi proche d'être révélé) et profondément seul. Seul aussi dans l'opinion publique, car tout le monde le laisse tomber et le croit désormais assassin, sauf Gordon.
Et puis il y a cette insertion très intelligente et assez innatendu du Joker. Il fait extrêmement plaisir, comme d'habitude il est déchaîné, il capte le spectateur dès qu'il est a l'écran. Et là aussi on aborde son passé et son identité, c'est bien fait en plus.
Que demande le peuple. Un pur plaisir.
Ce Batman: Mask of the Phantasm s'avère être un long métrage à part entière, reprenant les codes de la génial série, mais avec son histoire et sa propre façon de l'aborder, toujours bien accompagné par l'excellente partition. Une histoire à trou, très complexe, aux retournements de situation recherchés, avec un méchant ultra charismatique et flippant, le Fantôme. C'est une véritable faucheuse, avec sa voix, son design, son thème et la fumée l'accompagnant. Aussi très accentué par l'excellent travail sur les ombres, l'obscurité et la pluie, ce qui nous offre des plans géniaux qui iconisent les personnages.
Mais le véritable intérêt de ce long métrage est la figure de Bruce Wayne, qui enfin est exploré. Dans la série il est clairement délaissé, c'est Batman et rien d'autre, deux ou trois petites miettes de temps en temps mais pas plus. Ici on explore son passé, ses débuts en tant que justicier, son histoire d'amour avec la fameuse Andrea... Mais ce qui est d'autant plus fort c'est que ça va toujours dans le sens de l'intrigue, ça fait avancer le tout. En même temps on y voit un Batman différent, qui se rappelle des souvenirs qui lui font mal, un Batman vulnérable (son identité n'a jamais été aussi proche d'être révélé) et profondément seul. Seul aussi dans l'opinion publique, car tout le monde le laisse tomber et le croit désormais assassin, sauf Gordon.
Et puis il y a cette insertion très intelligente et assez innatendu du Joker. Il fait extrêmement plaisir, comme d'habitude il est déchaîné, il capte le spectateur dès qu'il est a l'écran. Et là aussi on aborde son passé et son identité, c'est bien fait en plus.
Que demande le peuple. Un pur plaisir.
Connu comme être l'un des meilleurs animés de superhéros, ce film m'a quelque peu déçu même si je le considère quand même comme franchement bon. D'abord niveau de la BO particulièrement réussie. L'animation est certes très banale mais la mise en scène est dynamique et surtout l'ambiance est originale, nous plongeant dans un Gotham austère, old school tout en étant assez intemporelle. Le scénario est lui aussi très bien orchestré, avec rebondissements, intrigue peu prévisible et sots temporels bien ficelés. La romance avec un nouveau personnage de l'univers Batman est elle aussi intéressante, posant des enjeux quant au devenir de la double identité de Bruce Wayne.
Mais le gros problème c'est que le titre est mensonger. Ce nouveau personnage (fantome masqué) est certes bien introduit, mais il disparait peu à peu de l'intrigue spoiler: et n'est finalement pas le méchant de l'histoire, puisqu'on en revient encore au Joker (dont je commence à avoir une overdose) ! Dommage, surtout qu'on ne saisit pas du tout l'origine des pouvoirs du fantome masqué
. J'avoue avoir été décu par le combat final. Dommage car la proposition était novatrice.
Mais le gros problème c'est que le titre est mensonger. Ce nouveau personnage (fantome masqué) est certes bien introduit, mais il disparait peu à peu de l'intrigue spoiler: et n'est finalement pas le méchant de l'histoire, puisqu'on en revient encore au Joker (dont je commence à avoir une overdose) ! Dommage, surtout qu'on ne saisit pas du tout l'origine des pouvoirs du fantome masqué
. J'avoue avoir été décu par le combat final. Dommage car la proposition était novatrice.
excellent Batman d'époque. combat contre des trafiquants, combat contre le joker, contre la vengeance qui pourrit l'âme, Batman accusé de meurtre poursuivit par la police, tentative d'histoire d'amour, action digne d'un vrai Batman. excellent.
Une animation réalisée aux petits oignons, le design est super, l'histoire touchante, prenante avec une vision de Batman sous une tout autre forme. Un développant de personnages comme on n'en fait que trop rarement. Bref, une parfaite réussite!
Avec l’esthétique et le style du matériaux de base de la série, s'ajoute une narration soignée qui en fait une adaptation remarquable.
Batman contre le fantôme masqué s'inscrit parfaitement dans la lignée de la série animée de 1992. Normal quand on sait que ce sont Bruce Timm et Eric Radomski qui sont à la réalisation de ce film et qui sont également derrière la série animée. Le film est passionnant à suivre. Il est plus sombre que les épisodes de la série et la b.o de Shirley Walker (également à l'oeuvre sur la série) est magistrale. Bref, un film que j'ai vu et revu dans mon enfance et qui n'a pas pris une ride, encore aujourd'hui. Fan de la série animée de 1992, foncez regarder Batman contre le fantôme masqué, vous ne serez pas déçu.
Pour un dessin animé on frôle le chef d'oeuvre. BO, scénario, voix (originale et VF réussie également), on frôle la perfection sur 1h15.
➖AVIS BREF :
Un premier film d’animation pour Batman, un dérivé de la série originale. Ce dessins animés est le premier d’une lignée. On y découvre tout de suite cette univers par ce premier film, mais surtout ses personnages (Wayne, Gordon, Alfred, Joker, etc..). Après, il est tout de même un peu long à à la détente avant de réellement bougeait (jusqu’à ce que le Joker arrive ahah). Une fois arrivé c’est un peu plus rythmé, entre action et baston. Puis, on terminera sur un presque happy-end 😂 qui ne pourra que renforcé notre héros pour la suite !
Enfin bref, Un dessins animé Batman nostalgique et sympa.
Un premier film d’animation pour Batman, un dérivé de la série originale. Ce dessins animés est le premier d’une lignée. On y découvre tout de suite cette univers par ce premier film, mais surtout ses personnages (Wayne, Gordon, Alfred, Joker, etc..). Après, il est tout de même un peu long à à la détente avant de réellement bougeait (jusqu’à ce que le Joker arrive ahah). Une fois arrivé c’est un peu plus rythmé, entre action et baston. Puis, on terminera sur un presque happy-end 😂 qui ne pourra que renforcé notre héros pour la suite !
Enfin bref, Un dessins animé Batman nostalgique et sympa.
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