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Un visiteur
3,5
Publiée le 12 mai 2021
Probablement le American Pie le plus jouissivement débile de la saga. Le plus stupide, le plus déjanté, incorrect et dénué de sens ou même de semblant d'histoire. Là c'est s*xe, beuverie et stupidité. Est-ce qu'on va s'en plaindre ? Pas tellement. Quand on arrive a ce stade de la saga, on considère qu'on sait ce qu'on regarde. C'est quand même le 6ème épisode, et on peut légitiment se demander si American Pie ne s'est pas perdu dans la surenchère. Oubliez le passage à l'âge adulte, oubliez la remise en question, oubliez les responsabilités qui faisaient les thèmes initiatiques de précédents films. On reprend les personnages du précédent, Eric et Cooze qui rentrent à la fac et intègrent dans la fraternité de Dwight Stifler, la Beta House. Mais là où le précèdent reprenait les thématiques des premiers films, et essayait de raconter quelque chose, ici le film est plus une successions de sketchs. J'apprécie la démarche, parce que le film est sans prétention et réussi son objectif premier : nous faire rire ! Ce film est super drôle, et à voir entre potes, un peu pété, ça marche très bien, surtout dans la période actuelle. Le film est fluide, on ne s'ennui pas, et les répliquent cultes s'enchainent aussi vite que les filles dénudées à l'écran. On atteins des sommet dans la misogynie et la bêtise (je n'en revient toujours pas du coup du concours de dégrafage de soutif). On a quand même un personnage féminin sympa, Ashley, la nouvelle copine d'Eric, qui est assez rigolote (en plus d'être jouée par la charmante Meghan Heffern, qu'on retrouvera plus tard dans Blue Mountain Sate). Les Geeks comme antagoniste, ça fonctionne, et ça donne certains gags bien salés. Sans parler des références à la guerre du Vietnam comme Apocalypse Now ou Voyage au bout de l'enfer. La galerie de personnages, comme Mr Hangover ou Bobby, reste plaisante à suive. En revanche, la présence du père de Jim n'a plus aucun sens, il n'a clairement rien à faire ici. On sent qu'il fallait vraiment le caler quelque part, mais au moins l'acteur Eugene Levy semble s'amuser. Alors certes, a ce stade il ne reste d'American Pie que le nom. Mais c'est pas bien grave.
C'est la première fois que je regarde un des "spin off" de la série des American Pie et je le regrette bien. Donc on se sert de la famille Stiffler et ajoute ce bon vieux Eugene Levy pour faire genre, mais il s'agit juste ici d'aligner le plus de seins siliconés, vomi et sperme possible. Bien plus trash que les "American Pie" originaux qui conservaient une certaine insouciance et une équipe sympa, ce "Beta House" est lamentable, du scénario aux acteurs en passant par les gags nuls et/ou insupportables. Au secours.
Comme indiqué dans le titre VO, ce sixième numéro est une bêtise insignifiante. La présence d'Eugène Levy n'y change rien. Il est temps que cette série dérivée de la franchise se termine.
American Pie 6 : Beta house continue à faire sombrer la saga American Pie, dont les seuls bons films restent ceux avec les comédiens d’origine (donc les trois premiers), ce nouvel opus, dont on commence à en avoir un par an, fait donc partie des autres, à savoir des films inutiles tant l’histoire est stupide et n’étant qu’un prétexte pour montrer des seins, des dépucelages et autres gags en rapport avec le sexe. Les scénaristes n’hésitent pas à aller quelque fois assez loin dans la provocation, comme la scène avec la chèvre ou la scène de la roulette russe assez spéciale. Mais le pire c’est que les jeunes et autres aiment ce type de film, est-ce du au fait que nous pensons beaucoup au sexe et que le moindre film en traitant sans tabou nous attire ou est-ce parce que les fans des trois premiers pensent peut être retrouvé l’esprit de ces derniers dans ces films. Alors que pensez de ce film, est ce vraiment le dernier qu’ils devraient faire ou est il possible que l’on puisse rire. La critique au sujet du film est difficile, tant on peut reconnaitre que cet American pie reste dans las traditions des derniers, tant on retrouve du cul, des nichons, tout type de garçons (allant du timide au plus extravertie), des gags biens lourds mais dire que c’est ce qu’il y a de mieux dans ce genre serait mentir puisque ce film, certes drôles sur certains plans mais profondément lourd et ce type d’histoire finie par lasser étant donné que celle-ci nous est rabâchée dans tout les American-pie après trilogie, si ce n’est que les acteurs changent un peu, le campus n’est pas le même…. Le jeu des acteurs est un peu sommaire tant ces derniers sont assez débutant dans l’ensemble, en même temps, ils ne jouent pas des personnages demandant des interprétations spécifiques si ce n’est être assez crédible lorsqu’ils jouent dans des scènes assez hots. Ils ont tous du vivre des situations similaires quand ils étaient à la fac.... critique sur:cthiboy.blogs.allocine.fr
J'étais très content de savoir qu'ils allaient faire une suite au spin off "American Pie : String Academy", car je m'attendais à un autre spin off sans intéret. J'avais donc beaucoup aimé "String Academy", mais cette suite reste assez décevante par rapport à son prédécesseur. Les acteurs restent très bon, mais le scénario laisse à désirer. L'humour devient de moins en moins présent dans cette saga, alors que c'est censé être son but premier. On passe un bon moment certes, mais pas un moment drôle.
Un film inutile de chez inutile. Quel est l'intérêt, honnêtement, sinon commercial ? Alors ma critique est pratiquement identique avec tous les films de la saga. Casting pourri, film pas drôle avec un ado qui ne sait même pas comment utiliser correctement les toilettes. Un concours complètement débile entre deux groupes d’étudiants : les intellos et les idiots déguisés en romain histoire de dire : nous vivons comme les temps d'orgie romaines. Des jeunes de fac qui sont complètement à la masse et qui confondent vie de débauche et vie sobre. Ce film est une bêtise qui suit une bêtise. Ce film est une copie conforme du précédent, acteurs nuls, scénario inexistant avec masturbations et poitrines dénudés toutes les cinq minutes. On n'a même plus le temps de se reposer avec ce petit nanar. Et oui, la bêtise peut faire rire, mais là c’est vraiment trop. L’humour est lourdingue au possible, ce téléfilm montre les limites de l’humour à l’américaine. "American Pie : Campus en folie" ne fait jamais dans la finesse, et le film n’est donc presque jamais drôle. Pour ma part un film pas intéressant, avec 90 minutes de crétineries en tout genre, avec au programme : un déluge de poitrines, des scènes à répétitions où les acteurs se vomissent les uns sur les autres (quand ils ne se jouissent pas dessus), bref on pensait avoir atteint le summum en terme de débilité pour adolescents, mais il faut croire que non, la preuve en est avec cet étron cinématographique
Bien mieux que String academy, ce volet ne manque pas de coup bas. Mais les cousins Stifler ne sont pas à leurs premier coup et les coups bas sont dans le sang de génération en génération.
le film le plus sexy et déjanter de la saga . des fille sexy , des gags , du fun , des épreuves et meme quelques épreuves degeus. par contre la voix de Eugène Levy à changer et cest un peu gênant surtout que sa vf et bizarre
American Pie : Campus en folie reste dans la même lignée que les précédents films. L’humour n’est absolument pas efficace, le film est ennuyeux du début à la fin, le scénario est plat, ridicule et sans aucun intérêt, la mise en scène de Andrew Waller reste très simple et pour finir, les acteurs comme John White, Christopher McDonald ou encore Steve Talley sont peu convaincants dans leurs rôles.
Ce campus en folie est une véritable orgie romaine, un porno humoristique sans aucun scénario. Je dis bien aucun!! Les Geeks affrontent les Betas au cours d'épreuves déjantées en essayant d'être le plus crade possible. Un simple prétexte pour présenter des nichons et de la bière à outrance. Sexe et beuverie sont donc les seules composantes de cet opus dibilosse mais qui toutefois, se révèle un tantinet supérieur au précédant. Ça laisse une vague idée du niveau. Sans oublier l'inutile participation d'un Eugène Levy qui n'y croit plus depuis longtemps. Après avoir été un père plus qu'intentionné, il est devenu moniteur dans un camps de vacance, puis le voici à présent avocat. WTF!! C'est quoi le délire avec ce pauvre Mr Levenstein ?! Son rôle n'a plus aucun sens!! Bref, le résultat n'est qu'un film insipide et décérébré, tout à fait en phase avec notre société pornographique actuelle où l’attirance physique est un jeu de tous les jours. Un véritable pécher!! 2,5/5