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so13
37 abonnés
632 critiques
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4,0
Publiée le 1 novembre 2009
Ah le dernier American pie, quel dommage qu'il n'y est pas eu d'autres American pie! Bon ben le dernier film est dans la lignée des autres American pie! Il n'y a donc pas de surprise mais c'est toujours aussi bon!
C'est lequel celui-là ? Le cinq ?; le six ?; ah oui c'est bon, voilà, c'est donc le cinquième volet de la franchise « American Pie »… Bah… Faut dire quoi là ? J’en sais rien moi, tiens navet… Oui voilà « navet », c’est le bon terme pour expliquer ce film…
13 713 abonnés
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1,0
Publiée le 17 juin 2013
« J'adore l'odeur des nibards humides au petit matin »...American Pie sixième pour un campus en folie! Mais ne pas s'y trompez, c'est plus dèbile qu'une sèrie Z franco-allemande! Erik Stifler et son ami Cooze sont de retour dans le Michigan pour leur première annèe d'universitè! D'où, cet opus supplèmentaire pour raconter leurs exploits dans une confrèrie entre compètition sans pitiè, lolos à foison et grosse èjaculation! Atteignant vraiment le fond du panier, ce sixième volet d'une saga infatigable contient des gags bien lourds en sombrant rapidement dans le clin d'oeil vulgaire (roulette russe façon "The Deer Hunter" avec des flacons de sperme de taureau à la place des balles). Mais rassurez-vous, Eugene Levy est toujours là pour la bonne cause et se prend même pour Jules Cèsar (cette idèe d'olympiade est d'un con). Pour ce dernier, c'est un rendez-vous manquè avec le cinèma depuis belle lurette...
Après un début sympathique, on commence à s'ennuyer. Les gags sont rares ou lourds et on a qu'une envie, c'est que toutes ces épreuves se terminent au plus vite.
Il faut bien le dire avec honnêteté, ceci n'est pas drôle. Je n'ai pas ris une seul fois, même pas un petit sourire en coin. Si on le compare aux autres, ce qui est normal,il n'est pas intéressant, on se demande quand arrivera les blague et toute les scènes cocasses mais ça ils n'arriveront jamais. Bref, il est nul, point final.
American pie campus en folie est pas super mais pas trop mal .Les producteur on essayer de faire un peut de diffèrent a propos de l'histoire car il ne cherche plus a se dépuceler mais a gagner les olympiades grecque et sa donne un film moyen avec quelque situation amusante.
Episode un poil meilleur que le précédent mais d'un niveau toujours très bas. Tout prête ici aux situations les plus débiles, et celles-ci s'enchaînent sans arrêt. Certains moments donnent à sourire et les plus jeunes y trouveront peut-être leur compte mais pour ceux avec plus de maturités, cet épisode restera juste mauvais et une nouvelle tentative de surfer sur le succès de la trilogie originale (à l'époque).
Par pitié, qu’ils arrêtent le massacre ! American Pie présente : Campus en folie (2007) est le troisième spin-off (il y en a 4 en tout) de la franchise et visiblement, plus rien ne semble vouloir les arrêter. Bien évidemment on est bien loin des premiers opus de la saga (1999/2001/2003), ces DTV dépravés (et décérébré) où l’humour a laissé place à la débauche de sexes et autres blagues vulgaires sont réellement navrants. Pour ce troisième DTV, on assiste donc à la suite directe de American Pie présente : String Academy (2006) où John White (qui interprète Erik, le cousin de Stifler) était au collège. Cette fois-ci, il récidive mais à la fac et histoire de créer un semblant d’originalité, ce ne sont plus des nains qui sont mis sur le devant de la scène mais des geeks. 90 minutes de crétineries en tout genre, avec au programme : un déluge de poitrines, des scènes à répétitions où les acteurs se vomissent les uns sur les autres (quand ils ne se jouissent pas dessus), bref on pensait avoir atteint le summum en terme de débilité pour adolescents, mais il faut croire que non, la preuve en est avec cet étron cinématographique.
Un peu crado par moment, ce film sur les fratries américaines, toujours avec Eugène Levy, est moyen. Il se laisse voir, reste dans l'esprit des "American Pie" mais déçoit par son humour peu poussé et moins de personnages charismatiques comme ses versions précédentes.
Troisième opus de cette série dérivée "American Pie Présente", réalisé cette fois par Andrew Waller et sorti en 2007, est tout aussi mauvais que le précédent. Encore une fois, "Band Camp" n'était pas terrible mais restait dans l'ambiance des trois premiers (le quatre n'étant pas encore sorti à ce moment-là) avec un humour certes lourd mais plutôt gentillet. Oui, l'histoire n'était pas bien passionnante mais se laissait regarder avec un certain plaisir, du moins pour les amateurs de la franchise. Mais à partir de "The Naked Mile", plus on avance dans cette série de spin-off, plus on va vers du vulgaire difficilement tenable sur une heure et demie. Je ne dis pas que c'est difficilement tenable dans le sens irregardable mais c'est difficilement tenable sur la durée. Ici, le scénario est tellement pauvre que nous avons deux histoires en une : d'un côté, les personnages du précédent opus (ce qui en fait d'ailleurs une suite directe) entrent enfin à la fac et doivent accomplir diverses tâches pour se faire accepter et de l'autre, on suit une espèce de guerre entre la Beta House (à laquelle appartiennent les deux Stifler) et la Geek House. Plus de puceaux et plus de course au sexe donc (ça peut paraitre incroyable mais c'est déjà le cas depuis "American Pie 2" donc le film ne révolutionne rien) mais simplement une série de jeux et situations tous plus débiles les uns que les autres, sans, en plus, que cela ne fasse véritablement sens. On suit en effet un semblant d'histoire qui ne se contente que d'accumuler des petits sketchs tous plus dégueulasses les uns que les autres (et je pense notamment à la roulette russe), ce qui en devient très lassant. "American Pie présente : Campus en folie" était le seul film de toute la franchise que je n'avais pas encore vu et dois bien avouer que je n'avais rien perdu !
Deuxième épisode de la nouvelle saga commencée avec le cinquième épisode, ce sixième comporte tous les ingrédients de la recettes d'origine: la jeunesse américaine, le sexe, l'alcool et ici le duel des confréries américaines. Même s'il souffre par moment d'un côté téléfilm plus prononcé que les deux autres épisodes le précédent, le film offre certaines scènes cultes comme celle du sperme volant au ralenti à travers la pièce. Du lourd, je vous dis!!! Les acteurs de cette saga sont aussi attachants que ceux de la série originelles, et le cousin Stifler encore plus déjanté que l'original. Un film de plus qui comme les cinq autres méritent vraiment d'être vu pour un bon moment de rigolade et de non prise de tête. Qui a dit qu'il fallait que cela soit automatiquement intelligent?