Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
16 critiques presse
Critikat.com
par Anaïs Vincent
Ce drame poétique à l'esthétique soignée, empreint de symbolisme nous conduit à tâtons dans le tortueux labyrinthe de l'âme de ses personnages révélant leurs blessures intimes, métaphore d'un pays divisé.
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
Le Monde
par Jean-Luc Douin
Dream est brutal autant qu'onirique. Esthétiquement fruste. Une peinture très coréenne, avec jeux d'inversions, de ce qu'André Breton nomma les "vases communicants". Un traitement très personnel des thèmes qui inspirèrent les surréalistes.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Positif
par Alain Masson
C'est un des mérites de l'art de Kim Ki-duk : lier la pratique inventive du style à la découverte de vérités humaines.
La critique complète est disponible sur le site Positif
Excessif
par Romain Le Vern
Sans retrouver la grâce de ses précédents longs-métrages, le cinéaste coréen laisse apparaître les coutures de son style.
La critique complète est disponible sur le site Excessif
L'Ecran Fantastique
par Gilles Penso
Dream laisse une impression mitigée, le film n'exploitant pas avec autant d'efficacité qu'on l'aurait souhaité son concept extraordinaire, et s'achevant sur des images certes très poétiques, mais franchement frustrantes d'un point de vue scénaristique.
La critique complète est disponible sur le site L'Ecran Fantastique
Le Figaroscope
par La rédaction
La caméra toujours élégante de Kim Ki-duk se perd dans les méandres d'une fantasmagorie mi-romantique mi-horrifique. Brillant mais assez vain.
La critique complète est disponible sur le site Le Figaroscope
Première
par Philippe Rouyer
Cette diversité qui fait le charme de son cinéma en dessine aussi les limites quand, comme dans Dream, le concept choisi tourne court. La faute à une intrigue aussi ténue qu'embrouillée.
La critique complète est disponible sur le site Première
L'Humanité
par La rédaction
Sa précédente réalisation, Souffle, avait dérouté, mais moins que celle-ci, qui repose sur un postulat compliqué, dont l'enjeu profond pourrait être d'illustrer les contradictions du yin et du yang. Soit, mais on regrette que ce postulat génère autant de métaphores décoratives.
La Croix
par Corinne Renou-Nativel
(...) le réalisateur Kim Ki-duk semble s'être perdu en chemin.
La critique complète est disponible sur le site La Croix
Le Journal du Dimanche
par Stéphanie Belpêche
(...) le film s'enlise dans un récit répétitif.
La critique complète est disponible sur le site Le Journal du Dimanche
Les Inrockuptibles
par Vincent Ostria
Tout ce maniérisme arty pour illustrer la métaphysique du yin et du yang, donne une impression de gratuité. Seul semble compter le lyrisme du geste. Le cinéma peut-il se contenter de n'être qu'un geste, aussi gracieux soit-il ?
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
TéléCinéObs
par Nicolas Schaller
(...) après un début fulgurant, le film s'enferre dans son dispositif, recycle sans inspiration les figures de style habituelles du cinéaste et vire à la métaphore factice. Kim Ki-duk aurait voulu s'autocaricaturer, il n'aurait pas fait mieux.
La critique complète est disponible sur le site TéléCinéObs
Télérama
par Samuel Douhaire
On se perd entre les scènes de violence, filmées avec complaisance, et les images poétiques au symbolisme lourdaud.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Cahiers du Cinéma
par Stéphane du Mesnildot
L'aimable mélodrame fantastique, vire, sans surprise, au Grand-Guignol.
La critique complète est disponible sur le site Cahiers du Cinéma
Libération
par Didier Péron
Le sud coréen Kim Ki-Duk n'arrive toujours pas à nous intéresser, ces oeuvrettes se succèdent indifféremment.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Studio Ciné Live
par Thierry Cheeze
Voir le site Studio Ciné Live .
La critique complète est disponible sur le site Studio Ciné Live
Critikat.com
Ce drame poétique à l'esthétique soignée, empreint de symbolisme nous conduit à tâtons dans le tortueux labyrinthe de l'âme de ses personnages révélant leurs blessures intimes, métaphore d'un pays divisé.
Le Monde
Dream est brutal autant qu'onirique. Esthétiquement fruste. Une peinture très coréenne, avec jeux d'inversions, de ce qu'André Breton nomma les "vases communicants". Un traitement très personnel des thèmes qui inspirèrent les surréalistes.
Positif
C'est un des mérites de l'art de Kim Ki-duk : lier la pratique inventive du style à la découverte de vérités humaines.
Excessif
Sans retrouver la grâce de ses précédents longs-métrages, le cinéaste coréen laisse apparaître les coutures de son style.
L'Ecran Fantastique
Dream laisse une impression mitigée, le film n'exploitant pas avec autant d'efficacité qu'on l'aurait souhaité son concept extraordinaire, et s'achevant sur des images certes très poétiques, mais franchement frustrantes d'un point de vue scénaristique.
Le Figaroscope
La caméra toujours élégante de Kim Ki-duk se perd dans les méandres d'une fantasmagorie mi-romantique mi-horrifique. Brillant mais assez vain.
Première
Cette diversité qui fait le charme de son cinéma en dessine aussi les limites quand, comme dans Dream, le concept choisi tourne court. La faute à une intrigue aussi ténue qu'embrouillée.
L'Humanité
Sa précédente réalisation, Souffle, avait dérouté, mais moins que celle-ci, qui repose sur un postulat compliqué, dont l'enjeu profond pourrait être d'illustrer les contradictions du yin et du yang. Soit, mais on regrette que ce postulat génère autant de métaphores décoratives.
La Croix
(...) le réalisateur Kim Ki-duk semble s'être perdu en chemin.
Le Journal du Dimanche
(...) le film s'enlise dans un récit répétitif.
Les Inrockuptibles
Tout ce maniérisme arty pour illustrer la métaphysique du yin et du yang, donne une impression de gratuité. Seul semble compter le lyrisme du geste. Le cinéma peut-il se contenter de n'être qu'un geste, aussi gracieux soit-il ?
TéléCinéObs
(...) après un début fulgurant, le film s'enferre dans son dispositif, recycle sans inspiration les figures de style habituelles du cinéaste et vire à la métaphore factice. Kim Ki-duk aurait voulu s'autocaricaturer, il n'aurait pas fait mieux.
Télérama
On se perd entre les scènes de violence, filmées avec complaisance, et les images poétiques au symbolisme lourdaud.
Cahiers du Cinéma
L'aimable mélodrame fantastique, vire, sans surprise, au Grand-Guignol.
Libération
Le sud coréen Kim Ki-Duk n'arrive toujours pas à nous intéresser, ces oeuvrettes se succèdent indifféremment.
Studio Ciné Live
Voir le site Studio Ciné Live .