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    Bad Boy Bubby
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    41 critiques spectateurs

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    Extremagic
    Extremagic

    71 abonnés 484 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 12 novembre 2015
    Je croyais que ce film était une sortie actuelle et puis en entrant dans la salle le film se lance et il y a le réal qui a fait une petite vidéo en français pour nous parler un peu de son film, c'était pas dingue mais il exposait ses intentions et expliquait que le film ne datait pas d’aujourd’hui. Bon dans ce film tout est déjà vu mais comme le sujet c'est pas l'important dans un film je dois dire que le traitement est vraiment plaisant pour la simple et bonne raison qu'il n'est jamais moraliste. En fait il aurait été trop facile de tomber dans la caricature (je ne dis pas que le film ne le fait pas mais il faut dire qu'il a un fort potentiel comique j'y reviendrais). Ce genre de personnages à la Kaspar Hauser on les a déjà vu mille fois, en plus on nous fait souvent prendre un point de vue externe qui vient bien nous indigner de ce qu'il subit alors que franchement qui aurait le culot de prétendre se comporter "normalement" (même si ça ne veut rien dire) face à un individu comme ça. Le mec n'a aucun repère social, tu le prends forcément pour un timbré. Le film est vraiment subtil pour ça. Même dans les scènes où il s'en prend plein la gueule t'as pas envie de t'énerver pour prendre sa défense. Pas que tu ne ressentes pas d'empathie pour le personnage juste que tu comprends bien que la société telle qu'elle est faite n'est pas sa place. Alors forcément je suis un peu mitigé par ce happy end, j'y crois pas trop mais le film a le mérite de ne pas se revendiquer réaliste ou quoi. Le discours philosophique (vis-à-vis de Dieu et de l'existentialisme) tenu par le film je ne sais pas trop si il est à prendre au pied de la lettre (si oui, c'est de la connerie) mais comme beaucoup de moments du film. Ce film a quelque chose d'assez drôle, d'un rire bergsonien (encore que... il mélange pas mal les registres). Et puis de manière générale il est assez juste sur le fonctionnement de l'apprentissage de l'enfant, la curiosité, le mimétisme, etc. Après j'ai été vraiment mal à l'aise avec les premières minutes du film. Je pensais que tout n'allait être qu'un huis-clos et je me demandais comment j'allais tenir avec une telle ambiance, c'est poisseux, sale, on se sent mal-propre en voyant ça, sans en faire des caisses encore une fois. Même si la mise-en-scène n'est pas très élaborée, le film tient surtout à l'interprétation de l'acteur, elle est efficace, mais pas de cette efficacité facile genre à la Requiem for a dream (assez proche en terme d'ambiance) où on voit tout les artifices, là on a quelque chose de moins ostentatoire, de plus sous-jacent dans la malsainité, donc de plus corrosif ? J'ai aussi beaucoup aimé l'humour noir du film, le truc des meurtres avec le cellophane. Sinon les scènes de concert (les musiques rock sont excellentes), c'était forcé que dans ce film le perso soit exposé comme un freak et c'est là où tu vois la subtilité, il est exploité mais pas méchamment, on a pas envie d'égorger des chatons quand on voit le film, on n'est jamais dans l'indignation moraliste, et c'est vraiment un point fort. Sans être un film dingue ça reste de qualité, au moins ça ne tombe pas dans les travers de ce genre de sujet.
    Ykarpathakis157
    Ykarpathakis157

    4 708 abonnés 18 103 critiques Suivre son activité

    0,5
    Publiée le 13 février 2021
    Bad Boy Bubby est très sombre j'entends par là un faible éclairage amateur et aussi le thème du film. Un garçon qui est probablement tombé malade parce que sa mère était assez malade pour élever son fils complètement à l'intérieur et en plus elle l'a utilisé sexuellement. Il n'est pas étonnant que le garçon ne sache pas distinguer le bien du mal ou le bon du mauvais. En regardant ce film vous vous sentirez dégoûté par les choses que les gens peuvent se faire entre eux et même à leurs propres enfants dans ce monde. Il sera peut être apprécié par les tueurs de chats parce que c'est un film vraiment triste. Chaque fois que je vois un mauvais film je le compare à celui-ci et j'ai rarement vu aussi mauvais...
    Vinz1
    Vinz1

    186 abonnés 2 449 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 2 novembre 2022
    Ce film est très dérangeant mais fascinant à différents degrés. Le premier se situe au niveau de l’éventail très diversifié des personnages que rencontre Bubby : une chanteuse de la chorale de l’armée du salut nymphomane, un groupe de rock dont les membres en font le principal interprète grimé en prêtre, un détenu muet qui le moleste, une infirmière s’occupant d’handicapés et dont il tombe amoureux et tant d’autres « phénomènes de foire ». De Heer nous brosse d’admirables portraits et ne se gêne pas pour écorner certains traits de la société dans laquelle nous évoluons et dont il a d’ailleurs, une vision assez réaliste. Le second attrait de ce film déjanté est l’acteur interprétant Bubby qui réussit là une prouesse de comédien incroyable : arriver à passer d’une scène de meurtre à une scène d’amour avec la même candeur à la fois troublante et touchante est une authentique performance. Vous l’aurez compris, Nick Hope est fantastique dans ce film tant par son jeu phénoménal que par les émotions qu’il suscite. Enfin, ce qui séduit avant tout, c’est ce savant mélange de scènes éclectiques qui nous fait passer du rire aux larmes en un éclair et nous met tantôt mal à l’aise ou tantôt nous réjouit et ça c’est le vrai cinéma ! Il est alors dommage pour les spectateurs et pour tous les artistes à l’origine de cet ovni cinématographique qu’il ne soit pas si connu !
    Guillaume p
    Guillaume p

    31 abonnés 292 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 19 février 2018
    Ahala que c'est triste de découvrir ce genre de chef d'oeuvre aussi tardivement. Que dire à part qu'il s'agit d'un violent pamphlet anti religion sous couvert d'une histoire humaniste qui fait le plus grand bien. Un Grand film.
    Pascal
    Pascal

    163 abonnés 1 699 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 2 novembre 2023
    Prix spécial du jury (93) au festival de Venise ( le jury était présidé par le cinéaste australien Peter Weir), " Bad boy buddy" est signé de Rolf De Heer, cinéaste lui aussi australien.

    Le film bénéficie d'une bonne réputation, même d'une aura, parmi les happy fews. Notons que Q. Tarantino a fait connaître tout le bien qu'il en pensait.

    A travers l'histoire d'un jeune homme, simplet, enfermé jusqu'à ses trente cinq ans par une mère désaxée, le metteur en scène propose une réflexion sur la religion, la recherche du bonheur ( ici ce sera la pizza, le rock, l'amour) et la liberté.

    Faisant penser à un "Forrest Gump" expérimental, " Bad boy buddy" est ( à mes yeux) trop souvent ennuyeux.

    Certes la première et la dernière demi-heure réservent des moments intéressants, agréables à suivre, mais le résultat final me semble tout de même plutôt raté, par l'ennui qu'il distille.

    Le scénario perd beaucoup en intensité, une fois exposés les éléments principaux du propos.

    Connu pour la participation d'une trentaine de chefs opérateurs ( chacun filmera une scène), on ne peut nier que cet opus de De Heer suscite la curiosité. Mais pour ma part, cette découverte me laisse, malgré la sympathie qu'inspire le film, vraiment sur ma faim.
    Léo Peteytas
    Léo Peteytas

    17 abonnés 111 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 2 août 2024
    Violent, drôle, loufoque, "Bad Boy Bubby" de Rolf de Heer est une curieuse œuvre à l'esthétique particulière, rappelant sans mal le style de Terry Gilliam. L'enfance malheureuse, les abus subis par Bubby, montrés dans toute leur crudité, dans toute leur cruauté, engagent à réfléchir sur la construction de l'enfant ; construction influencée, on le sait, par le milieu. Ici, l'enfermement et les sévices produisent un être ignorant à la fois les réalités du monde, mais également ses grands principes. Ainsi, les violences commises par Bubby envers le chat, si elles sont absolument dérangeantes, ne sont pas symptomatiques d'un sadique. Il ne sait pas, expérimente sans comprendre la portée de ses gestes et se faisant, en vient à commettre l'irréparable. N'ayant rien appris ni des codes sociaux ni des comportements, en général, à adopter envers les êtres vivants, Bubby se comporte ou mal, ou de façon étrange pendant une bonne partie du film. Le cynisme de l'œuvre apparaît alors précisément quand Bubby tente d'interagir avec des femmes. Il s'y prend très mal, évidemment, ce qui donne lieu à des séquences décalées qui correspondent bien à notre énergumène, rendu sympathique par cette simplicité enfantine qui est la sienne et par cette espèce de folie qui l'habite. Bubby est complètement givré, ce qui est souvent amusant. Mais, il est aussi profondément humain. Là est une réussite majeure du film : Ne pas faire du personnage juste un délirant, bête, méchant, fou… Bubby est tel qu'il est (Toute personne enfermée pendant 35 ans, dans des conditions similaires aux siennes, tournerait inévitablement marteau), sans que cela ne nuise jamais à cette humanité qui est la sienne. La découverte de la Pizza - Quelle scène ! Quel air de "Soleil vert" ! -, la découverte d'une imprimerie, un jeu avec un enfant, l'amitié avec le second chat - Preuve, si c'était nécessaire, que Bubby conçoit plutôt de la curiosité et une forme d'amitié pour ces petites bêtes, plutôt que de la malveillance -, sont autant d'éléments qui lui permettent de s'affirmer. Ni mauvais, ni méchant, Bubby est un grand enfant qui cherche sa place. Par chance, ses rencontres successives avec des personnes bien intentionnées lui ouvrent de nouvelles portes. Sa passion pour la musique qui seule, semble être en mesure de l'apaiser, à quelque chose de touchant. Le groupe de musiciens devient comme sa famille, celle qu'il n'a jamais eu, tandis que sa rencontre avec Angel et les résidents du centre ou il est hébergé achève de révéler sa sensibilité. Le portrait de Bubby est alors complet. Une vie nouvelle s'ouvre à lui. Une façon subtile de dire que le destin n'existe pas, qu'il n'y a pas de fatalité dans la vie et que peu importe le temps que l'on peut penser avoir perdu, pour ces raisons là ou pour d'autres, il n'appartient qu'à nous d'essayer d'avancer. - Le meurtre de ses parents puis ceux d'Angel sont tout un symbole : Pour évoluer, il est parfois nécessaire de "tuer" ce qui nous effraie, nous fait souffrir. De mettre, une bonne fois pour toutes derrière soi les expériences tristes, les misères qui ont été les notre, si l'on compte vivre. Vivre, pour ne pas végéter ; vivre, pour ne pas toujours, aller mal -. Cette idée rejoint la critique de la religion, de Dieu, superbement présentée dans une séquence d'anthologie. Elle nous propose de réfléchir à notre place dans le monde, et à nos responsabilités dans la conduite de notre existence. Dieu ne peut pas tout, Dieu n'est pas tout. On ne peut se défiler en se cachant derrière lui pour échapper aux résultats de nos choix et de nos actions. Le destin, s'il existe, n'appartient qu'à nous. Le parcours de Bubby montre qu'ils n'est jamais trop tard pour découvrir, explorer parce que, qui sait ! On a jamais perdu trop de temps, pour rencontrer d'autres gens. On a jamais perdu trop de temps pour trouver sa place, pour vivre, et pour être heureux.
    Fabien S.
    Fabien S.

    562 abonnés 4 150 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 21 avril 2018
    Un excellent film sur un homme dépravé qui découvre la beauté et la sensibilité du monde extérieur. A conseiller à tous ceux qui veulent découvrir un film magnifique.
    Nico591
    Nico591

    47 abonnés 800 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 7 décembre 2015
    Véritable trip expérimental qui dépeint la société sous la forme d'une satire macabre, un peu comme Kubrick l'avait fais dans "Orange Mécanique".
    Avec son style craspec et son personnage extravagant, le film met souvent mal à l'aise, bouscule les conventions de l'époque et assume totalement son coté déjanté et rock'n'roll.
    Culte pour toute une génération, le film ne laisse pas indifférent mais pour ma part, il est entaché par l'antipathie de l'acteur Nicholas Hope qui sous ses faux airs de Jack Nicholson en fait des tonnes au point d'en devenir très agaçant.
    Michel Gillen
    Michel Gillen

    25 abonnés 171 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 30 mars 2024
    Film bouleversant, cet homme détruit par sa mère, s"echappe et intégre ce monde pourri tout en devenant un être humain et connaissant tendresse et amour et joie de vivre. Son rapport avec le groupe de rock avec lequel il participe en hurlant le peu de phrases qu'il est capable de prononcer est hilarant et en même temps d'une grande finesse.
    raphaelK
    raphaelK

    16 abonnés 401 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 30 novembre 2017
    BAD BOY BUBBY est une expérience de cinéma dérangeante et allumée. Fascinante aussi. objet étrange et puissant, poisseux et merveilleux. L’histoire de Bubby, enfant sauvage de 35 ans, reclus dans une sorte de bunker glauque avec sa mère obèse et incestueuse et qui, finalement, va se frotter au monde extérieur pour la première fois et découvrir les arbres, les chats, la violence, les pizzas et le rock.
    LeMagduCiné
    LeMagduCiné

    67 abonnés 626 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 25 janvier 2016
    Pietà

    Voilà une image du film de Rolf de Heer qui justifie les éloges dithyrambiques à son égard : une étrange Pietà composée de Bubby (Nicholas Hope), un enfant enfermé dans un corps d’adulte qui tient dans ses bras Rachael (Rachael Huddy), une femme amoureuse enfermée dans un corps tourmenté, empêché… une image forte, violente même, dans ce qu’elle suscite comme émotions.

    20 ans après sa sortie en France et suite à la présence du cinéaste Rolf de Heer au festival Lumières de Lyon au mois d’Octobre dernier, Bad Boy Bubby ressort dans les salles françaises pour le plus grand bonheur des cinéphiles qui aiment les chemins de traverse, les expériences insolites, les œuvres déjantées et les films cultes.

    Le cinéaste australien (36 œuvres à son compteur) est connu pour ne jamais refaire la même chose, et sa filmographie est protéiforme ; par exemple, son dernier opus en date, Charlie’s Ccountry, ne peut pas être plus éloigné de Bad Boy Bubby, son quatrième film qu’il a mis 10 ans à tourner. Tandis qu’au travers de Charlie (David Gulpilil), un aborigène las de se battre contre un système auquel il ne veut pas se plier et parti se réfugier dans le bush de ses origines, Charlie’s Country fait la part belle à la nature dans un rythme lent et presque lancinant, Bad Boy Bubby évoque davantage des paysages sombres ou lugubres, post-industriels dans une ambiance généralement frénétique. Et c’est véritablement un film expérimental que le cinéaste a voulu livrer au spectateur, avec un travail considérable sur le son et la lumière.
    Cyril J.
    Cyril J.

    27 abonnés 625 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 2 janvier 2017
    Bubby est un enfant de 35 ans, séquestré, humilié, débilisé et violé régulièrement par sa mère, elle-même bien limitée. Quand les circonstances l’aident à appliquer ses déductions, il parvient à se libérer et sera bientôt brinquebalé violemment dans le monde sauvage des hommes. Clochards, ecclésiastiques, compagnons de cellules, bourgeoisie pseudo-spirituelle, centre pour handicapés, groupes de hard-rock, aideront notre malheureux mais criminel innocent à devenir Pope, sa nouvelle personnalité socialisée.
    Les tribulations burlesques, corrosives et cruelles de ce malheureux mais génial débile serviront à cet original film australien, sombre, violent, comique, tragique, touchant, crasse, initiatique, aux accents clairement anticléricaux, à brandir son plaidoyer pour les marginaux, et son insolente satire d’une société où les plus méchants et idiots ne sont pas ce qu’on croit.
    Gerard M
    Gerard M

    11 abonnés 78 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 11 janvier 2017
    quand va-t-on enfin rétablir ce grand grand film à sa juste place , avec par exemple Birdy , que l'on a egalement tendance à oublier , Vol au dessus d'un nid de coucou , etc... Grands poemes réalistes à la vie , porteurs de tres belles idées sans etre confus et surfaits comme chez Jodorowski ; Oeuvre tres etrange mais pas complexe , représentative du cinéma indépendant , mais gainée d'une réalisation parfaite . On y retrouve les grands thémes poétiques modernes d'auteurs immenses comme Fellini , Bunuel , nimbés de dialogues à la Bukowski : du grand réalisme fantastique , plus fort encore que le splendissime Freaks , avec la joie , à chaque vision , de trouver à chaque fois de nouvelles choses . Un réel chef d'oeuvre
    Iloonoyeil
    Iloonoyeil

    38 abonnés 248 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 8 septembre 2024
    Bonjour,

    Une odyssée infernale de Buddy dans le monde prétendument civilisé.........

    Magnifique réquisitoire en faveur des les enfants maltraités.

    A vous.

    Gérard Michel
    Kurisuteru
    Kurisuteru

    13 abonnés 23 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 11 mai 2023
    Quand mon ami m'a proposé ce film, il lui a fallut beaucoup de patience et de persuasion pour que j'accepte de le visionner connaissant ses gouts en la matière mais j'avoue avoir été surprise par cet ovni, ce chef d'oeuvre mené de main de maitre par rolph de heer.

    "Séquestré depuis sa naissance par sa mère, Bubby ignore tout du monde extérieur qu’il croit empoisonné. L’arrivée de son père, dont il était tenu éloigné, va bouleverser sa vie. Le jour de ses 35 ans, Bubby va enfin sortir. Il découvre un monde à la fois étrange, terrible et merveilleux où il y a des gens, de la pizza, de la musique et des arbres…"

    Le scenar machiavélique est bien suivi par le jeu exceptionnel des acteurs (il y a certaines scènes difficiles à jouer avec autant de naturel, je vous l'assure).
    De plus l'atmosphère pesante bien ficelée ne fait qu'amplifier la noirceur de l'histoire contée, tout est apuré en décor.

    Pour un noir et blanc (je n'aime pas trop ça), pardon du sombre, il est remarquable.
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