Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
25 critiques presse
Cahiers du Cinéma
par Ariel Schweitzer
Les plans séquences lents et statiques renforcent la tension à l'intérieur du cadre (...) Les Sept jours porte un regard inquiet et audacieux sur une société israelienne archaïque, névrosée et violente, qui n'en a pas fini avec ses démons.
La critique complète est disponible sur le site Cahiers du Cinéma
Elle
par Florence Ben Sadoun
(...) les deux réalisateurs israéliens prennent à-bras-le-corps avec leur caméra invasive une famille en crise qui pourrait ressembler à la leur, ou à la nôtre.
La critique complète est disponible sur le site Elle
L'Humanité
par Jean Roy
(...) mine de rien, qu'est-ce que cela en dit long, sur une société (...) Mais ce qu'on admire encore davantage est la manière dont la caméra saisit tout ça (...)
Les Inrockuptibles
par Jean-Baptiste Morain
Le cinéma des deux Elkabetz, imposant, outré, viscéral, (...) représente un territoire tout à fait particulier et singulier dans la mosaïque du cinéma israélien en pleine ascension.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
aVoir-aLire.com
par Olivier Frégaville-Arcas
Emporté dans ce manège de sentiments, entre rires e larmes, touché au coeur, on est bouleversé.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
Charlie Hebdo
par Stéphane Bou
Premier plan magnifique, à la fois poignant et grotesque. Tout le film qui suit est dans le même esprit : un scénario de Bergman auquel aurait contribué le plus ironique et facétieux des auteurs de comédies italiennes.
Ciné Live
par Iris Mazzacurati
Voir le site www.cinelive.com
La critique complète est disponible sur le site Ciné Live
L'Obs
par Pascal Mérigeau
Le film se trouve confronté à ce problème majeur que constitue pour lui le manque d'originalité de son prétexte (...) il reste à apprécier (...) la qualité d'ensemble d'une distribution très exceptionnelle dont l'éclat (...) ouvre sur plusieurs moments de grâce.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
La Croix
par Bruno Bouvet
La description est sombre, aux couleurs du deuil et du chagrin. Mail elle atteint le coeur, une fois encore, symbole d'un cinéma israélien en plein renouveau (...).
La critique complète est disponible sur le site La Croix
Le Figaroscope
par La Rédaction
Les auteurs épinglent avec pertinence un groupe d'hommes et de femmes obligés de faire de concessions. Intéressante étude de caractère (...)
Le Monde
par Jean-Luc Douin
Ronit et Schlomi Elkabetz en ont fait le deuxième volet de la trilogie entamée avec Prendre femme. Dès qu'elle [la réalisatrice] surgit à l'écran, la tension grimpe de façon stupéfiante.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Le Parisien
par Marie Sauvion
Au-delà de la passionnante description des coutumes juives (...) ce huis clos, remarquablement interprété, séduit par son intelligence et son intensité.
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
Libération
par Philippe Azoury
Les Sept jours est passionnant (...) Paradoxalement, c'est du côté de la direction d'acteur que le bât blesse (...) c'est le manque d'habitude de certains à jouer avec les autres et non pour eux-mêmes.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Ouest France
par La Rédaction
Un boulversant examen de conscience collectif.
Paris Match
par Christine Haas
De grand acteurs israéliens (...) apportent leur individualité et nourrissent des liens très forts dans ce happening éblouissant.
La critique complète est disponible sur le site Paris Match
Première
par Isabelle Danel
Tragique et drôle à la fois, Les sept jours dissèque le ressenti et le ressentiment qui tissent les liens du sang (...) avec une maîtrise impressionnante et un amour immense.
La critique complète est disponible sur le site Première
Studio Magazine
par Thomas Baurez
Voir la critique sur www.studiomag.com
La critique complète est disponible sur le site Studio Magazine
TéléCinéObs
par Jean-Philippe Gueran
C'est cette situation de crise que décrit "les Sept Jours" à travers une dramaturgie qui (...) s'articule (...) sur une série de plans-séquences d'une étonnante intensité qui servent les interprètes : (...) la fine fleur des acteurs israéliens...
Télérama
par Pierre Murat
Seul leur intérêt semble (...) intéresser ces êtres comme privés d'âme. Et la force du film, c'est, précisément, d'essayer de la leur rendre.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Chronic'art.com
par Jérôme Momcilovic
"Les Sept jours" vaut bien qu'on lui pardonne ses errements du côté d'une chronique chorale usée jusqu'à la corde.
La critique complète est disponible sur le site Chronic'art.com
L'Express
par Eric Libiot
Voir le site www.lexpress.fr
La critique complète est disponible sur le site L'Express
Metro
par A.B.
Les engueulades multiples (...) font de ce film un condensé de vie décapant. Dommage toutefois que les personnages -très nombreux- et les intrigues diverses soient difficiles à identifier.
La critique complète est disponible sur le site Metro
Le Journal du Dimanche
par Jean-Pierre Lacomme
De bons acteurs n'allègent pas ce psychodrame étouffant, qui a toutes les apparences d'un roman sans aucun paragraphe.
La critique complète est disponible sur le site Le Journal du Dimanche
MCinéma.com
par Philippe Descottes
(...) la réalisation est très soignée. Cependant, [le spectateur] ne tarde pas à lâcher prise. Face au rythme lent et à la désagréable sensation d'étouffer dans ce décor réduit et austère, une fois l'heure passée, ça devient très éprouvant.
Positif
par Yann Tobin
Les lieux communs ne sont pas toujours transcendés par le dispositif, tantôt efficace, tantôt lassant (...) ; quand le rythme interne des séquences s'affaiblit, l'absence de montage se fait sentir.
La critique complète est disponible sur le site Positif
Cahiers du Cinéma
Les plans séquences lents et statiques renforcent la tension à l'intérieur du cadre (...) Les Sept jours porte un regard inquiet et audacieux sur une société israelienne archaïque, névrosée et violente, qui n'en a pas fini avec ses démons.
Elle
(...) les deux réalisateurs israéliens prennent à-bras-le-corps avec leur caméra invasive une famille en crise qui pourrait ressembler à la leur, ou à la nôtre.
L'Humanité
(...) mine de rien, qu'est-ce que cela en dit long, sur une société (...) Mais ce qu'on admire encore davantage est la manière dont la caméra saisit tout ça (...)
Les Inrockuptibles
Le cinéma des deux Elkabetz, imposant, outré, viscéral, (...) représente un territoire tout à fait particulier et singulier dans la mosaïque du cinéma israélien en pleine ascension.
aVoir-aLire.com
Emporté dans ce manège de sentiments, entre rires e larmes, touché au coeur, on est bouleversé.
Charlie Hebdo
Premier plan magnifique, à la fois poignant et grotesque. Tout le film qui suit est dans le même esprit : un scénario de Bergman auquel aurait contribué le plus ironique et facétieux des auteurs de comédies italiennes.
Ciné Live
Voir le site www.cinelive.com
L'Obs
Le film se trouve confronté à ce problème majeur que constitue pour lui le manque d'originalité de son prétexte (...) il reste à apprécier (...) la qualité d'ensemble d'une distribution très exceptionnelle dont l'éclat (...) ouvre sur plusieurs moments de grâce.
La Croix
La description est sombre, aux couleurs du deuil et du chagrin. Mail elle atteint le coeur, une fois encore, symbole d'un cinéma israélien en plein renouveau (...).
Le Figaroscope
Les auteurs épinglent avec pertinence un groupe d'hommes et de femmes obligés de faire de concessions. Intéressante étude de caractère (...)
Le Monde
Ronit et Schlomi Elkabetz en ont fait le deuxième volet de la trilogie entamée avec Prendre femme. Dès qu'elle [la réalisatrice] surgit à l'écran, la tension grimpe de façon stupéfiante.
Le Parisien
Au-delà de la passionnante description des coutumes juives (...) ce huis clos, remarquablement interprété, séduit par son intelligence et son intensité.
Libération
Les Sept jours est passionnant (...) Paradoxalement, c'est du côté de la direction d'acteur que le bât blesse (...) c'est le manque d'habitude de certains à jouer avec les autres et non pour eux-mêmes.
Ouest France
Un boulversant examen de conscience collectif.
Paris Match
De grand acteurs israéliens (...) apportent leur individualité et nourrissent des liens très forts dans ce happening éblouissant.
Première
Tragique et drôle à la fois, Les sept jours dissèque le ressenti et le ressentiment qui tissent les liens du sang (...) avec une maîtrise impressionnante et un amour immense.
Studio Magazine
Voir la critique sur www.studiomag.com
TéléCinéObs
C'est cette situation de crise que décrit "les Sept Jours" à travers une dramaturgie qui (...) s'articule (...) sur une série de plans-séquences d'une étonnante intensité qui servent les interprètes : (...) la fine fleur des acteurs israéliens...
Télérama
Seul leur intérêt semble (...) intéresser ces êtres comme privés d'âme. Et la force du film, c'est, précisément, d'essayer de la leur rendre.
Chronic'art.com
"Les Sept jours" vaut bien qu'on lui pardonne ses errements du côté d'une chronique chorale usée jusqu'à la corde.
L'Express
Voir le site www.lexpress.fr
Metro
Les engueulades multiples (...) font de ce film un condensé de vie décapant. Dommage toutefois que les personnages -très nombreux- et les intrigues diverses soient difficiles à identifier.
Le Journal du Dimanche
De bons acteurs n'allègent pas ce psychodrame étouffant, qui a toutes les apparences d'un roman sans aucun paragraphe.
MCinéma.com
(...) la réalisation est très soignée. Cependant, [le spectateur] ne tarde pas à lâcher prise. Face au rythme lent et à la désagréable sensation d'étouffer dans ce décor réduit et austère, une fois l'heure passée, ça devient très éprouvant.
Positif
Les lieux communs ne sont pas toujours transcendés par le dispositif, tantôt efficace, tantôt lassant (...) ; quand le rythme interne des séquences s'affaiblit, l'absence de montage se fait sentir.