Derniers Avis : Les Femmes du 6e étage - Page 26

excellent. Très divertissant. Un bonus à Natalia Verbeke (que j'avais déjà remarqué dans la méthode, très bon thriller)

un petit bijoux.a voir absolument.acteurs enorme dans leurs roles,on rit beaucoup durant ce film qui est aussi vrement emouvant !

Film très frais, agréable à regarder dans ce Paris des années 60 si bien reconstitué, le couple Luchini Kiberlain est excellent et les bonnes ont les adorent très vite. allez le voir vous passerez un bon moment de cinéma français.

"Les Femmes du 6e étage" est une comédie intelligente et bien plus recherchée que ce que l'on a pu voir dans le paysage cinématographie français de ces dernières années. C'est l'histoire d'un bourgeois des années 60 qui se passionne pour l'Espagne et sa culture par le biais des bonnes vivant dans son immeuble et plus particulièrement grâce à l'une d'entre elle... Même si Lucchini est encore une fois excellent il n'est cette fois pas le seul qui doit être salué, en effet les stars sont les interprètes de ces fameuses "bonnes" qui illuminent le casting et ce film. En bref un divertissement à voir absolument.

Je pourrais résumer ma critique par "c'est quand qu'on va où", très difficile d'accrocher à ce film, en plus il y a une ambiance à la Simenon un peu sinistre pour une comédie.

Humour décalé ENORMEEEEE ! Les acteurs sont geniaux :)

GENIAL!!!!!!!!!!!!!!!! le film los actores un placer, y mucha delicadeza de tratar es epoque. BRAVO

Comment dire que, quand on m'a proposé d'aller voir ce film au cinéma, a priori, cela ne me disait rien: et bien, non, ne faites pas comme moi,et allez y!
Un très très bon film. Déjà, un casting essentiellement prestigieux (Fabrice Luchini, Sandrine Kiberlain, et surtout, une multitude d'actrices espagnoles, issues des films de... Pedro Almodovar lui même, et notamment de l'excellent Volver, j'ai nommé Carmen Maura, Berta Ojea, Nuria Solé et Concha Galàn!)
En effet, l'histoire nous fait remonter le temps, c'est-a-dire en France dans les années 60 et à l'époque ou de riches familles employaient des bonnes espagnoles, fuyant le franquisme de leur pays natal. (1936_1975).
Jean Louis Joubert, alias Fabrice Luchini, va faire connaissance avec un monde à la fois spatialement proche de lui, mais effectivement à mille lieues de sa vie: Le monde du 6ème étage, ou vit toute cette famille de bonnes.
De la découle beaucoup d'humour, de dynamisme et de rire (à l'image de l'Espagne) et l'on s'attache à la joie de vivre et à la générosité de ces espagnoles, et à la sensibilité de "Monsieur Jean-Louis", qui se rendant compte dans quelles conditions elles vivent, fait tout pour apporter un peu de lumière à leur quotidien.
Je tiens à souligner la performance de Luchini. Normalement, je ne suis pas un fanatique des comédies "luchiniennes", surjouées et parfois lourdes, mais là son jeu d'acteur est beaucoup plus sérieux, propre et précis, ce qui ne fait que donner plus de finesse à son humour et d'éclat à son jeu. Sandrine Kiberlain, quant à elle joue le stéréotype de la femme bourgeoise parisienne, elle est odieuse mais cela rend son personnage comique.
Voilà, un très bon film, énormément drôle et attachant, bien réalisé, qui sait témoigner d'une période de l'histoire française et espagnole de manière légère mais sérieuse, ce qui permet au film de ne pas être austère et même, d'être tout à fait agréable.

Super bonne surprise!
Un petit chef d’œuvre, d'humour, de bonheur simple! A déguster sans modération.
Lucchini est parfait et bien accompagné par la fantastique équipe espagnole et par Sandrine Kimberlain, excellente en chochotte bourgeoise.
Un très bon moment à passer!

un bonheur ce petit film surtout pour ceux qui ont connu les années 60. Les acteurs sont parfaits dans leurs rôles. L'ambiance de l'époque est parfaitement restituée avec ses pubs et s musiques.
On sort de la salle heureux et nostalique.....

Gentillet, petit film que j'aurai plutôt catégorisé en "bon téléfilm" l'histoire est simplette, dommage de n'avoir pas souligné la vie pénible de ces femmes Esagnole venues au début des années 60 travailler dans notre pays, sans trop tomber non plus, dans le patos. Luchinni en fait des tonne comme dab, seul piont positif à mon avis le rendu de cette époque tant dans les costumes que dans les décors.
Pour conclure vu le prix de la place de ciné, bon moment de télé

Sympathique mais sans plus.. En gros un bon téléfilm qui pourrait passer sur TF1 le lundi soir ;) !

Film plein de fraicheur et de tendresse. Lucchini et kiberlain sont excellents. Et cette actrice espagnole est absolument magnifique, simple, charmante et belle. je suis amoureux. Mais bon, ce n'est pas non plus le film du siècle mais un film qui nous divertit simplement et agréablement

Je suis allé le voir en ayant hésité sur le film à choisir, me doutant que ce n'était pas un monument du rire et sans en avoir vu une seule bande-annonce. Au bout du compte, j'ai assez bien apprécié cette comédie "luchinienne" qui respire la bonne humeur et se plaît à faire ressortir l'authenticité de ces femmes de maison espagnoles de façon décalée. C'est un Fabrice Luchini un peu trop sage et complaisant qui fait montre d'ouverture vers un monde tout différent du sien et si proche de lui, au 6è étage. Il forme un duo plutôt attachant avec sa nouvelle bonne bien latine. Un film de détente, pas une oeuvre mais un portrait de la société française des années 60 qui se laisse regarder.

Les femmes du sixième étage nous font remonter aux temps des bonnes à tout faire, des gens de maison, que l’on nomme maintenant femmes de ménage ; doit-on à leur vitalité, leur courage d’ibère et leur fière abnégation, cette appellation moins familière ou cavalière et cette juste désignation de leur savoir faire? N’étant pas plus prédisposées à l’astiquage que d’autres, seulement émigrées alors d’une contrée n’offrant pas de débouchés et de libertés, elles trouvaient en France la manne pécuniaire de leur émancipation.

Pour le personnage masculin, c’est évident que les temps changeants on se doit de leur porter plus d’attention, mais il y a dans cet engouement soudain et enfantin pour ce monde latin, un brin condescendant, un soupçon de manichéen et de lieux communs.

Fréquentant cette population j’ai cependant trouvé le trait assez ressemblant, et touchant, même si je n’adhère pas au systématique besoin d’une fin qui finit bien dans les films populaires bien pensants. Les allergiques à Fabrice Luchini trouveront à critiquer sa logorrhée, ici pourtant assez modérée, sa personnalité exaltée étant en retrait derrière les caractères entiers des rôles secondaires. On peut regretter que le réalisateur tempère la critique de cette société d’après-guerre ; puis Kiberlain qui descend de son nuage de bourgeoise et reconsidère sur la fin, à l’image de son homme, la personnalité extraordinaire de ces femmes, est d’un comique! Mais bon, l’esprit nostalgique du film fait un peu oublier qu’il n’est pas assez caustique.

Pour résumer : gentillet, olé !