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plumesauvage
18 critiques
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3,0
Publiée le 19 juin 2020
En commençant par ce que je considère comme les points forts du films, je mentionnerais le fait de découvrir une autre facette d'Aladdin lorsque celui-ci rencontre son père. Leur relation complexe est réussie. Son père n'est pas un "gentil" car voleur et obsédé par l'or. Mais au fil de l'histoire, bien qu'opposés, le père et le fils se retrouvent vraiment. Le père d'Aladdin n'est pas une figure héroïque ou machiavélique ; j'apprécie le fait qu'il reste libre avant tout. L'humour du film reposait sur le génie essentiellement et le méchant, qui n'est heureusement pas Jafar une nouvelle fois, colle avec l'histoire. C'était une bonne idée, à mon avis, d'exploiter un autre conte oriental avec les 40 voleurs. De surcroît, l'île où se trouvait la main de Midas était réussie ; il y a bien de l'action et une bonne intrigue. Pour autant, le film n'est pas parfait. Jasmine est très effacée, Aladdin trop sérieux et dénué de son humour qui lui venait naturellement dans le 1 et qui, en étant absent, enlève beaucoup de charisme au personnage. Je n'apprécie pas le fait que pour la troisième fois pour un troisième film d'affilée, Aladdin mente à celle qui a failli devenir son épouse tout de même ! Le méchant n'est pas très subtil et l'animation est de pire en pire au fil des suites, au point de se demander si c'est réellement un Disney. Je termine en soulignant que les chansons ne sont pas de très bonne qualité non plus mais la mélodie en fond sonore adhère parfaitement à l'ambiance du film.
Aladdin est le seul Disney a avoir des suites qui ont du sens et qui sont tout aussi drôles que le 1er . Voir plus avec le revirement de Iago et toutes les références cinématographique du Génie. Mais alors comparé aux autres suites Disney comme : Cendrillon 2, La belle & la bête 2, Pocahontas 2, le Roi Lion 2, Cars 2, Toy Story 3, Dory.. (et j’en passe!), il n’y a pas photo !
Aladdin est un des Disney les plus funs de l'histoire du studio, un des rares qui puisse plaire autant à papa, maman que fiston et fillette. Agréable, marrant, porté par ce fantastique génie qui sévit grâce aux traits et à la voix de Robin Williams, on rit franchement et on se laisse prendre à cette histoire d'amour avec plaisir. Top.
Dernier volet de la trilogie Aladdin, Le Roi des Voleurs se déroule après l’éviction définitive de Jafar alors que le mariage entre Aladdin et Jasmine est sur le point de se concrétiser. De bien meilleur qualité que son prédécesseur, il puise de nouveau dans les contes des Mille et une Nuits en faisant intervenir une bande de quarante voleurs menée par un certain Cassim, qui n’est autre que le père d’Aladdin, que ce dernier croyait mort. Ne l’ayant jamais connu, il se retrouve embrigadé dans ses plans de trouver un trésor caché sur une île qui change régulièrement de place. La thématique de la relation père fils est alors bienvenue, Aladdin doutant de sa capacité à être un bon père une fois marié, n’ayant jamais connu de modèle familial. L’inspiration d’Ali Baba et les Quarante Voleurs ne s’arrête pas là avec un repaire accessible au pied d’une montagne en prononçant la formule « Sésame, ouvre-toi ! » ; de plus, le frère d’Ali Baba s’appelle aussi Cassim dans ce même conte.
Techniquement, le film reste bien en deçà du premier Aladdin. On retrouve les mêmes soucis de couleurs que dans Le Retour de Jafar, Aladdin et Jasmine ayant pris un bronzage hors norme et les habits du sultan virant parfois au jaune foncé entre deux plans de la même scène. Les chansons vont du médiocre au correct en passant par la niaiserie : on retient surtout la sympathique introduction « C'est la fantasia à Agrabah » pendant laquelle le génie annonce la cérémonie du mariage, l’entraînante « Bienvenue aux quarante voleurs » alors qu’Aladdin prend la place de Sa’luk spoiler: après l’avoir vaincu en face à face , ainsi que « Dites oui ou non » prononcée par ce dernier et une partie des voleurs en guide de vengeance. Si la voix française d’Aladdin n’est plus la même, les autres personnages conservent les mêmes et Sa’luk a l’honneur d’être doublé par Alain Dorval, déjà derrière Pat Hibulaire et Sylvester Stallone.
Le génie en fait de nouveau des tonnes en faisant référence à d’autres personnalités comme Vito Corleone, Rocky, RoboCop, Elvis Presley et Forrest Gump. Il apparaît également sous les traits de nombreux personnages de l’univers Disney : on trouve ainsi Blanche-Neige, Cendrillon, la Fée Clochette, le Lapin Blanc d’Alice au Pays des Merveilles, Pocahontas et Pumbaa du Roi Lion. Les clins d’œil vont plus loin avec Mickey Mouse dans une parodie de Steamboat Willie, une apparition en Pluto et même une en Jasmine. Dans la première version du scénario, Aladdin devait retrouver son frère Mozenrath, présent dans la série télévisée. Mais le comédien qui lui prêtait sa voix n’ayant pas voulu reprendre son rôle, le réalisateur préféra se démarquer de la série en imaginant de nouveaux personnages comme Cassim et Sa’luk.
Alternant action et dialogue, le scénario fonctionne et mène vers une aventure intéressante au cœur des trésors où la cupidité se paie avec la Main de Midas, qui transforme en or tout ce qui la touche, y compris un être humain. La trilogie se conclut d’une belle manière avec la réapparition du marchand chantant une dernière reprise de Nuits d'Arabie. Inventif de bout en bout, Aladdin aura su imposer un univers très riche donnant lieu à une série animée appréciable ainsi qu’à deux suites faisant partie des plus marquantes des classiques Disney malgré une qualité largement inférieure à celle de son modèle. On retient avant tout le premier Aladdin, emblématique de l’âge d’or des années 1990 par sa qualité époustouflante ayant donné lieu à pas moins de trois adaptations différentes en jeux vidéo sur Mega Drive, Super Nintendo et Master System, suivis d’une sympathique itération en trois dimensions avec Aladdin et la revanche de Nasira sur PlayStation.
Voici la deuxième suite du classique de Disney « Aladin ». Tout comme « Le retour de Jafar », « Aladin et le roi des voleurs » ne mérite aucun éloge. C’est un navet indigne, issue du DisneyToon Studio, un département consacré au marché de la vidéo. Malgré un niveau de qualité légèrement rehaussé par rapport au précédent film, le troisième volet des aventures d’Aladin sera lui aussi considéré comme un blasphème par tous ceux qui ont aimé le grand classique et qui respectent un tant soit peu le septième art. Animation bâclée, histoire digne d’un épisode de série télé, chansons à vomir, personnages bafoués. Une immense déception. Sa place se trouve dans une poubelle, sans recyclage de préférence.
Aladdin et le roi des voleurs est sensiblement meilleur que le Retour de Jafar. Les graphismes et l'animation sont à un meilleur niveau bien que très en dessous de ceux du premier Aladdin. Le Génie qui avait eu le rôle trop réduit dans le Retour de Jafar, fait un retour sensationnel et offre une multitude de références hilarantes. Mais surtout, le scénario est bien élaboré. Non seulement on découvre le père d'Aladdin mais en plus l'aventure explore le mythe du roi Midas. Autant dire que l'histoire ne manque pas de très bonnes idées. Au final, cette suite est une bonne conclusion à l'aventure d'Aladdin ainsi qu'un bon divertissement.
Un troisième volet moyen et prévisible des studios Disney avec des personnages toujours aussi attachants, une histoire qui tient la route et une très bonne animation.
J'avais adoré cette suite la première fois que je l'ai vue, mais avec du recul, je suis partagée. Je crois que j'aurais préféré qu'ils fassent ce qui était prévu au départ, c'est à dire inclure Mozenrath, pour une bonne raison: le génie est...ridicule spoiler: Sérieusement, c'est un génie, alors normalement il bat les quarante voleurs en dix secondes! Ils n'ont pas de pouvoirs magiques!
Quand Aladdin s'en va chercher son père, pourquoi ne l'amène-t-il pas? Parce qu'il fait des travaux pratiques? Alors qu'avec ses pouvoirs, il devrait pouvoir reconstruire le château en claquant du doigt!
Il va bien fait libérer ses amis dans le retour de Jafar. Pourquoi ne pourrait-il pas faire de même pour libérer Cassim?
On sent sérieusement qu'ils n'ont pas su quoi faire de lui. Alors que s'ils avait mis Mozenrath, qui lui, est un magicien avec un gantelet magique, il ne le serait probablement pas. Vous me direz "Mais ceux qui n'ont pas vu la série se seraient posé des questions"; Oui, c'est vrai, mais le scénario auraient été plus crédible pour le génie. Ils auraient peut-être pu inventer un magicien. Néanmoins, cette suite a le mérite d'être comparée à d'autres suites Disney. Le scénario d'un père qui retrouve son fils est connu, mais pas trop mal fait à ce niveau-là. L'histoire est plus recherchées que d'autres suites commerciales de Disney. Il y a de l'émotion. Les chansons sont sympathiques. Les personnages sont fidèles à eux-même. Les gags du génie compensent un peu son inutilité (mention spéciale à "Alerte rouge"). Bref, un dessin animé pas désagréable à regarder, mais qui auraient pu être meilleur.
Aladdin et le roi des voleurs est un Disney pas mal du tout, surtout si l'on fait le point sur la qualité des suites de classiques Disney. L'histoire est assez bien et se suffit largement pour éviter de rendre ce troisième dessin animé redondant (même s'il ne faut clairement pas qu'il y en ai de quatrième). L'intrigue est assez prenante. Les personnages sont toujours aussi drôles et sympathiques, avec notamment le Génie et Iago toujours aussi hilarants. L'animation est très bien, elle ne diffère de celle des précédents dessins animés Aladdin qui était plutôt irréprochable. Côté doublage, rien à redire également, j'ignore si les doubleurs ont changé entre les dessins animés, en tout cas, ça ne se voit pas et les voix sont toujours aussi pertinentes. Un bon Disney.
Je pense que ce 2eme Aladin c'était juste pour faire un 2. ON dirait que les dessins à certain moment sont fait à l'arrache.Dés le début l'histoire est trop prévisible, on peut remarquer que la broche du roi des voleurs est le même signe que la dague? et au moment de prendre la dague Aladin parle de son père qu'il a jamais connue. Donc on peut se dire directement le roi des voleurs est le père d' Aladin.
Ce 3e volet de la saga et largement mieux que le 2e . Une très bonne histoire qui conclu la saga en beauté . En plus le retour de Robin Williams en VO pour la voix du génie est cool car cela permet plus de transformation du génie donc plus de gags et permet au génie des imitation et changement de voix comme pour le 1er. Avec la dans le 3e un clien d'oeil a Mrs Doubtfire avec une des transformation du génie a voir !
Le dessin est toujours bon mais la magie n'opère plus. Les chants sont beaucoup moins biens et trop nombreux à mon goût. Une assez bonne histoire. Nous connaissons le passé d'Al. Un rythme très soutenu et des personnages qu'il est toujours bon de retrouver. Mais les jeux de mots à tout va et les scènes sont plus dignes d'un long épisode de série que d'un film. Moyen. J'ai de loin préféré les 2 premières versions malgré le génie, toujours aussi efficace et muni de très nombreuses références cinématographiques.
"Aladdin et le Roi des Voleurs" est incontestablement meilleur que "Le Retour de Jafar" grâce à une meilleure animation, des chansons magnifiquement interprétées, et une nouvelle aventure captivante. Le film reste fidèle à ses prédécesseurs et boucle ainsi une trilogie réussie. De plus, le film est toujours imprégné de l'atmosphère des milles et une nuit du fait que le père d'Aladdin n'est autre que le Roi des 40 voleurs. Pour ce dernier volet, les scénaristes ont mis en avant la musicalité, l'humour toujours autant délirant du Génie, et l'émotion rythmée entre amour et trahison.
L'intrigue et là l'humour aussi mais il faut que je le dise faire des références à d'autre film c'est bien mais il ne faut pas basé l'humour que sur ça c'est trop facile.