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Alasky
348 abonnés
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3,0
Publiée le 29 novembre 2020
Ce troisième et dernier volet de la trilogie Aladdin est moyen mais reste sympathique, dynamique et agréable à voir. Les personnages sont intéressants et j'ai particulièrement aimé les scènes de fin (avec la Main de Midas). Cet opus est meilleur que le Retour de Jafar, à mon humble avis.
Aladdin est un des Disney les plus funs de l'histoire du studio, un des rares qui puisse plaire autant à papa, maman que fiston et fillette. Agréable, marrant, porté par ce fantastique génie qui sévit grâce aux traits et à la voix de Robin Williams, on rit franchement et on se laisse prendre à cette histoire d'amour avec plaisir. Top.
Le dessin est toujours bon mais la magie n'opère plus. Les chants sont beaucoup moins biens et trop nombreux à mon goût. Une assez bonne histoire. Nous connaissons le passé d'Al. Un rythme très soutenu et des personnages qu'il est toujours bon de retrouver. Mais les jeux de mots à tout va et les scènes sont plus dignes d'un long épisode de série que d'un film. Moyen. J'ai de loin préféré les 2 premières versions malgré le génie, toujours aussi efficace et muni de très nombreuses références cinématographiques.
Un 3ème volet acceptable. L’histoire est correcte et Aladdin ainsi que tous les autres personnages restent convenables, le Génie est toujours aussi amusant ! L’ambiance manque parfois de rythme mais est encore sympathique quand même et les musiques sont satisfaisantes. Un 3ème opus donc dans la lignée du précédent, c’est à dire divertissant mais pas nécessaire après l’emblématique premier film.
Bonne nouvelle : après un « Retour de Jafar » limité, les studios Disney se sont un peu bougés les fesses avec « Aladdin et le Roi des voleurs », conclusion acceptable d'une trilogie qui aurait toutefois pu en rester au premier volet. Au programme : de l'action, de l'aventure et de l'humour, sur fond de trésor caché forcément inestimable... La recette est connue et pas vraiment originale, mais a le mérite d'être efficace et dynamique, rendant ce troisième opus plaisant, à défaut donc de rivaliser avec son prestigieux modèle. Honnête.
Dans la même veine que "le retour de Jafar" plutôt que du premier volet, c'est-à-dire bien mais pas top. C'est parfois drôle mais assez prévisible, et les chansons sont vraiment niaises.
"Aladdin et le Roi des Voleurs" est incontestablement meilleur que "Le Retour de Jafar" grâce à une meilleure animation, des chansons magnifiquement interprétées, et une nouvelle aventure captivante. Le film reste fidèle à ses prédécesseurs et boucle ainsi une trilogie réussie. De plus, le film est toujours imprégné de l'atmosphère des milles et une nuit du fait que le père d'Aladdin n'est autre que le Roi des 40 voleurs. Pour ce dernier volet, les scénaristes ont mis en avant la musicalité, l'humour toujours autant délirant du Génie, et l'émotion rythmée entre amour et trahison.
Dernier volet de la trilogie Aladdin, Le Roi des Voleurs se déroule après l’éviction définitive de Jafar alors que le mariage entre Aladdin et Jasmine est sur le point de se concrétiser. De bien meilleur qualité que son prédécesseur, il puise de nouveau dans les contes des Mille et une Nuits en faisant intervenir une bande de quarante voleurs menée par un certain Cassim, qui n’est autre que le père d’Aladdin, que ce dernier croyait mort. Ne l’ayant jamais connu, il se retrouve embrigadé dans ses plans de trouver un trésor caché sur une île qui change régulièrement de place. La thématique de la relation père fils est alors bienvenue, Aladdin doutant de sa capacité à être un bon père une fois marié, n’ayant jamais connu de modèle familial. L’inspiration d’Ali Baba et les Quarante Voleurs ne s’arrête pas là avec un repaire accessible au pied d’une montagne en prononçant la formule « Sésame, ouvre-toi ! » ; de plus, le frère d’Ali Baba s’appelle aussi Cassim dans ce même conte.
Techniquement, le film reste bien en deçà du premier Aladdin. On retrouve les mêmes soucis de couleurs que dans Le Retour de Jafar, Aladdin et Jasmine ayant pris un bronzage hors norme et les habits du sultan virant parfois au jaune foncé entre deux plans de la même scène. Les chansons vont du médiocre au correct en passant par la niaiserie : on retient surtout la sympathique introduction « C'est la fantasia à Agrabah » pendant laquelle le génie annonce la cérémonie du mariage, l’entraînante « Bienvenue aux quarante voleurs » alors qu’Aladdin prend la place de Sa’luk spoiler: après l’avoir vaincu en face à face , ainsi que « Dites oui ou non » prononcée par ce dernier et une partie des voleurs en guide de vengeance. Si la voix française d’Aladdin n’est plus la même, les autres personnages conservent les mêmes et Sa’luk a l’honneur d’être doublé par Alain Dorval, déjà derrière Pat Hibulaire et Sylvester Stallone.
Le génie en fait de nouveau des tonnes en faisant référence à d’autres personnalités comme Vito Corleone, Rocky, RoboCop, Elvis Presley et Forrest Gump. Il apparaît également sous les traits de nombreux personnages de l’univers Disney : on trouve ainsi Blanche-Neige, Cendrillon, la Fée Clochette, le Lapin Blanc d’Alice au Pays des Merveilles, Pocahontas et Pumbaa du Roi Lion. Les clins d’œil vont plus loin avec Mickey Mouse dans une parodie de Steamboat Willie, une apparition en Pluto et même une en Jasmine. Dans la première version du scénario, Aladdin devait retrouver son frère Mozenrath, présent dans la série télévisée. Mais le comédien qui lui prêtait sa voix n’ayant pas voulu reprendre son rôle, le réalisateur préféra se démarquer de la série en imaginant de nouveaux personnages comme Cassim et Sa’luk.
Alternant action et dialogue, le scénario fonctionne et mène vers une aventure intéressante au cœur des trésors où la cupidité se paie avec la Main de Midas, qui transforme en or tout ce qui la touche, y compris un être humain. La trilogie se conclut d’une belle manière avec la réapparition du marchand chantant une dernière reprise de Nuits d'Arabie. Inventif de bout en bout, Aladdin aura su imposer un univers très riche donnant lieu à une série animée appréciable ainsi qu’à deux suites faisant partie des plus marquantes des classiques Disney malgré une qualité largement inférieure à celle de son modèle. On retient avant tout le premier Aladdin, emblématique de l’âge d’or des années 1990 par sa qualité époustouflante ayant donné lieu à pas moins de trois adaptations différentes en jeux vidéo sur Mega Drive, Super Nintendo et Master System, suivis d’une sympathique itération en trois dimensions avec Aladdin et la revanche de Nasira sur PlayStation.
Ce troisième volet m'a bien diverti ! Le troisieme volet de cette trilogie vous emportera encore une fois dans une aventure exceptinnelle avec de nouveaux personnages et de très belle chansons. On passe un très bon moment, je l'ai largement préféré au second volet.
Dernier d'une trilogie, nous avions commencer par un classique romantique et musicalement parfait, sa suite directement en vidéo fut bien plus laborieuse et visuellement médiocre, cette ultime aventure reste le second meilleur des adaptations de ce personnage bien que n'ayant aucune idée s'il s'agit ou non d'un personnage Disney ou arabe. spoiler: Un récit mélangeant avec intelligence et grand dynamisme le plus célèbre récit des "Milles et une nuits à savoir "Les 40 voleurs" ainsi que le mariage de nos tourtereaux. A cela s'ajoute un élément crucial dans le développement de notre voleur, l'arrivée de son père et l'héritage qui en découle. Sur le récit donc, dynamisme, bonne dose d'humour bien mieux gérer et penser que le 2ème, un script penser pour épouser toutes les situations et une dose référentielle absolument dingue qui régal chaque passage. Sur le casting v.f. , celle de Mel Gibson marque par son tempérament et son charisme, parfaitement choisie pour le père ou roi. L'éternel Richard pour le génie toujours si génial, Iago bien plus apaiser et bien mieux penser. Jasmine et le Sultan complètent parfaitement avec un sacré dynamisme également. Visuellement plus réussit que le 2, un design clairement meilleur et nettement moins médiocre, c'est là que l'on voit une différence de travail, d'approfondissement et moyens. Un immense final sous forme de quête mythologie se mariant encore mieux à cette aventure arabique ou le père et le fils se retrouvent encore plus et ou la morale familiale est plus que jamais présente. Un récit ou les choix personnels sont à faire, les décisions sur son avenir également, une réussite.
J'aurai jamais pensé qu'une suite de chez Disney soit assez correct ! Aladdin est le seul à avoir réussi ses suites ! le 2 était correct et le 3 est mieux que le 2e. Bonne surprise !
Ce 3e volet de la saga et largement mieux que le 2e . Une très bonne histoire qui conclu la saga en beauté . En plus le retour de Robin Williams en VO pour la voix du génie est cool car cela permet plus de transformation du génie donc plus de gags et permet au génie des imitation et changement de voix comme pour le 1er. Avec la dans le 3e un clien d'oeil a Mrs Doubtfire avec une des transformation du génie a voir !
Après avoir été proches de la catastrophe avec "Le retour de Jafar", les studios Disney ont trouvé un moyen efficace pour faire passer la pilule de ce direct-to-video : les références. Ce troisième épisode, bien que souvent maladroit, est donc un véritable plaisir de cinéphile.
Aladdin doit être la seul saga Disney à nous avoir donner 2 suites plus que réussi, ce qui relève du miracle, quand on voit la médiocrité de nombreuses suite. A voir !
"Aladdin et le roi des voleurs" est la deuxième suite de cette licence à être directement sortie en vidéo. Si "Le Retour de Jafar" n'avait pas été un franc succès, il était même vraiment mauvais, je trouve que ce troisième volet réussi à mieux s'en sortir. Malgré tout, tout est relatif, car l'ensemble reste quand même très moyen. Mais globalement, des efforts ont été fait pour rendre cette suite un peu plus appréciable que la précédente. Déjà, le film est un peu plus long, il a donc la possibilité de bien plus laisser respirer son histoire, même si on n'échappera pas à quelques moments qui seront quand même un peu rapides. Le scénario en lui-même n'a rien de transcendant, mais il tente d'apporter du neuf. On ne reprend pas d'ancien personnage, cette fois-ci, on vient nous faire découvrir de nouvelles choses. Tout ne sera pas incroyablement bien fait, et l'histoire ne réussira pas à être vraiment bien menée. On devinera assez rapidement les rebondissements, et le long-métrage sera donc assez prévisible. On retiendra donc l'effort, mais cela s'arrête là. Cependant, le véritable point fort de cette suite va venir de l'humour. Honnêtement, toutes les blagues ne fonctionnent pas, mais j'ai apprécié retrouvé la folie d'un personnage comme le génie. Il apporte vraiment beaucoup au film, là où il était vraiment anecdotique dans le précédent. On retrouve cette envie de faire des gags référencés qui viennent offrir un contre-pied parfait à l'ambiance du projet. Mais globalement, hormis ces petits détails, le film n'a rien de très transcendant pour autant. Comme expliqué, l'histoire est prévisible, on aura donc peu de surprises et on ne se souviendra donc pas forcément de lui. Encore une fois, on sent que le budget n'est pas le même que pour une version pour le cinéma, et on sent donc que l'ensemble fait bien moins travailler. C'est une suite assez oubliable, qui a le mérite d'exister, mais qui n'apportera rien de plus par rapport au premier film. Pour conclure, une suite encore un peu dispensable.