Diffusion directe TF1 : première version "moderne" mais 2ème de l'histoire d'un roman juger "inadaptable", un phénomène à sa sortie et une acclamation ayant pour beaucoup, fait oublier la déception, l'échec et donc, la version 84 de David Lynch. Après cette découverte dont je ne pouvais qu'attendre du bon compte tenu du classement mondial, de son impact visuel et son casting royal ainsi que tous le pâté journalistique qui lui aura été donner...
Mais quel idée d'avoir fait ça ? Comment peut-on faire un récit de 2h36 ou aucune action d'ampleur n'à lieu ? Aller je suis gentil, l'attaque surprise de la cité désertique, musicalement impériale, visuellement grandiose et surtout bien courte mais à part ça ? Je résume cette partie 1 à du script à n'en plus finir, bien trop de longueurs, une b.a. montrant l'intégral de l'action et puis s'en vont, un visuel certes impérial mais un moment donner, comme "Interstellar", ça parle tellement avec un récit finissant par nous perdre qu'on fini par ne plus être attirer par le reste, un casting certes très bon avec un très bonne v.f. mais, Zendaya la fameuse, inexistante, le soit disant Baron sadique en la personne du grand Stellan Skarsgård, trop peu pour moi, la figuration limite insultante de Javier Bardem, Dave Bautista également à la limite figurante et notre aquatique Momoa, très cool mais tout aussi peu. Puis le fameux Timothée, star montante d'Hollywood dont la présence à l'écran n'aura été celle que d'un récital théâtral long, aucune action d'ampleur pour n'offrir qu'une expresse gymnastique guerrière. Par rapport au film de 84, aucune immersion dans la cité et son peuple, aucun visuel d'ampleur des vers sablant qui s'annonçaient pourtant comme LE passage royal. Bref, 2h30 de déception scénaristique ou le visuel fini par ne plus rien faire et pour ce qui est du thème principal de Zimmer, accompagné d'une voix ensorcelante, expresse pour ne plus rien faire, ah si, des cornemuses... Etonnant pour de la s.f
. Une nouvelle version littéraire de "Star Wars" râtée qui me fait nettement dire, qu'avec un large recul, la version détestée de Lynch n'était finalement, pas si nul voir même, nettement meilleure. Part 2 ? Sans moi.