Derniers Avis : Le Retour de Jafar - Page 2

Pas du même niveau que Aladdin, mais ça reste une suite potable. Les dessins sont pauvres en détails et en couleurs. Les chansons sont sympa, heureusement.

je veux dire ce qui va pas pour commencer: l'animation est dégueulasse et Abis mal est un vrai bouffon. voilà ça c'est fait, le concept est génial de faire en sorte que Yago est une redemption, et que Jafar revienne plus puissant que jamais le scénario est parfaitement réussie avec une parfaite fluidité il doit s'agir d'une des meilleures suites de Disneytoon et en même temps vu l'heure catalogue c'est pas difficile. Le doublage est excellent.

Comment Disney a pu avoir le cullo de sortir ce film.
Rien n'est bon dans ce film :
L'animation à digne d'un enfant nul en dessin, l'histoire parfait pour s'ennuyer et de l'incompréhension du pourquoi cetts suite est sorti.

Malheureusement nous ne pouvons pas mettre
-5 pour cette daube donc 0.5 est beaucoup trop pour ce film

Comme la plupart des suites Disney "Le Retour De Jafar" n'est pas à la hauteur de son excellent grand frère. Les dessins son clairement moins beaux et ça y joue beaucoup sur l'immersion du dessin animé qui se repose sur les pitreries de son perroquet Iago qui sauve les meubles.

J'adore Aladdin mais j'avoue que là on est sur une suite banale. On reprend le même méchant, on se foule pas trop, dessins-animation et décors sont bâclés, l'histoire sommaire, la trame prévisible pour ne pas gêner d'éventuels autres productions... En gros on trouve un prétexte pour rameuter des personnages qu'on aime bien et surfer sur le succès du 1er, et ça marche.

Deux ans après le phénomène Aladdin, Le Retour de Jafar marque la première tentative des studios Disney dans l'exploitation de créer des suites pour ses « Grands Classiques ». S’il ne s’agit pourtant pas de la première suite en tant que telle (Bernard et Bianca ayant sorti un deuxième épisode de grande qualité peu avant), c’est bien le tout premier long métrage à sortir directement en vidéo (VHS à l’époque) sans passer par la case cinéma : c’est la raison pour laquelle il n’est affublé que d’un simple « Classique ». Le scénario se déroule un an plus tard, alors qu’Aladdin est installé au palais avec Jasmine, mais remet régulièrement ses habits de mendiant pour déjouer les coups montés de malfrats cherchant à dérober des richesses. C’est de cette manière qu’il arrête la bande d’Abis Mal, un piètre voleur qui va malgré lui obtenir une certaine importance. L’univers arabique est bien respecté entre la ville et le désert, toujours renforcé par une reprise de la chanson d’introduction « Nuits d'Arabie » qui nous plonge une nouvelle fois dans cette ambiance emplie de mystère.

« Ta folie des grandeurs n’est pas à la hauteur, tu n’es qu’un amateur ! »

Une des principales nouveautés réside dans la figure de Iago, qui commence à se lasser de toujours avoir à suivre les ordres de Jafar et semble vouloir prendre son indépendance comme il le met si bien en avant dans sa chanson « Je prends soin de ma vie ». De retour au palais, il va alors sympathiser avec Aladdin et ses amis, toujours avec cette arrière-pensée de se servir de leur confiance pour mieux aider Jafar à revenir. Ce dernier est accidentellement libéré par Abis Mal, qui malgré lui prend une certaine importance en lui permettant de revenir se venger à Agrabah. Malgré un synopsis vraiment intéressant, le film peine à convaincre en annonçant ce qu’allait être les nombreuses suites de grands classiques à venir. En effet, l’animation est clairement au rabais et les doublages, pourtant assurés par les mêmes personnes, ne sont pas du tout aussi soignés. Les couleurs changent aussi trop souvent de teint, notamment les vêtements du sultan deviennent presque roses lors d’une scène. La quête d’identité d’Aladdin continue alors que le sultan lui propose de devenir son nouveau grand vizir, rôle qu’il ne pourra pas accepter. Le génie effectue son retour et remet un peu de joie et d’animation dans ce scénario qui manque de punch, ses gags n’étant plus aussi drôles et sa seule référence notable concernant le personnage de Rambo.

« Un génie ne peut tuer personne, mais il peut t’en faire voir des vertes et des pas mûres ! »

Sa petite confrontation face à Jafar sous forme de génie reste toutefois amusante : si les chansons du film sont clairement anecdotiques, le pastiche « Tu n'es qu'un amateur » sait se montrer drôle et sympathique. Malgré une certaine prestance et une forme de génie imposante, Jafar perd toutefois fortement en charisme avec ses vêtements devenus rouges et ses animations bien plus grossières. Sa possibilité de prendre la forme de qui il souhaite aurait pu le rendre plus intéressant si la séquence spoiler: où il pique une crise de trahison à Aladdin en se faisant passer pour Jasmine
n’avait pas été aussi cliché et surjouée. Le plus astucieux reste le rôle de Iago lors de l’affrontement contre un Jafar tout puissant, durant lequel spoiler: il projette lui-même la lampe dans la lave pour l’achever
. Au détour de sa qualité générale relativement moyenne, Le Retour de Jafar a essentiellement marqué pour son statut de première suite directe honorable de l’histoire de Disney. Il a surtout servi d’épisode pilote pour la série télévisée Aladdin, racontant par la suite plusieurs petites histoires mettant en scène les personnages connus, accompagnés de Iago et avec un Jafar enfin terrassé.

J'ai été assez déçue par cette suite, même si elle est assez jolie on est loin de la magie du premier film. La série dérivée est même meilleure, mais ce n'est pas mauvais non plus !

On est loin, très très loin du premier film (qui était un, si ce n'est le, chef d'oeuvre de Disney).
Les dessins sont laids, les personnages ne sont plus attachants, les chansons sont vraiment nulles... On s'ennuie.
Le 3e film "Aladdin et le roi des voleurs" est un peu mieux réussi.

Les studios Disney exploitent le filon des suites de leurs grands classiques uniquement pour le marché de la vidéo ce qui entacheras la qualité et l'image d'excellence de Disney pour les générations à venir. Voyons ces suites comme une longue parenthèse dans l'histoire du studio (parenthèse refermée par l'excellent John Lasseter), et jugeons ce film pour ce qu'il est: une grossière erreur artistique. On pourra constater un manque évident de moyen et d’ambitions, ainsi qu’une absence totale d’originalité. L’animation est déplorable, les chansons sont risibles, les personnages sont dénaturés, l’œuvre d’origine est entachée par cet incroyable gachis. C’est un véritable carnage, le sacrifice d’un art. Une habitude qui perdurera durant les années 90, et contrastera avec les succès des classiques de la firme. On le déplore aujourd'hui. Une honte. Malheureusement, "Aladdin" ne sera pas le seul Grand Classique a souffrir de ce choix, "La Belle et la Bête", "La Petite Sirène", "Pochaontas", "Le Bossu de Notre Dame", "Rox et Rouky", et bien d'autres encore auront droit a leur pseudo suite douteuse. À oublier très vite.

film hyper moyen, manque de budget, volonté de faire plus de bénéfice, revu hier soir, honnetement y a du bon et du moins bon, les dessins sont vraiment a la traine, le scénario est lourd par moment pour sauver les meubles, bref, même un fan n'est pas convaincu par le principe, même si l'avantage de cette (serie) suite, permet de mettre un pilote a la série tv.

Une suite divertissante et agréable de Disney avec un scénario qui tient la route, une très bonne animation et des personnages toujours aussi attachants.

très bonne suite que nous a proposé Disney spoiler: qui met un terme définitif au danger que représenter Jafar
.
Un dénouement très spasmant et emblématique. De belles images pour un cinéma d’animation de folie. Je le déconseille aux moins de 7 ans. 4/5

Le scénario tient plutôt la route. Faire revenir Jafar était évident puisque après tout, dans le précédent film, le méchant n'était pas vaincu au sens détruit. Les chansons sont également plaisantes à entendre. Malheureusement, cette suite souffre d'un défaut hyper handicapant et hyper voyant du début à la fin, c'est que c'est PUTA** DE MOCHE !!! Sérieusement, c'est quoi ces graphismes ? Alors, pour rappel, le Retour de Jafar a été réalisé exclusivement pour le marché vidéo. Et c'est ça le gros problème. Pourquoi avoir fait ça ? On aurait dû réaliser cette suite pour le cinéma, avec des graphismes aussi beaux que ceux du premier film. Je suis sûr qu'ainsi le film aurait mieux marché et que j'aurais pu mieux l'apprécier. Certes, comme je l'ai déjà dit, cette suite a quelques bons points mais qui sont contrebalancé par sa qualité graphique particulièrement hideuse. Difficile de négliger cela surtout quand cela occupe la totalité du film. Et c'est à cause de cela que je ne peux pas considérer cette suite comme un bon film.

Le Retour de Jafar est un dessin animé correct, mais qui est totalement étouffé par le chef-d’œuvre qu'est son illustre prédécesseur.
Le doublage est très correct et l'animation est tout à fait à la hauteur de l'écurie Disney.
L'histoire en revanche est plus faible, et des personnages moins intéressants puisqu'on les connaît déjà : Jafar a peut-être particulièrement intimidant, le Génie en revanche est moins drôle. L'humour est d'ailleurs moins présent.
Clairement, une suite sans grand intérêt.

Une des meilleures suites, enfin la meilleure pour Disney, quoiqu'en disent certains. Pourquoi ? Parce qu'il y a un scénario et c'est cohérent. Ah et oui, on zappe pas les héros, dixit le roi Lion qui zappe Simba.
Le dessin est bon et reste dans le style d'Aladdin, l'histoire est sympa, la trame classique, certes les animations sont parfois pauvres mais on retrouve avec bonheur les héros de ce chef d’œuvre Disney. Ok pas de Robbie Williams car Disney n'a pas respecté leurs accords, donc c'est la voix originale d'Homer qui sort, why not ? Après Jafar reste un des meilleurs méchants et les chansons sont pas trop relous.
En fait c'est un bon film même s'il est en deçà de pas mal d'autres, l'humour demeure et le génie prend moins le devant de la scène au profit d'Aladdin. Iago par contre se révèle davantage, dommage que son cynisme ne soit pas plus poussé, à la place des nombreuses chansons ça aurait donné.