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FaRem
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1,5
Publiée le 16 juin 2012
La 1ere demi heure et très prenante et même plutôt flippante malgré le peu de moyen mais une fois qu'on apprend l'identité de l'homme masqué l’intérêt du film n'est plus et on rentre dans un scénario assez bordélique et compliqué à comprendre, dommage.
Un film attractive qui à le mérite de nous scotcher à l'écran et de créer la surprise. Le sujet du voyage dans le temps est très attractive, malheureusement comme de nombreux autres films du genre des incohérences demeurent. En faisant attraction de ce détail, il est vrai que "Timecrimes" reste un bon moment!!
Avec Timecrimes, Nacho Vigalondo écrit et réalise pour son premier film un thriller de science-fiction minimaliste de bonne facture. L'histoire nous fait suivre Héctor, un homme en couple qui va accidentellement faire un voyage dans le temps et se retrouver confronté à lui-même une heure auparavant. Cherchant à tout prix à réparer son erreur et à revenir dans le présent, il va déclencher sans le vouloir une série de désastres irréparables. Ce scénario s'avère intrigant à visionner pendant toute sa durée d'une heure et demie. On assiste pendant tout ce temps à un récit mêlant les temporalités au point de parfois nous perdre. En effet, plus les minutes défilent et plus l'histoire se complexifie en superposant des couches et des boucles de temps, donnant au métrage un aspect redondant. Le ton se voulant inquiétant fonctionne bien et mêle assez bien ses deux genres. L'ensemble est porté par un personnage principal pas très intéressant, interprété par un acteur moyennement convaincant en la personne de Karra Elejalde. Il est entouré par quelques autres protagonistes joués par Candela Fernández, Bárbara Goenaga et Nacho Vigalondo lui-même. Tous ces individus entretiennent des relations basées sur la crainte et la méfiance. Des rapports procurant tout de même peu d'émotions soutenus par des dialogues corrects. Sur la forme, la réalisation du cinéaste espagnol s'avère bonne. Sa mise en scène évolue dans un cadre verdoyant limité parvenant quand même à un peu se renouveler. Ce visuel angoissant est accompagné par une bonne b.o. signée Eugenio Mira, dont les compositions stridentes et menaçantes collent bien à l'action et au propos. Reste une fin réussie venant mettre un terme à Timecrimes, qui, en conclusion, est un film méritant le coup d'œil sans pour autant être incontournable.
J'adore la complexité des films sur les voyages dans le temps et les paradox . Mais celui ci est carrément raté. Pas crédible du tout et la mise en scène est catastrophique. Dans l'ensemble il se laisse regarder mais il nous laisse sur notre fin.
Exploitant un thème classique de la SF - le voyage dans le temps -, "Time crimes" ne parvient pas à installer une tension palpable, mais ce n'est pas son seul défaut. Le scénario souffre d'une écriture plutôt approximative, la réalisation, la qualité d'image et les acteurs sont très moyens. Dans le genre on préférera très largement l'excellent - et éprouvant - "Triangle".
Moyen... Pourtant j aime bien les histoires de voyage temporel... Le film a l'air d'une série B... Le doublage en français n est pas terrible... Le personnage principal a le charisme d'un gros mollusque avec son ventre bedonnant... Il peine à courir 10 mètres le pauvre... Le film se sert de la notion de boucle temporelle et de double... Ici il y en a que 3 heureusement... La fin est expéditive... L ensemble n a aucun suspens aucune tension... Bref presque nanardesque...
Timecrimes fait partie de ces petits films de science-fiction tenant sur un high-concept qui parvient admirablement à tenir sa promesse malgré un budget modeste. C'est un film intelligent et rusé qui parvient à surprendre le spectateur tout en restant le plus cohérent possible avec un sujet très difficile à conceptualiser. Un film à voir avec une imagerie unique que je qualifierais limite d'iconique entre les bandages et le ciseau blanc.
TimeCrimes a un bon scénario basé sur le voyage dans le temps mais le style est très amateur. Le doublage voix, le son et surtout les plans et les images sont de mauvaises qualités. Plusieurs erreurs dans la réalisation sont gênantes. La première partie est lente et les acteurs dont la jeune fille sont peu crédibles. Il reste cependant le plaisir de voir les scènes se recouper et l'histoire se construire.
Un film a decouvrir, porter par des acteurs inconus, malheuresement ca se ressent devant la camera. Scénar sympa qui meritait d'être certainement approfondi. A voir pour les curieux ou les amateurs du cinema espagnol...
Un film fantastique espagnol dans lequel on a vraiment du mal à se mettre! La crédibilité des personnages est à revoir entièrement, on ressent un vrai surjeu! De plus, quelque fois le scénario paraît peu compréhensible et présente quelque incohérences!
Voici typiquement le genre de film qui aurait pu être une grosse claque et qui malheureusement ne sera qu'un petit soufflé. La faute à des incohérences scénaristiques et, surtout, des réactions de personnages totalement pas crédibles. Et puis le jeu des acteurs laisse vraiment à désirer que ce soit en VO ou VF. On avait une très bonne idée de départ, une belle esthétique (le personnage avec des bandages est assez "puissant" graphiquement parlant) mais la prévisibilité d'un scénario qui finit par tourner en boucle (paradoxe temporel hein) laisse le spectateur un peu désarçonné.
On m'avait vanté les qualités scénaristiques de ce petit film, et je ne fus pas déçu, en effet tout se recoupe, tout est logiquespoiler: (sauf peut être la bande autour de la tête du héros: avait-il besoin de se recouvrir toute la tête? Pourquoi une bande blanche se transforme intégralement en PQ rose?) . Une belle prouesse du scénariste qui a du se tordre et se retordre les méninges pour pondre une histoire aussi complexe. Au final on n'est pas déçu et on passe un agréable moment.
(….)De fait, le film est extrêmement simple, limpide, évident. Alors, pourquoi reste-t-on ? Parce que Timecrimes passionne pour une raison simple et folle : les pérégrinations d'Hector consistent à passer de l'autre côté du miroir : ce que voit le personnage, c'est le film de lui-même, celui dont il est amené à jouer le rôle de l'élément perturbateur. Ce n'est pas tant ce qui va arriver qui importe, mais comment cela va arriver et surtout, nous suivons Hector avec le doute de le voir dévier. L'atmosphère compte alors énormément et ici elle est idéale : Nacho tire bénéfice de son manque de moyens criant en peaufinant un huis-clos spatial et temporel dont la simple structure, même chancelante, est un atout de chaque instant. (….)