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annatar003
66 abonnés
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1,0
Publiée le 1 avril 2012
Que ce soit par ses aspects techniques ou par son écriture, "Resident Evil : Degeneration" est et restera un parfait navet représentatif d'un pseudo film qui s'apparente plus à un longue cinématique de Playstation 2 qu'à une œuvre du 7ème art. Entre des personnages ultra stéréotypés, un scénario lourd et ennuyeux et des scènes d'action plus que ratées, ce long-métrage japonais qui tente de rendre hommage à la célèbre saga de jeux vidéos, sombre dans une stupidité et une immaturité sans limite. Continuant sur le chemin de la médiocrité, le film de Makoto Kamiya montre des effets spéciaux désastreux qui ne transmettent pour ainsi dire, aucune émotion véritable d'un monde où la mort et la désolation règnent pourtant en maîtresses des lieux.
Un mois avant la sortie du très attendu Resident Evil 5, Capcom donne une leçon de cinéma à Paul W. Anderson en sortant le premier film d’animation de la série. Intitulé Resident Evil Degeneration, il se situe entre les événements des épisodes 4 et 5 et remet à l’honneur le duo Léon Claire, après une absence de plusieurs années pour cette dernière, Resident Evil Code Veronica étant sa dernière apparition. Si on retrouve un Léon endurci fidèle à lui-même, c’est un véritable plaisir de revoir Claire en si grande forme, avec le rose qui lui va si bien, un visage éclatant et encore plus de professionnalisme depuis qu’elle travaille pour TerraSave, une ONG qui lutte pacifiquement contre le bioterrorisme. Le scénario prend place à l’aéroport d’Harvardville alors que les zombies se multiplient après une fuite du virus-T. Claire parvient à s’isoler avec une petite fille (clin d’œil évident à Sherry Birkin de Resident Evil 2) et le sénateur Ron Davis, véritable archétype du ripou désagréable jusqu’aux plis sur sa figure et son costume à rayures véreuses, très mal perçu par le public à cause d’événements liés à la situation concernant WillPharma, autre société qui mènerait des expériences douteuses. Léon est alors envoyé pour les sauver avec deux agents du gouvernement : Greg Glenn le gros dur qui veut tirer sur tout ce qui bouge, et Angela Miller, moins expérimentée mais plus réfléchie. Son frère Curtis ayant perdu sa femme et sa fille à Raccoon City, il tombe dans la folie par ses actions et spoiler: devient le principal antagoniste du scénario, devant une monstruosité en s’injectant le dernier échantillon existant du virus-G, ressemblant alors à un croisement entre William Birkin et un ANMC de Parasite Eve II.
Techniquement, les images de synthèses sont magnifiques pour l’époque, l’animation de grande qualité et les voix françaises très convaincantes, une première dans la série qui avait habitué les joueurs à des doublages anglais. Parfaitement intégré dans la chronologie de Resident Evil, le film est également fidèle à l’esprit de la série, alternant scènes d’action et passages calmes, sans oublier quelques moments de suspense dans la pénombre. Mieux encore, il nous fait revivre certains moments-clés de Resident Evil 2 dans des scènes éblouissantes comme Léon et Claire qui courent dans les rues et la première rencontre avec William Birkin métamorphosé ; on trouve même un clin d’œil à la première rencontre des deux héros lorsque Léon demande à Claire de se baisser pour tuer un zombie, et à Resident Evil 4 lorsque Léon communique avec Ingrid Hunnigan. Bien que classique, le scénario est très soutenu dans sa narration et ne manque pas de surprendre par son intrigue, Frederic Downing spoiler: faisant preuve d’une trahison remarquable . Un premier essai transformé avec succès !!
A mon avis, c’est la première véritable adaptation du célèbre jeu vidéo de Capcom dans le sens où tout est respecté, depuis l’ambiance jusqu’à l’intrigue mêlant thriller politique et survival horror. Certes, les derniers Résident Evil sur consoles et PC se rapprochent de ce Beat’em All mais il faut reconnaître qu’ils sont moins cérébraux que ceux d’antan.On retrouve donc Leon et Claire qui, après une courte exposition, sont balancés dans la meute de zombies attaquant un aéroport avec la terrible question de savoir qui manipule, une fois de plus, le Virus-T. On nous parle vaguement des évènements de Rancoon City (point de départ et de référence pour tout ce qui concerne un Resident Evil) et d’Umbrella, remplacée par une autre firme pharmaceutique. Si ces quelques détails donnent un nouveau point de départ, il est des choses qui ne changeront jamais.Le virus-T continue à faire des ravages et y va de son lot de mutations. Par ici la sortie pour le Nemesis ridicule de Resident Evil 2. Ici, c’est la cour des grands et même les zombies sont impressionnants. Comme on va dans la surenchère au fur et à mesure du film, autant dire que l’on a du lourd à appréhender en fin de métrage.Point de vue technique, nous n’en sommes pas au niveau atteint avec Albator, loin de là, mais on a évolué par rapport au « Final Fantasy, Advent Children » qui était de très haute volée. Les mouvements des personnages sont très fluides et très précis. La motion capture nous aide ainsi à mieux nous identifier aux personnages et à rendre le tout moins raide, plus cohérent. L’éclairage, les textures, l’action donne un spectacle bluffant et de grande qualité (avec quelques moments de bravoure un peu exagérés mais on excusera cette faiblesse). Dommage que ce film n’ait pas été prévu pour les salles obscures. Il aurait mérité le passage.
Resident Evil : Degeneration n'est pas une surprise sur le plan scnénaristique car l'histoire passe vite à la trappe pour laisser place à la présence de deux héros marquants de la série. Avec une réalisation graphique impeccable, ce film d'animation est surtout réservé aux fans de Resident Evil mais appréciable également par les néophytes grâce à ses images de synthèses époustouflantes.
Film d'animation pas très joli graphiquement, le design de Leon est douteux (rien à voir avec celui de Resident Evil 4 en jeu vidéo, bien plus charismatique), mais au moins on a un film qui tient la route avec pas mal de clins d'oeils à la série originale de Capcom. Vivement la suite !!!
Décidément, ce n'est pas avec ça que Resident Evil va mieux se porter au cinéma/DVD. Techniquement c'est de la cinématique -bas de gamme- de jeu vidéo (Metal Gear Solid 4 ou justement Resident Evil 5 sur PS3 -et Xbox 360- sont bien mieux foutu en 3D temps réel). C'est mal animé, visages pas expressifs... La mise en scène, le scénar' sont eux-aussi nuls. Bref, rien à sauver dans ce piège à fans. Fuyez, je vous aurai prévenu !
Tout d'abord, visuellement je suis satisfait car il y a de belles images de synthèse. La réalisation tient la route, et parvient à mettre plus ou moins bien en valeur l'ambiance des jeux. Sinon, le scénario se laisse suivre mais dans l'ensemble je me suis ennuyé ; pourtant, la scène d'ouverture dans l'aéroport était plutôt agréable, mais le reste suit pas ! A réserver uniquement pour les grands fans !
Malgré une première partie, hommage aux inspirations du jeu, efficace, "Resident evil : degeneration" tombe dans les mêmes travers que les films écrits par Paul W. S. Anderson en préférant l'action à une frayeur plus subtile.
En tant que connaisseur de Resident Evil principalement par les films, je suis moins fan de ce qui s'apparente à une excellente cinématique de jeu vidéo. Mais ceux qui ne jurent que par la version jouable ne pourront qu'apprécier, pour la simple et bonne raison qu'ils ne seront pas dépaysés : mêmes personnages que dans les jeux (et donc pas des films), et aspect visuel encore amélioré par rapport aux jeux (j'y ai quand même déjà jeté un oeil). Pour finir de convaincre tout le monde (et donc y compris ceux comme moi qui ne connaissent la saga quasiment ou que par les films), je vous préviens que l'histoire est plus complexe que ce qu'on pourrait attendre en lisant le synopsis. Ce qui est évidemment un autre bon point de plus à décerner à ce film d'animation.
Faut-il être fan du jeu et avoir moins de 15 ans pour apprécier cette cinématique de 1h37 ? Mais enfin, cinématographiquement parlant, c'est d'une nullité totale ! Le scénario (en parlant de scénario, je suis gentil), est pitoyable. Il est du niveau d'un jeu vidéo, mais certainement pas d'un film. L'histoire peut être un élément secondaire, à condition que le reste soit de qualité. Ici oublions le suspense, passons sur le frisson, rigolons des scènes d'action, bidonons-nous en écoutant les dialogues. Il resterait encore l'aspect technique pour sauver le truc, mais là aussi l'animation plus que moyenne n'est même pas du niveau de ce que les éditeurs de jeux savent faire. Donc plutôt que de perdre votre temps en vous tapant cette pitoyable publicité pour les jeux Resident Evil, regardez un vrai film, ou jouez à un jeu vidéo.
Une bien bonne surprise que ce film d'animation qui en fait celui qui se rapproche le plus du jeu vidéo, avec une époustouflante animation, un scénario digne des jeux de Capcom ainsi que l'ambiance. On est bien loin des foutages de gueule que l'on nous a livré avec Milla Jovovitch.
un renouveau dans une saga entamé sur grand écran en 2001. avec un film d'animation, qui nous rapelle des souvenirs lors des magnifiques séquences vidéo dans les différents jeux et qui nous donne plus envie encore d'y rejoué. une histoire qui suit bien chronologiquement la suite des évenements entamé à racoon city. avec des personnages familié, une ambiance recréé avec perfection, on se régale devant ce film qui appelera d'autre suite.
super film franchement j'ai adoré.déja j'etait fan des jeux mais la le film et une réussite en plus la trame du jeux et réspécter comme dans le jeux,et ont retrouve avec plaisir claire reidfeild qui et toujour aussi sexy.bref un excéllent resident evil
En tant que grand admirateur de la saga Resident Evil sur grand écran, il fallait absolument que je vois ce Resident Evil : Dégénération. Avec une ambiance bien plus sombre que les films mettant en scène l’action qui se déroule avec le personnage d’Alice interprété par Milla Jovovitch, ce Resident Evil se démarque nettement plus de part le choix que l’on eu de le réaliser à la manière d’un jeu vidéo, c’est un peu comme une cinématique d’1H30 et le moins que l’on puisse dire c’est que visuellement c’est un régal. Le scénario est ici bien plus développé, mettant en scène des personnages du jeu comme Leon S.Kennedy et Claire Redfield (que l’on pouvait déjà voir dans les films depuis l’épisode Extinction). Maintenant voilà peut-on à proprement parler qualifié de film ce Resident Evil ? La réponse est oui sans hésitations, car tout est là : Un scénario qui tient la route, une mise en scène correcte, et une BO soignée. Le seul bémol au final demeure dans le doublage des personnages qui n’est pas toujours très réaliste. Quoi qu’il en soit si vous aimez la saga des jeux vidéos, et si comme moi vous adorez la saga des films avec Milla Jovovitch (bien que l‘on ne retrouve pas ici son personnage, néanmoins l‘approche est de la saga est différente ici), vous serez alors ravi de ce Resident Evil : Dégénération !
Premier volet animer de la saga zombiesque, ce dernier m'à d'abord surpris par sa qualité visuelle honnêtement décevante, peut être que son année de sortie 2008, en est la cause. Sur le plan large, le récit reste simple du démarrage à son milieu car comme toujours, lorsque les révélations s'enchaînent d'une seule traite, traiter et trier les infos est parfois compliquer. Mais la recette des zombies envahissants un aéroport puis une ville entière reste "basique", ici on est plus sur un 8 clos gigantesque avec 2 décors principaux ou nos personnages évoluent à vitesse modérée. La direction en animation, je serais incapable de la jugée tant ce registre cinématographique est uniquement fait par ordinateur, les actrices et acteurs de motion-capture ne peuvent pas pour moi être correctement juger tant la technologie fut à ses début cette année-là, leur détails comportementaux sont donc approximatifs en quelques sorte. Si l'action large reste efficace, le final explosif et typique des "Resident", ce premier volet est bon mais visuellement, pas encore la prouesse, reste la suite des évènements.