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lenferre
12 abonnés
206 critiques
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1,5
Publiée le 23 novembre 2013
Sam Raimi, le créateur de la saga mythique Evil Dead, décide de revenir à l'horreur avec... une daube. Humour débile, effets "horrifiques" ridicules. Bref, film à éviter.
waahouuu génial ce film! j'ai trop aimé alors qu'on m'avait dit que c'était assez moyen,les critiques magazines mon motivé à le mater et bien je suis vraiment pas déçu! du grand sami raimi!!!!!A voir
Doit on dire du bien d'un film parceque son auteur a une oeuvre estimable derrière lui ? Non, sans doute. Et bien ce film n'est qu'un remake des petits films de genre que nous avons déjà vus et revus depuis longtemps. On veut nous faire peur avec une bande son surchargée de grands coups de violon stridents, c'est primaire comme l'est d'ailleurs tout le film.Même la fin ne surprendra que ceux qui n'ont jamais vu un film de ce style. Et puis l'oeil dans la part de gateau et le bouc qui parle, c'est trop! En fait un film qui aurait pu être fait il y a 40 ou 50 ans.
Drag me to Hell n'est pas vraiment le film le plus traumatisant en terme d'horreur tel que je me l'attendais, il est même très différent de mes attentes, en mieux !
Sam Raimi à une pointe d'humour, il sait la mettre en action dans ses films, ce dernier en est un exemple parfais. Il use du gag et et ruse avec les codes de la méchante Sorcière et de la gentille princesse et détourne son sortilège maléfique à des fins tordantes et surprenantes. La jumps scare typique du genre sert autant à faire sursauter qu'a faire sourire dans la même seconde !
spoiler: L'attaque dans la voiture et sa parade à l'agrafeuse, la mouche gobé et recraché, le mouchoir cracra repris du bout des doigts, et j'en passe des vertes et des pas mures pour pourvoir en situation extrême. Perso, l'enterrement ou le cadavre dégueule est vraiment ma scène fétiche !
Ce conte horrifique entrouvre pour ces comédien.e.s une porte qu'ils et elles poussent volontiers. Le délire est communicatif aussi pour ses raisons, on sent que le tour est mis en exergue dans la communion. Un film revigorant, vraiment chouette !
Pas de gros frissons, mais j'ai beaucoup apprécié l’humour noir du film. La plupart des soi-disant films d'horreurs que j'ai vu dernièrement sont largement en-dessous coté divertissement. La fin est assez plaisante.
Cette belle réalisation de Sam Raimi nous procure des scènes spectaculaires avec des effets visuels et sonores efficaces, jouant avec des artifices naturels tels que le vent, la lumière et les ombres . Un scénario classique nous distillant quelques séquences horribles mais surtout une angoisse savamment orchestrée et une situation qui dégénère lentement mais surement. Au casting : Lorna Raver interprète magistralement la vieille et horrible Mme Ganush semeuse de Magie Noire. La charmante Alison Lohman se montre très crédible dans le rôle principal de Chris.
Tout Sam Raimi est là. Un vrai mélange d humour noir et d horreur. Un très bon scénario bien joué et une réalisation assez cartoonesque qui fonctionne très bien . Réussi !
Quel film, punaise du début à la fin (et quelle fin) on frissonne (mon coeur a bondi plusieurs fois), ça démarre de suite et ça saute d'une scène sensass à l'autre, pas de répit, pas de perte de temps en futilité et blabla inutiles. Jusqu'en enfer est génial, Sam Raimi réalise un de ses meilleurs films, le climat est de suite angoissant et fait son effet. De plus on s'attache facilement à Christine incarnée par la mignonne Alison Lohman et on craint pour elle à tout instant ; foncez voir Jusqu'en enfer si vous aimez le genre vous devez adorer ce film. Personnellement c'est rare qu'un film me foute autant les chocottes. En clair j'ai adoré.
Un film totalement dément! En marge de tous les films d'horreur aujourd'hui il prend le contre pied en faisant tout maison!!! Un grand pas vers le retour au cinéma de Sam Raimi!
Pour son treizième long-métrage, Sam Raimi revenait à ses premiers amours : l'horreur. Le metteur en scène de "Spiderman" nous en met plein la vue et par dose, nous plonge dans son ambiance suffocante, délétère à souhait. La musique de Christopher Young (compositeur depuis les 90's ("Jennifer 8" avec Andy Garcia, "La mutante" de Donaldson...), il s'adjoint à DeNiro et Travolta pour "Killing season" fin 2013), renforce cette impression qui nous scotche du début à la fin. L'on est happé par cette histoire invraisemblable et fantastiquo-horrible que Sam nous assène de manière aussi simple que possible. Il nous amène dans son atmosphère particulière en prenant soin de nous transmettre, par sa caméra virtuose, des plans larges au début pour terminer sur des plans rapprochés (gros plans, centrés sur les visages). Cette mise en scène est aussi fluide que la source d'une rivière lozérienne. Et le grand Sam de nous offrir un grand moment de cinéma. Quel délice ! "Jusqu'en enfer", c'est la mise en abime d'une spécialiste en crédit immobilier., ou comment une rencontre peut la faire basculer... en enfer ! Dans le rôle de la spécialiste : Alison Lohman (révélée par "Les associés", elle y donne la réplique à Nicolas Cage) qui joue comme une tasse de café : insipide, creuse. Lohman va même jusqu'à nous ennuyer, tout comme son collègue Justin Long ("Die hard 3") avec qui elle forme un tandem aussi improbable qu'insupportable. En revanche, le seul attrait du casting reste Lorna Raver (plus habituée au monde des séries : "Beverly hills", "Cold case", "Desperate housewives"...) qui campe à merveille son personnage : Madame Ganush. Voilà une interprétation sans fausse note qui mérite d'être soulignée. Merci Lorna... pardon !, Madame G. Pour conclure, "Jusqu'en enfer" peut se targuer d'avoir été mitonné par un as en la matière : le grand Sam Raimi. Spectateurs, fermez les yeux quand vous voyez Madame Ganush... un sort peut vous être jeté à travers votre téloch' ! Interdit aux moins de 12 ans.