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Une suite que je considère comme supérieure au premier opus. On se surprend à s'émouvoir pendant les petits moments de bonheur de la cavale. Il y a des pépites dans ce film qui n'existent clairement pas dans son aîné. Le "méchant" est toujours le superintendant, complotant avec des prisonniers pour supprimer le joyeux ching (avec une petite surprise à la dernière minute laissant entrevoire une possible suite).Tout le film est centré sur Yun Fat et il n'est plus question de prendre sous son aile un nouveau venu. Si comme moi vous n'aimez pas les films de Ringo Lam sachez toutefois que la série des "On Fire" est globalement réussie et que Chow Yun Fat est un grand atout de ce film.
Yetcha
Plus mûr, plus noir, la suite du premier volet semble avoir pris en compte les points noirs du premier afin de les corriger. L'histoire est plus crédible et la violence plus brutale. Bref, il est mieux que le numéro 1!
Un poil moins intense que le premier malgré qu'il reprenne la même structure dramatique (tout les éléments du film tendent vers un final destructeur et violent). Mais c'est toujours un vrai plaisir de retrouver Ching et sa bonne humeur communicative, le film ne tombe pas dans la redite avec le premier, on a droit à de nouvelles situations, la relation entre Ching et sa famille est au centre du film et c'est de cette relation que va découler toutes les péripéties du film alors que dans le premier c'était l'amitié entre Ching et le nouveau qui était le moteur du récit. Par contre on aura droit à une belle histoire d'amitié dans celui-là aussi, mais elle n'est pas au centre du récit. Le film est frai, humain et se laisse aller à des relents glauques et violents seulement dans le final un peu comme pour le premier, je pense que ce diptyque est une bouffée d'oxygène dans la filmo nihiliste et sordide de Ringo Lam. Un reproche à faire, les effets sonores lors des scènes d'action sont décalés, ce qui nuit à l'impact des coups, dommage.
2 ème volet de la serie "prison" mais quatrième de la saga "On fire" , "Prison on fire 2" reste dans la continuité du cinéma de Ringo Lam même si par moment le film surprend par son caractère un brin bucolique voir naïf( les passages dans la nature ...) même si la violence froide et l'aliénation reste toujours aussi présent. Chow Yun Fat est desormais seul mais il assume pleinement son rôles de pitre pris entre un matons sadique et un gang tout entier ou tout se finira biensûr dans un bain de sang lors d'un final aussi violent qu'intense. Bref ce n'est pas un essentiel de son réalisateur mais une suite tout à fait acceptable.
L'un des classiques de Hong-Kong, le discours social est très intéressant, cette idée de prendre le contexte carcéral pour dépeindre une micro-société finalement pas si éloigné que ça de la société chinoise/hong-kongaise de l'époque est vraiment géniale. Ce rajoute à ça une très bonne mise en scène, un Tommy Wong et un Chow-Yun Fat au top du top et on obtient un film résolument efficace et divertissant qui profite en plus d'un message social intéressant et de belles émotions.
Une Grosse claque pour moi.
Si le premier volet des "Prison on fire" était très bon,celui là est carrement excellent.
Prison on fire II est plus orienté action que son prédécesseur,l'ambiance est aussi plus sombre mais l'humour de Chow Yun-Fat compense le tout.
Le nouveau super-intendant surnommé "dark vador" par les taulards est plus psychopate que jamais.
Le théme de l'amitié occupe un rôle moins important que dans le premier bien que toujours présent,Ching est cette fois seul contre tous et ne peut plus compter que sur lui même.
Ringo Lam conclu donc sa Quadrilogie "On Fire" en beauté.
Si le premier volet des "Prison on fire" était très bon,celui là est carrement excellent.
Prison on fire II est plus orienté action que son prédécesseur,l'ambiance est aussi plus sombre mais l'humour de Chow Yun-Fat compense le tout.
Le nouveau super-intendant surnommé "dark vador" par les taulards est plus psychopate que jamais.
Le théme de l'amitié occupe un rôle moins important que dans le premier bien que toujours présent,Ching est cette fois seul contre tous et ne peut plus compter que sur lui même.
Ringo Lam conclu donc sa Quadrilogie "On Fire" en beauté.
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