Un jour de neige, un petit chiot de Akita naquit. Hachi-ko le meilleur ami de l'homme certes mais peut etre au singulier. Recueillit par le professeur Ueno habitant à Shibuya. Arrivant en conséquence du caprice de du professeur Ueno, et vu comme un simple animal, prenant la place de l'ancien, Hachi tisse un lien tout aussi unique que particulier avec le professeur. L'accompagnant le matin à la gare, l'accueillant le soir, prenant des bains et dormant même ensemble, le lien unissant ce chien et cet homme dans un parenthèse enchanté de la vie semble indéfectible.
Hélas, car si la vie peut etre belle, elle peut aussi mener aux plus bas. Hachi perd subitement son maître, seul pilier de sa vie, dépendant maintenant de personnes ne voulant pas de lui. La fille, disant qu'elle s'occupera du chiot si son père ne le faisait pas, préfère partir vivre sa vie. La femme disant ne pas s'occuper du chien retourne à son village natal. Alors que la vie de Hachi devient de plus en plus désaturé, on retrouvera, chez dans la vie des passants et des personnages, un colorimétrie assez constante et dans le cas de la femme du professeur ironiquement très éclatante vivant au bord de la mer... avec des chien. Victime de la méchanceté de certains, la pitié des uns et de la charité des autres, nous voyons à travers la vie de ce chien, les changements de la vie, des paysages et des personnes dans un conte dramatique. Histoire dramatique mais vrai, le cinéma aura cependant la bienveillance de rendre toute les couleurs de la vie prise à cet être qui n'aura qu'attendu maître, lors de soupir, rejoignant celui qui l'attendais de l'autre côté de la barrière, un jour de neige.
Alors si vous voulez entrer dans cette tragédie enchanté, je propose si vous le souhaitez de prendre de temps d'une soirée.