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Un visiteur
2,5
Publiée le 28 février 2013
Les évènements au débuts du film sont trop rapide mais cependant certaines scènes moins intéressante sont beaucoup trop longue.. Sinon le sujet du film est pas mal mais il pourrait être améliorer.
Avec les moyens techniques d'un téléfilm mais avec de bonnes idées de mise en scène, Christophe Honoré parvient à filmer avec légèreté la froideur et la gravité d'adolescents qui se heurtent aux désillusions de l'amour. Souvent contraint de simplement contempler les acteurs, on reste sur notre faim devant une couche de superficialité qui ne donne pas vraiment envie de creuser...
Grosse déception. Après un film réussi, léger et profond à la fois (Les Chansons d'amour), Honoré nous sert un pensum indigeste et profondément ennuyeux. On ne croit jamais à cette histoire plombée où les personnages prononcent de grandes phrases ridicules et dépassées sans jamais se départir d'une moue boudeuse et monocorde. En effet, les acteurs n'expriment rien (Léa Seydoux est particulièrement horripilante) et se débattent dans la lourdeur du scénario qui aligne quelques scènes pathétiques (c'est quoi cette scène d'amour homo vulgaire?). Enfin, Honoré ne propose rien d'original pour faire décoller son film et se contente de recycler ce qui avait marché dans Les Chansons d'amour (Leprince-Ringuet qui chante, Mastroianni et Hesme...) mais, hélas pour lui, ici, cela ressemble davantage à des tics de réalisateurs qu'à des idées de mise en scène.
Encore un très bon film de Christophe Honoré qui mérite le coup d'oeil! Une histoire aussi captivante que ses autres films. Esthétique, des acteurs resplendissants: Garrel, Seydoux et LePrince Riguet. Dès la première scène on sent le drame pesé mais on reste bouche bée jusqu'à la dernière seconde de ce film très bien réussi!
Déçue! La belle personne ou comment parler de passion amoureuse sans jamais la montrer,la transmettre, comment parler du premier roman psychologique sans jamais nous donner accès aux personnages... tout reste en surface. A force de refuser le pathos on passe à côté de l'émotion.
Il y a plus de vérité et de profondeur dans une seule ligne de La princesse de Clèves que dans cet amas d'images et de sons informe, encore plus prétentieux qu'un film de Depleschin. Quant aux acteurs, on nous a encore trouvé une belle bande de têtes à claques. Si c'est ça la nouvelle nouvelle vague française, non merci.
Honoré transpose la Pricesse de Clèves dans une classe du Paris du XXIeme s. Il prouve par là même la modernité du roman de Mme de la Fayette et fait montre du belle sensibilité quant à la construction du récit et de ses personnages.
Une étoile pour une raison inconnue qui m'a poussée à regarder ce film jusqu'au bout, j'espérais surement un dénouement ... Qui malheureusement n'est jamais arrivé. Le genre de film oublié une semaine après le visionnage, malgré des acteurs intéressants.
Le problème avec Honoré, c'est qu'on a la facheuse impression de voir toujours le même film et qu'il peine à se renouveler. Ici, l'histoire n'intéresse qu'à moitié et le film lasse rapidement. Je suis sorti rapidement de l'histoire qui m'ennuie profondément et j'ai été agaçé par Léa Seydoux, actrice à la Monica Bellucci. Honoré reste un bon cinéaste et Louis garrel un bon acteur, alors passe encore.
Sans atteindre l'inventivité des d'un "dans paris" ou l'aspect pesant de "ma mère", la belle personne demeure un très beau film, fait avec amour et finesse. Les acteurs sont très justes : Garrel lors de sa psychanalyse de comptoir avec le prof de math est particulièrement bon. Alors après tout est question d'avis, certains crieront à la réalité fantasmé sur péloche ou encore à la sublimation des nantis du 16ème mais bon pour le coup ce n'est vraiment pas le propos et on s'en fout. Ce film est poétique, beau et retranscrit intelligemment la pureté des protagonistes de la princes de Cleves, ce qui était le point de départ du film.
Décue. Long, lent, chiant, scénario abracadabrant, gris, triste, aucune passion, scènes et dialogues qui frisent parfois le grotesque.. Bref, 1 étoile parce que je suis quand même restée jusqu'au bout ! C'est qu'il y a quelque chose.
Du cinéma littéraire un peu ennuyeux... La critique est bien sûr tombée en pâmoison devant ce film fait pour les "bobos" vaguement intellos.. ça ne casse pas 3 pattes à un canard, c'est un peu longuet le seul intérêt du film réside dans ses acteurs et surtout Grégoire Leprince-Ringuet touchant.
On prend les mêmes et on recommence. Enfin presque. C'est moins pétillant, moins rafraichissant, moins nouveau et original que les chansons d'amour. Mais on retrouve encore une fois ce subtil mélange modernité-classicisme qui éblouit de beauté et de justesse. Justes et beaux, comme Grégoire Leprince-ringuet, Louis Garrel (monstre de classe, a quand les pubs pour nescafé ?) et Léa Seydoux.
Parisianiste et pédant, je le concède. Cependant, le charme opère. Louis Garrel est éblouissant comme toujours, et malgré certaines faiblesses, la mélancolie et les chassés croisés amoureux envoutent. "La belle personne" s'applique à tous ces acteurs, beaux comme des dieux, qui donnent envie. Le film donne envie de vivre à Paris, d'apprendre l'italien. Un instant de rêve sur une toile de fond bobo, je suis d'accord.
La douce mélancolie qui habite le film, comme les deux autres volets de cette trilogie (Paris, Les chansons d’amour) L’amour et ses méandres Une nouvelle adaptation de la Princesse de Clèves Une histoire très proche de celle du film La fidélité d’Andrzej Zulawski.