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    Il Divo
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    151 critiques spectateurs

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    anonyme
    Un visiteur
    3,0
    Publiée le 16 juillet 2012
    il divo reste un bon film , l'histoire varie de giulio andreotti l'un des homme les plus mediatiques de la politque italiene, la mise en scene est assez reussit ,le point fort est incontestablement la transformation surprenante de toni servillo completement dans la peau de son personnage, mais il divo reste un film un peu difficile dans son compte rendu car je pense qu'il faut soit etre un passionner de la poltique italienne ou un connaisseur!!! ceci dit un film interessant qui relate aussi les troubles affaire du politiciens avec la mafia!!!
    cylon86
    cylon86

    2 495 abonnés 4 430 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 22 mai 2012
    Décidément l'Histoire de l'Italie est fascinante et n'a pas fini de nous surprendre. Entre les complots, les assassinats et les pots de vin, "Il Divo" nous parle du parcours de Giulio Andreotti, homme politique cynique et froid impliqué au cœur des plus grands scandales du pays. Mais le portrait de l'homme n'est pas le plus réussi, le personnage nous restant assez lointain. C'est la description de la politique d'un pays qui est le plus réussi, alliée à un film qui s'avère tout aussi édifiant que divertissant, soutenu par une mise en scène efficace et un acteur au sommet en la personne de Toni Servillo, excellent et bénéficiant de superbes répliques.
    shmifmuf
    shmifmuf

    178 abonnés 1 761 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 19 mai 2012
    Portrait d'un homme politique controversé, "Il Divo" montre tout le côté théatral de la politique italienne.
    Sorrentino mélange les genres et alterne les séquences aux tonalités différentes.
    L'ensemble sent à la fois la farce et le drame et se regarde avec un plaisir non dissimulé.
    Hotinhere
    Hotinhere

    545 abonnés 4 943 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 3 mai 2012
    Portrait baroque du sénateur Andreotti, doublé d'une méditation désabusée sur le pouvoir. Magistral.
    anonyme
    Un visiteur
    4,0
    Publiée le 21 février 2012
    Paolo Sorrentino nous refait ses " Conséquences de l’amour "(n’ayons pas peur de le dire, le chef d’œuvre de l’année 2005). Prouesses techniques, recherches visuelles, bande son innovante, empruntant aux musiques classiques, pop, rock et varietoches, donnant une ironie toute particulière aux images... La fluidité de sa caméra, parmi les plus remarquables au monde, frappe immédiatement les sensibilités, donnant un aspect mystique et éthéré à son œuvre. Grandiose pour les spectateurs enclins à ce type d’épate ou au contraire grotesque si l’on n’a d’indulgence que pour l’épure et le statisme, ce septième ciel sensoriel, forme évoluée de cinématographie en quête de complétude esthétique, est une expérience qui s’impose de par sa forme, sans pour autant sacrifier le fond, biographique et politique, d’une grande complexité.
    Portrait grandiose de Giulio Andreotti, figure mythique et incontournable de la scène politique italienne de ces 40 dernières années, sept fois président du conseil, ministre à répétition, inquiété dans les années 90 dans de multiples affaires de corruption, accusé d’avoir commandité un assassinat de journaliste et d’avoir travaillé en sous-main avec la mafia, " Il Divo " s’introduit au cœur d’une personnalité complexe, que la réalisation tarabiscotée permet d’appréhender dans toutes ses contradictions. « Le divin », c’est lui. Surnommé aussi l’Inoxydable, le Sphinx, le Joli Petit-Bossu, le Pape noir, l’Homme des ténèbres, l’Eternité, Belzébuth..., il est le pouvoir et le contre-pouvoir à la fois. Dieu et le Diable. Il est un oxymore humain aux allures (et à l’allure) de Nosferatu qui glisse sur le sol et impose une carrure de tortue, toute bossue, certes frêle, mais d’une intensité glaçante. Un personnage respecté et haï, qui a tout connu, rencontré tout le gratin, et qui pourtant, malgré ses 300 000 rencontres, la constance du Pouvoir, un mariage avec une femme qu’il respecte, est cloîtré dans une solitude murale, proche de l’autisme du protagoniste tragique des " Conséquences de l’amour ", qu’interprétait déjà le comédien d’ " Il Divo ", Toni Servillo, tout bonnement épatant. Le réalisateur décrit l’univers foisonnant (le faste du pouvoir) et épuré (il se contente de choses simples et de plaisirs d’ascète) de cette figure errante qui a consacré son existence au Pouvoir. Il bâtit sa somptueuse réalisation sur des contradictions de style et de ton, pour nourrir l’ambiguïté d’un politicien qui tracte avec le Mal pour faire survivre le Bien, qui ne s’embarrasse d’aucune méthode et qui survit à tous les scandales avec une force insolente qu’on n’imaginerait pas provenir d’un tel petit bonhomme, vieux et ratatiné. Le cinéaste, face à l’absurde d’une condition humaine réduite à une carapace insondable, use de tous les artifices pour s’introduire dans l’homme Andreotti, justifiant ainsi la démesure d’une œuvre, où la vérité doit passer par l’onirisme, la reconstitution historique, et l’interprétation de l’artiste. Au final, Il divo fait office de miroir de la vérité glaçant et fascinant, qui ridiculise toutes nos personnalités politiques françaises au charisme paysan, face à la complexité d’une figure publique, irrémédiablement terrée dans le secret, dont le seul équivalent serait en France, et encore à un moindre niveau, François Mitterrand.
    Clingo
    Clingo

    58 abonnés 128 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 1 février 2012
    Ca démarre fort, y a du mouvement, des idées, un décalage constant, et le sentiment qu'on va voir un objet insolite. La suite - formellement du moins - ne tiendra pas ses promesses, mais le sentiment de déception n'est pas trop marquant puisque l'ensemble reste de qualité. En fait, il y a une sorte de transfert qui se produit, et l'impressionnante mise en images du début du film semble laisser la place à une autre densité qui contaminerait l'histoire. Au foisonnement plastique initial se substitue un chaos narratif, une avalanche d'informations qui fait qu'on n'y comprend rien. On est largué, mais ça n'est gênant en rien puisque ça ressemble à la vie, dont on ne comprend pas toujours tout non plus. Dès lors il y a quelque chose de fascinant dans ce film, qui d'un côté ( côté visuel ) transpire le cinéma, est dans l'excès permanent, et qui de l'autre ( côté scénar' ) est dans une opération de " non-simplification " des faits que le septième art affectionne tant. Pourquoi expliquer les choses et ainsi, les dénaturer ? Sorrentino montre sans chercher à vulgariser, pour montrer la complexité des relations humaines et surtout politiques.

    Le film est intéressant de par sa nature hybride, sa manière de faire se côtoyer des extrêmes ( de les faire se rencontrer de manière explosive même ). Sans trop exagérer, Il Divo c'est un peu Scorsese qui filmerait Le Parrain en s'étant shooté aux films de Tarantino juste avant ( ok j'exagère légèrement ). Mais si on devait rapprocher le film d'un autre, ce serait sûrement Gomorra. Les films ont d'ailleurs été présentés la même année à Cannes, et ils partagent cette même envie de disséquer la vie politique italienne tout en adoptant une approche complexe, ne ménageant rien au spectateur. On regarde ça sans tout comprendre - puisque le film n'insiste sur rien, ne surexplique pas - et finalement on se dit que la vie est aussi comme ça. La vérité est tellement difficile à discerner qu'il faut aussi accepter d'être totalement perdu, et d'être dans cette situation de ne rien comprendre à l'action. Rien de frustrant ici, l'impression laissée est qu'on est traité en spectateur adulte.

    A part cela il y a aussi le portrait d'un homme, de l'Italie, du pouvoir politique. On pensait qu'on avait touché le fond avec Berlusconi, mais il faut voir Il Divo pour constater que la corruption et la vilenie ne sont pas l'apanage de notre époque. Le film est clairement désabusé quand il décrit les jeux de pouvoir et la bassesse de ceux qui les font. Il propose par ailleurs un personnage remarquable d'impassibilité, d'insensibilité, qui se calque sur l'impression que l'on ressent parfois, quand on tente de comprendre l'être humain. Mais il ne s'explique pas, c'est peut-être ça le pire.

    Coup de coeur immense, qui mérite d'être vu ne serait-ce que pour ses premières minutes.
    Xavi_de_Paris
    Xavi_de_Paris

    288 abonnés 2 854 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 16 janvier 2014
    "Il Divo" est un film difficile à juger, car si l'on reconnaît que la mise en scène est admirable, et les acteurs impeccables, on ne peut passer outre l'aridité de l'histoire, si l'on n'est pas un très grand connaisseur de la scène politique italienne et de son histoire récente. On se perd dans des méandres incommensurables, et parvenir à suivre ou comprendre quoique ce soit à l'intrigue relève de l'exploit. Reste la grande interprétation de Toni Servillo en Giulio Andreotti, qui eut des relations troubles avec la Mafia.
    andreasy
    andreasy

    6 abonnés 122 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 29 novembre 2011
    De belles images, de bons acteurs, mais nous pauvre public, on n'y comprend rien. Le réalisateur a voulu se faire plaisir et comme on dit dans "Incroyable talent" ça ne démarre jamais et on s'ennuie très vite. Alors je zappe.
    anonyme
    Un visiteur
    3,0
    Publiée le 28 novembre 2011
    Difficile à suivre sans connaître l'histoire politique de l'Italie des année 70/80, mais la prestation habitée de Toni Servillo reste impressionnante. Du très bon cinéma sur le monde politique.
    Uncertainregard
    Uncertainregard

    112 abonnés 1 285 critiques Suivre son activité

    1,0
    Publiée le 1 novembre 2011
    La forme est vraiment sympa, les acteurs très bons et le sujet des plus pertinents mais j'aurais préféré un scénario plus élagué pour retracer la vie de ce personnage incroyable vu le nombre d'informations que Paolo Sorrentino nous contraint à ingurgiter ce qui fait qu'on perd souvent le fil...
    ClockworkLemon
    ClockworkLemon

    24 abonnés 222 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 29 août 2011
    "Il Divo", récompensé à Cannes par le Prix du Jury en 2008, est une satire politique étonnante, dans le fond, et encore et toujours chez Sorrentino, un film à la forme originale, incroyablement maitrisée de bout en bout. Si "Il Divo" s'avère complexe et difficile à en saisir les moindres détails des nombreuses affaires et magouilles de ces politiciens véreux si l'on ne connait pas un minimum sur le sujet, il reste du moins un film captivant et jamais ennuyeux. La musique est toujours aussi habilement utilisée et on retrouve l'authenticité des plans, des choix de cadre et de mouvements de caméras, propre à son cinéma. Sorrentino livre au final un film fort, sombre et drôle à la fois, parfois politiquement incorrect tout en gardant une classe indéniable.
    anonyme
    Un visiteur
    5,0
    Publiée le 20 août 2011
    Un très très bon film, exellent jeux d'acteur (Toni Servillo) mais aussi une réalisation très original et très bonne. A voir!!
    anonyme
    Un visiteur
    3,5
    Publiée le 18 août 2011
    un bon film trés politique à voir mais il faut réviser avant l'histoire de l'Italie sous Andreotti car ça peut paraître complexe au premier visionnage
    totoro35
    totoro35

    102 abonnés 1 787 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 19 mai 2011
    Une plongée dans les arcanes du pouvoir complexe et difficile à suivre mais à la maîtrise formelle ahurissante et fascinante dans son portrait d'un monstre assoifé de pouvoir magistralement interprété par Toni Servilo.
    JeremGar
    JeremGar

    93 abonnés 1 568 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 22 mars 2011
    Il Divo est un film intéressant et assez bien fiscelé. Cependant, il faut avouer qu'il faut connaître un peu le contexte politique en Italie des années 70 et 80 pour apprécier en sa juste valeur ce film. Beaucoup de noms, de scandales politiques sont référencés et on risque de se noyer dans tout cela avec comme finalité un réel ennuie.
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