Mon compte
    Il Divo
    Note moyenne
    3,3
    977 notes En savoir plus sur les notes spectateurs d'AlloCiné
    Votre avis sur Il Divo ?

    151 critiques spectateurs

    5
    37 critiques
    4
    38 critiques
    3
    19 critiques
    2
    28 critiques
    1
    21 critiques
    0
    8 critiques
    Trier par :
    Les plus utiles Les plus récentes Membres avec le plus de critiques Membres avec le plus d'abonnés
    anonyme
    Un visiteur
    3,5
    Publiée le 28 août 2011
    Un excellent film sur Gulio Andreotti et plus largement sur l'Italie corrompue par la mafia, l'acteur principal est fabuleux et la réalisation est excellente.
    DimDim72
    DimDim72

    6 abonnés 274 critiques Suivre son activité

    1,0
    Publiée le 3 janvier 2010
    J'avais entendu beaucoup de bien à propos de ce film et ce fut, finalement, une très grande déception : je l'ai trouvé inintéressant et très ennuyeux.

    Il n'y a aucune révélation ou nouveauté ; c'est du largement connu pour qui s'est un peu intéressé à l'Italie de la période 1965 - 1995. En outre, la réalisation est confuse et le sujet n'est ni expliqué, ni approfondi. De ce fait, le film paraît désordonné, superficiel et peu compréhensible. Je n'ai toujours pas compris la plus-value de ce film.

    Si le sujet vous intéresse, il y a des films très nettement plus intéressants sur les évènements en Italie dans les années 70 et 80. Je vous conseille, entre autres : Buongiorno, notte (2003) ; Romanzo criminale (2005) ; Arrivederci amore, ciao (2006).
    andreasy
    andreasy

    6 abonnés 122 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 29 novembre 2011
    De belles images, de bons acteurs, mais nous pauvre public, on n'y comprend rien. Le réalisateur a voulu se faire plaisir et comme on dit dans "Incroyable talent" ça ne démarre jamais et on s'ennuie très vite. Alors je zappe.
    ferdinand
    ferdinand

    14 abonnés 452 critiques Suivre son activité

    0,5
    Publiée le 11 janvier 2009
    Machin esthétique dégageant un ennui insurmontable, et incompréhensible de surcroît. Le réalisateur fait se promener son Nosferatu-Andreotti la nuit dans Rome, entouré d'une garde prétorienne, au son de la Pavane de Fauré : Wouah, quelle invention, comme ça interpelle ! On a droit aussi à des ralentis, etc., le tout dans une atmosphère crépusculaire, et un manque d'éclairage dû sans doute au fait que le Nosferatu supporte mal la lumière même artificielle. Bref, en plus, on n'y voit rien... A éviter!
    diehard5
    diehard5

    41 abonnés 482 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 16 juillet 2010
    Portrait entre mythe et réalité du Talleyrand italien, Giulio Andreotti , à sa mesure et non sans démesure. A travers lui, présenté comme une farce grotesque et funèbre, le requiem de la Démocratie Chrétienne (dissoute par l’opération « Mains propres ») en ce que celle-ci a pu paraître outrageusement démunie de tout ce qu’ont pu inculqué deux millénaires de civilisation chrétienne. C’est aussi une réflexion fascinante sur le pouvoir et son exercice. Le spectateur français non familier des arcanes se perd parfois dans le livret de cet opéra grandiose un peu long…
    anonyme
    Un visiteur
    4,0
    Publiée le 21 février 2012
    Paolo Sorrentino nous refait ses " Conséquences de l’amour "(n’ayons pas peur de le dire, le chef d’œuvre de l’année 2005). Prouesses techniques, recherches visuelles, bande son innovante, empruntant aux musiques classiques, pop, rock et varietoches, donnant une ironie toute particulière aux images... La fluidité de sa caméra, parmi les plus remarquables au monde, frappe immédiatement les sensibilités, donnant un aspect mystique et éthéré à son œuvre. Grandiose pour les spectateurs enclins à ce type d’épate ou au contraire grotesque si l’on n’a d’indulgence que pour l’épure et le statisme, ce septième ciel sensoriel, forme évoluée de cinématographie en quête de complétude esthétique, est une expérience qui s’impose de par sa forme, sans pour autant sacrifier le fond, biographique et politique, d’une grande complexité.
    Portrait grandiose de Giulio Andreotti, figure mythique et incontournable de la scène politique italienne de ces 40 dernières années, sept fois président du conseil, ministre à répétition, inquiété dans les années 90 dans de multiples affaires de corruption, accusé d’avoir commandité un assassinat de journaliste et d’avoir travaillé en sous-main avec la mafia, " Il Divo " s’introduit au cœur d’une personnalité complexe, que la réalisation tarabiscotée permet d’appréhender dans toutes ses contradictions. « Le divin », c’est lui. Surnommé aussi l’Inoxydable, le Sphinx, le Joli Petit-Bossu, le Pape noir, l’Homme des ténèbres, l’Eternité, Belzébuth..., il est le pouvoir et le contre-pouvoir à la fois. Dieu et le Diable. Il est un oxymore humain aux allures (et à l’allure) de Nosferatu qui glisse sur le sol et impose une carrure de tortue, toute bossue, certes frêle, mais d’une intensité glaçante. Un personnage respecté et haï, qui a tout connu, rencontré tout le gratin, et qui pourtant, malgré ses 300 000 rencontres, la constance du Pouvoir, un mariage avec une femme qu’il respecte, est cloîtré dans une solitude murale, proche de l’autisme du protagoniste tragique des " Conséquences de l’amour ", qu’interprétait déjà le comédien d’ " Il Divo ", Toni Servillo, tout bonnement épatant. Le réalisateur décrit l’univers foisonnant (le faste du pouvoir) et épuré (il se contente de choses simples et de plaisirs d’ascète) de cette figure errante qui a consacré son existence au Pouvoir. Il bâtit sa somptueuse réalisation sur des contradictions de style et de ton, pour nourrir l’ambiguïté d’un politicien qui tracte avec le Mal pour faire survivre le Bien, qui ne s’embarrasse d’aucune méthode et qui survit à tous les scandales avec une force insolente qu’on n’imaginerait pas provenir d’un tel petit bonhomme, vieux et ratatiné. Le cinéaste, face à l’absurde d’une condition humaine réduite à une carapace insondable, use de tous les artifices pour s’introduire dans l’homme Andreotti, justifiant ainsi la démesure d’une œuvre, où la vérité doit passer par l’onirisme, la reconstitution historique, et l’interprétation de l’artiste. Au final, Il divo fait office de miroir de la vérité glaçant et fascinant, qui ridiculise toutes nos personnalités politiques françaises au charisme paysan, face à la complexité d’une figure publique, irrémédiablement terrée dans le secret, dont le seul équivalent serait en France, et encore à un moindre niveau, François Mitterrand.
    anonyme
    Un visiteur
    5,0
    Publiée le 20 août 2011
    Un très très bon film, exellent jeux d'acteur (Toni Servillo) mais aussi une réalisation très original et très bonne. A voir!!
    cine-the-chocolat
    cine-the-chocolat

    8 abonnés 47 critiques Suivre son activité

    1,0
    Publiée le 6 novembre 2010
    Film pas vraiment captivant malgré un personnage principale quelque peu intrigant. Le reste manque selon moi d'intérêt. Après, peut-être faut-il connaître l'histoire politique italienne de cette époque pour apprécier.
    ffred
    ffred

    1 696 abonnés 4 019 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 5 janvier 2009
    Ce film sorti le dernier jour de l'année restera donc pour moi le dernier coup de cœur cinéma de 2008. Ayant été un peu échaudé par le cinéma italien cette année (Gomorra pas aimé du tout, Caos calmo moyen, seul Ciao Stefano m'a plu), j'hésitais donc mais conseillé par plusieurs personnes j'y suis finalement allé (faute de mieux aussi en ce moment). La surprise fut donc totale. La réussite est parfaite tant sur la forme que sur le fond. Couronné du prix du jury à Cannes en mai dernier, il aurait pu aussi bien repartir avec le prix du scénario, de la mise en scène ou la palme d'or. D'entrée la mise en scène surprend par son originalité et innovation. De haute volée et faisant preuve d'une grande maestria, elle nous propose le portrait au vitriol d'un homme d'état présenté comme un grand opéra tragique... Le scénario est en béton et comme tous les films récents traitant de faits réels, le nom des personnages résonnent familiers à nos oreilles. C'est plein d'humour, fin, intelligent, intéressant jusqu'à en être passionnant. Il va s'en dire que l'interprétation contribue aussi beaucoup : Toni Servillo est absolument époustouflant dans le rôle de Giulio Andreotti. On y croit à fond, il est totalement convaincant, totalement habité. A la fois effrayant, touchant et pathétique, un très très grand numéro d'acteur..
    Il divo plus que d'être le dernier coup de cœur de 2008 en est aussi le dernier chef d'œuvre. Un film grandiose qui vous scotche au siège. Portrait magnifique d'un homme ambigu. Un vrai plaisir non issimulé pour un film, une fois n'est pas coutume, qui nous présente une vraie joie cinématographique : de la nouveauté. Fort, puissant, magnifique, passionnant : jubilatoire !
    JeremGar
    JeremGar

    93 abonnés 1 569 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 22 mars 2011
    Il Divo est un film intéressant et assez bien fiscelé. Cependant, il faut avouer qu'il faut connaître un peu le contexte politique en Italie des années 70 et 80 pour apprécier en sa juste valeur ce film. Beaucoup de noms, de scandales politiques sont référencés et on risque de se noyer dans tout cela avec comme finalité un réel ennuie.
    cylon86
    cylon86

    2 510 abonnés 4 430 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 22 mai 2012
    Décidément l'Histoire de l'Italie est fascinante et n'a pas fini de nous surprendre. Entre les complots, les assassinats et les pots de vin, "Il Divo" nous parle du parcours de Giulio Andreotti, homme politique cynique et froid impliqué au cœur des plus grands scandales du pays. Mais le portrait de l'homme n'est pas le plus réussi, le personnage nous restant assez lointain. C'est la description de la politique d'un pays qui est le plus réussi, alliée à un film qui s'avère tout aussi édifiant que divertissant, soutenu par une mise en scène efficace et un acteur au sommet en la personne de Toni Servillo, excellent et bénéficiant de superbes répliques.
    anonyme
    Un visiteur
    5,0
    Publiée le 23 février 2009
    "Il Divo" s'inscrit dans la tradition du grand cinéma politique italien très en vogue dans les années 1970, les "années de plomb" pendant lesquelles l'autre président du conseil Aldo Mauro a été enlevé et assassiné par les Brigades Rouges (thème du film "Biengiorno Notte" de Marco Bellocchio). En voyant ces deux films, on constate avec bonheur que cette tradition de fils politiques italiens est vivace, ce qui fait encore plus regretter l'absence de films politiques contestataires ici. La France se contente de financer ces films,ce qui n‘est déjà pas si mal.
    C'est Toni Servillo qui incarne Androtti, personnage hors du commun, sorte de Nosferatu effrayant. La performance d'acteur est associée à un travail de cinéaste qui a valu au réalisateur Paolo Sorrentino le prix du jury à Cannes.
    Sorrentino a choisi un ton satirique, donnant à la bande d'Andreotti des allures de monstres issus de film d'horreur. C'est à la fois drôle (parodique) et effrayant sur l'état de corruption de la société en Italie, pays si proche du nôtre. Génial !
    selenie
    selenie

    6 233 abonnés 6 183 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 5 janvier 2009
    Voilà un film historico-politique terriblement noir, cynique et pessimiste.
    D'après un personnage parmi les plus influents et puissants de l'Italie d'après-guerre Paolo Sorrentino décrit en fait les difficultés d'être au pouvoir. Le scénario est riche et particulièrement intelligent en évitant les écueils du genre (rester neutre, objectivité, suppositions). La mise en scène est particulièrement inspirée avec des plans inventifs hors de tout académisme.
    Toni Servillo qui, malgré un une concentration extrème et un vrai travail de fond, ne peut empêcher de pousser la performance jusqu'à une caricature sans doute too much. En évitant d'être trop explicatif et de donner trop de précisions le cinéaste pause un autre problème celui ne rendre certains propos confus notamment la partie juste avant le procès.
    Les points faibles sont peu nombreux et en fin de compte sans gravité. Ce film est une vraie surprise et une vraie réussite. Paolo Sorrentino est à surveiller, sa mise en scène créative promet.
    Plume231
    Plume231

    3 884 abonnés 4 639 critiques Suivre son activité

    1,0
    Publiée le 24 avril 2015
    J'avais pas été pleinement emballé par "La Grande Bellezza" du même réalisateur, Paolo Sorrentino, mais l'interprétation du charismatique et talentueux Toni Servillo dans le rôle principal m'avait bluffé...
    Là c'est exactement la même chose mais en encore plus marqué. On n'a pas du tout l'impression que Toni Servillo joue un rôle mais est le rôle. Il est totalement incroyable dans la peau de Giulio Andreotti, véritable prédateur de la classe politique italienne, ne se départissant jamais d'un impressionnant calme olympien, qui avait des relations disons-le assez étroites avec la Mafia et qui a eu un rôle prépondérant dans certaines heures les plus sombres du pays à l'instar de l'assassinat d'Aldo Moro.
    Un sujet passionnant joué par un acteur formidable mais qui se perd totalement dans une réalisation à la mitrailleuse, croulant sous une avalanche de noms aussitôt oubliés après qu'ils se soient affichés et d'une succession de scènes passées à une vitesse frénétique qui finit très vite par lasser. Je n'ai pas du tout adhéré.
    Uncertainregard
    Uncertainregard

    113 abonnés 1 285 critiques Suivre son activité

    1,0
    Publiée le 1 novembre 2011
    La forme est vraiment sympa, les acteurs très bons et le sujet des plus pertinents mais j'aurais préféré un scénario plus élagué pour retracer la vie de ce personnage incroyable vu le nombre d'informations que Paolo Sorrentino nous contraint à ingurgiter ce qui fait qu'on perd souvent le fil...
    Les meilleurs films de tous les temps
    • Meilleurs films
    • Meilleurs films selon la presse
    Back to Top