Les plus utilesLes plus récentesMembres avec le plus de critiquesMembres avec le plus d'abonnés
Filtrer par :
Toutes les notes
Un visiteur
1,0
Publiée le 29 septembre 2006
Un film où ça hurle du début à la fin, pour des gags pas vraiment drôles .. sauf la chanson "les hommes, je les consomment" qui est quand même pas mal..
Une comédie des années 90 facile, sans intérêt ni bon point particulier qui lui vaudrait un quelconque intérêt... au fait, la prochaine fois qu'on vous demande votre numéro de téléphone, dites le titre d'une chanson, d'après le film il est très faile de reconnaitre les chiffres par la mélodie des touches du télphone... Pffff
Ses soeurs Soleil ont beau être vulgaires, débiles, hystériques, aberrantes, on rit quand même beaucoup, la dynamique est bonne et le duo Célarié et Chazel pète la forme et le feu.
Film assez stupide et ennuyeux dans l'ensemble, cependant sauvé par quelques scènes très drôles : le clip au supermarché, les passages avec Lhermitte shooté, le kangourou, les australiens...A regarder faute de mieux.
Il y a les comédies que tout un chacun va encenser, critiquer ou détester parce que multi-diffusées et dirons nous populaires et les comédies moins populaires, qu'on ne voit jamais ou dont on n'a jamais entendu parler. Les soeurs soleil appartient à la 2ème catégorie : petit succès au box office malgré des acteurs français habitués du genre (Chazel, Lhermitte, Célarié), jamais diffusé à la télé et pourtant.... c'est drôle au moins autant qu'un Visiteurs ou qu'un trois frères de la même époque. ça part dans tous les sens, c'est du délire! Marie-Anne Chazel en bourge coincée de Jouy est excellente (mention spéciale à la crise de té-té-tanie). Débarque dans sa vie bien rangée où elle est mariée à Lhermitte, PDG d'une usine fabriquant du PQ, Gloria Soleil (Célarié), chanteuse ringarde et vulgaire par l'intermédiaire de sa fille, fan, qui gagne une rencontre avec sa star. Et là, on démarre une heure de franche rigolade à suivre le duo Chazel-Célarié que tout oppose, à suivre un Lhermitte un brin perturbé par l'incursion dans sa vie bien rangée de la pop star Gloria Soleil. 1h20 menée tambour battant avec des scènes bien drôles ( le chat volant en concert, on ne s'en remet pas!). Bref, une comédie injustement oubliée qui mériterait d'être mise davantage en avant. Par le réalisateur des Dents de la mer 2 ou de Supergirl (là, on se demande et comment et pourquoi il en est arrivé là). Les soeurs soleil, je les consomme.
Une bonne petite comédie pas bien méchante qui brille plus par son casting (Clémentine Célarié la délurée et Marie-Anne Chazel la coincée mais aussi le rigide Thierry Lhermitte, l'amusant Bruno Solo, Bernard Farcy, Didier Bénureau...) que par son scénario ou sa mise en scène. Quelques bonnes scènes sont à retenir notamment avec le kangourou et il ne faut pas louper le caméo final de Christian Clavier et Jean Reno.
Par un (malencontreux) concours de circonstance, la chanteuse de rock Gloria Soleil débarque dans la très bourgeoise & catholique famille des Hachicourt et va semer le chaos dans la petite bourgade de Jouy-en-Josas.
Le très surprenant Jeannot Szwarc, capable du meilleur (Les Dents de la mer 2 - 1978) comme du pire (Hercule & Sherlock - 1996) a réalisé ici son dernier film, avant de retourner aux États-Unis où il se consacrera définitivement aux séries télévisées (Ally McBeal, JAG, Smallville, Bones, Grey's Anatomy, ...).
Les Soeurs Soleil (1997) ressemble à du Jean-Marie Poiré, avec son montage et ses acteurs hystériques, l’humour et certains trucages nous rappelant Les Visiteurs (1993). Coproduit par Christian Clavier (qui en profitera pour octroyer le premier rôle à sa femme), cette comédie bon enfant et totalement hyperactive s’avère être un surprenant fourre-tout où l’on y retrouve pêle-mêle une chanteuse has-been, un type déguisé en abeille, un supermarché saccagé, un groupe de zic australien (et leur kangourou), une usine de PQ, un BCBG avec des chicots de lapin qui collectionne les pipes & une chorale chrétienne.
C’est à se demander à quoi carburait les scénaristes tant le film prend tellement de directions. Mais aussi bizarre que cela puisse paraître, l’ensemble s’avère tellement jusqu’au-boutiste que l’on finit par y prendre goût et à se laisser porter par cette comédie délurée.
Avec Les Sœurs Soleil, le petit cinéma de Jeannot Szwarc s’inscrit dans une veine comique française portée par la troupe du Splendid et surtout mise en scène par le réalisateur Jean-Marie Poiré, auquel il emprunte d’ailleurs ses tics de metteur en scène, à savoir un montage nerveux qui relie entre elles des séquences construites sur une montée en puissance burlesque – une action prend de l’ampleur, gonfle jusqu’à l’explosion, puis coupe –, une intrigue qui privilégie la forme du buddy movie, un humour volontiers trivial voire franchement grossier qui se repaît des caricatures qu’il représente. Deux milieux sont ici ciblés : la petite bourgeoisie catholique (la famille d’Hachicourt) et le monde de la chanson populaire (Gloria Soleil et sa bande), rappelant au passage le clivage qui opposait en 1988 les Le Quesnoy aux Groseille dans La Vie est un long fleuve tranquille. Et la rencontre de ces deux milieux fait des étincelles, en dépit d’une surcharge permanente qui alourdit davantage qu’elle ne déclenche le rire : les chansons cristallisent de façon parodique les deux mondes desquels elles émanent, rassemblées enfin dans une composition chorale assez réussie ; la succession de retournements de situation et de quiproquos maintient en éveil le spectateur qui sait pertinemment que ce qu’il a sous les yeux est une farce, un film bouffon où les personnages sont grotesques et où le comique est utilisé sous toutes ses formes (mots, caractères, gestes, situations etc.). Toujours sympathique mais jamais hilarant, Les Sœurs Soleil bénéficie d’un casting monté sur ressorts, de Marie-Anne Chazel en bonne maman catholique à Clémentine Célarié en chanteuse ratée et égoïste. Une comédie divertissante et alerte, qui souffre néanmoins d’une forme trop impersonnelle et trop sage pour conférer à l’ensemble une identité véritable (à la différence, entre autres, du cinéma de Jean-Marie Poiré).
En gentil mari qu'il est, Christian Clavier a produit cette bouse, afin d'y mettre sa femme (accompagnée de quelques potes) en tête d'affiche. Le résultat fait peine à voir. Les personnages sont plus caricaturaux les uns que les autres, aucun n'est drôle (hormis Bernard Farcy qu'on ne voit que quelques minutes), les gags sont lourds et prévisibles... Une horreur!
J'ai encore bien aimé ce film " les soeurs soleils" , une partie du Splendide qui joue dedans est toujours agréable a regarder. J'ai rigolé plusieurs fois et Clémentine Célarié vient apporté une petite touche d'humour. J'ai mis 3 étoiles. Je le conseille pour une soirée sans trop réfléchir.