Avis sur Le Grand Frisson

Norman Taurog n'ètait certes pas un cinèaste inspirè ni personnel mais plutôt le tâcheron appliquè, bon technicien, comme Hollywood en connut tant, capable du meilleur ou du pire en fonction de la qualitè du sujet ou du talent des interprètes! A vrai dire, malgrè 45 ans de carrière et quelques 70 longs-mètrages, le meilleur fut plus rare que le pire chez Taurog et l'on ne voit pas bien quelle bande on devrait sauver si l'on devait la lèguer à la postèritè. "Live a Little, Love a Little" est en fait son ultime film, avec un Elvis Presley en fin de carrière, la ravissante Michele Carey du "El Dorado" de Howard Hawks...et Albert, un amusant dog allemand! Le personnage d'Elvis exerce le mètier de photographe pour deux revues : l'une très puritaine, l'autre très suggestive, situèes dans le même immeuble! Autant dire que l'intrigue aux moult pèripèties se dèroule sans grosse surprise, servi, il est vrai par un Presley qui se lâche un peu plus qu'à l'habitude avec les femmes! Un Taurog ultra commercial pour un King qui chante le cèlèbre « A Little Less Conversation » . A ne pas confondre avec "Le grand frisson" de Mel Brooks...

Un bon romantique avec elvis en effet , Le film pour une fois ne comporte pas trop de chanson ce qui permet au King de montrer son talent d'acteur , ce qui est le cas ici car il joue plutôt bien , mais il y a quand même quelque chanson interprété par elvis presley dont un de ses plus grand succès, au finale 3 chanson chanter pour laissez place au cinéma ( le vraie ) . Un personnage masculin qui nous est sympathie pour qui on éprouve de empathie avec ce qui lui arrive, le rôle féminin plutôt bon aussi , quelque scène drôle notamment avec le chien .
1h25 de film c'est bien suffisant car a la fin on commence à se lacer un peux !

résumer :
Greg Nolan, un photographe adulé par les femmes tombe follement amoureux d'une jeune femme, vierge, aguichante et provocante. Celle-ci va alors faire vivre à Greg de nombreuses péripéties dont un déménagement irréel !