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    Alice au Pays des Merveilles
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    3 504 critiques spectateurs

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    Stormtrooper62
    Stormtrooper62

    43 abonnés 401 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 2 août 2018
    Tim Burton nous propose une "suite" d'Alice aux pays des merveilles avec une Alice plus agée qui tout au long du film,se pose la question si ce qu'elle est en train de vivre est réelle ou non.Les personnages sont dans l'esprit Burton,sans trop s'éloigner je pense de l'esprit du livre,c'est à dire assez loufoques et excentriques,mention spéciale à Johnny Depp ,qui,comme à son habitude,interprète souvent ces personnages qui "sortent du lot".
    Mais le film patauge dans un récit sans fond ni forme,essayant par de brefs sursauts de relancer la machine,mais le manque de rythme,la musique pas toujours super et le jeu parfois juste de l'interprète d'Alice laissent un gout d'inachevé.
    Antares
    Antares

    3 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 11 juillet 2018
    Burton et Alice, c’était un duo prometteur mais c’est mitigé que je ressors du film. Du côté des points positifs on ne s’ennuie pas, malgré un scénario très classique, notamment grâce à la réalisation de Tim Burton qui nous offre un pays des merveilles entièrement en numérique mais très convaincant. La prestation des acteurs est convaincante, malgré une Mia Wasikowska (Alice) un peu en retrait, Johnny Depp (le chapelier), Helena Bonham Carter (la reine rouge) et Anne Hathaway (la reine blanche) cabotinent comme il faut, parfois à la limite du surjeux (mais ça reste cohérent avec l’univers). Mention spéciale également à la musique de Danny Elfman. Là où j’ai plus de doute c’est sur la capacité de ce film à être plus qu’un divertissement, si le film prend le parti pris de mettre en scène une Alice adolescente, l’originalité s’arrête là.
    L’histoire d’Aice traite normalement du rêve et de la réalité, de la volonté d’échapper à une réalité conformiste, monotone et ennuyeuse. Ce n’est pas que Burton n’a pas compris Alice, c’est juste qu’il n’a pas réussi à retranscrire ce qu’il voulait retranscrir à travers ce film, est-ce sa faute ou celle de disney, je ne sais pas. Si le début du film nous présente un monde bourgeois ennuyeux et stricte (costume des personnages ou parfaite symétrie de certains plans comme celui de la foule devant le kiosque où tous les personnages sont bien rangés comme pour une photo de clas spoiler: se, une foule qu’Alice séparera significativement en s’enfuyant à la fin du film)
    un monde qu’Alice veut fuir, le pays des merveilles lui servira certes à s’affirmer au travers de ces aventures, mais il y perd sa fonction de monde imaginaire où tout est possible, c’est juste un monde aux règles différentes mais existantes tout de même, le lapin critiquera ainsi le comportement des animaux du monde réel qui ne respectent pas les règles de bienséance (ils se baladent nus), tout ce qui se passent aux pays des merveilles est régis par avance par un oracle. Malgré sa fantaisie visuelle et les affimations de la reine blanche qu’Alice peut faire ses propres choix , c spoiler: ette dernière ne fera que suivre la voix toute tracée du destin.
    Par sa volonté de faire de l’histoire d’Alice une histoire de fantasy classique (style star wars ou seigneur des anneau) le film manque donc le message principal de cet univers.
    anonyme
    Un visiteur
    3,0
    Publiée le 13 juin 2018
    On ne retrouve absolument pas la magie du dessin animé... Le scénario est brouillon, la réalisation assez convantionel malgré l'enorme moyen dont disposait Tim Burton.
    anonyme
    Un visiteur
    4,5
    Publiée le 31 mars 2018
    « Alice » est une curiosité dans cette version de 2010, le monde de fantaisie peuplés d’animaux aux dons de parole est fascinant, en ouvrant leurs portes, j’ai été éblouie. La touche finale en émotion apporte un nouveau souffle à l’histoire romanesque de l’éternel petite fille qui a maintenant bien grandi.
    anonyme
    Un visiteur
    2,5
    Publiée le 18 mars 2018
    Le charme n’a malheureusement pas opéré et ce film est une véritable déception. Et il était permis d’en attendre beaucoup : premièrement parce que le scénario se trouvait tout droit inspiré du fantastique univers de Lewis Caroll et secondement parce que Tim Burton était le réalisateur. Mais l’association de Lewis Caroll avec Tim Burton qui paraissait être une évidence, ne l’était en fait pas vraiment.
    L’idée de suivre Alice, maintenant âgée de 19 ans, pouvait introduire un scénario original et intéressant. Cependant, l’intrigue a abouti à quelque chose de surfait. Alice devient une guerrière qui va sauver le Pays des Merveilles. Cela a tout de la recette classique du blockbuster hollywoodien et c’est bien dommage. Une sorte de poésie de conte de fées émergeait parfois à la surface, mais cela était pour disparaître aussitôt et ainsi repasser à une insuffisance mélodique.
    L’univers 3D n’a pas régalé mes yeux. Je dois, en revanche, souligner les prouesses stylistiques qui ont donné naissance à des personnages fascinants. Je pense en particulier au chapelier fou, dont la chevelure flamboyante et les yeux de reptiles ont contribué à me magnétiser, mais aussi à la reine rouge qui par sa tête disproportionnée a piqué ma curiosité.
    scal36
    scal36

    34 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 5 mars 2018
    excellent conte de fée purement burtonien je me suis pas ennuyé une seul seconde, moi qui adore burton associer a johnny deep je me suis régalé pendant tous le film . note 18/20��.
    Alexis D.
    Alexis D.

    105 abonnés 877 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 1 mars 2018
    Une merveilleuse adaptation live de "Alice au Pays des Merveilles", le dessin animé produit par Walt Disney, pas un chef d'œuvre mais un excellent film fantastique et merveilleux. Qui d'autre que Tim Burton pouvait adapter "Alice au Pays des Merveilles" avec un tel brio ? Faire de cette histoire un film sans perdre la magie et la féérie de l'œuvre originale était particulièrement compliqué. Mais c'était sans compter sur le talent du réalisateur et des acteurs qui participent à ce long-métrage. Ainsi "Alice au Pays des Merveilles" est une véritable réussite qui emmènera petits et grands dans un univers enchanté. Le scénario du film est finement ficelé et revisite la célèbre histoire de Lewis Carroll. Le film s'ouvre sur spoiler: Alice qui fait un cauchemar et qui vient voir son père en pleine réunion d'affaires. Son père la rassure et lui explique qu'en rêve rien ne pourra jamais lui arriver, mais aussi que la plupart des gens bien sont fous. Ainsi, Alice est ici une jeune fille de 19 ans rêveuse et un brin excentrique. Lors d'une réception, Alice Kingsleigh (Mia Wasikowska), qui a désormais 19 ans, est demandée en mariage par Hamish Ascot, un Lord arrogant et très peu séduisant. C'est alors qu'elle aperçoit un étrange lapin blanc qui possède une montre à gousset et lui fait signe de la suivre. Alice s'enfuit, prétendant que "cette demande en mariage arrive un peu trop rapidement" et part à la poursuite du lapin. Elle arrive devant un curieux arbre mort au tronc détruit. Entre ses racines se trouve un terrier plongé dans l'obscurité. S'en approchant trop près, Alice tombe et atterrit, après une longue chute mouvementée, au Pays des Merveilles (un lieu qu'elle a oublié mais qu'elle a connu lorsqu'elle était enfant). Ne se souvenant pas de son précédent voyage, elle rencontre tous les personnages de cette curieuse contrée, devenue sombre et inquiétante, tels que le fameux Lapin Blanc, McTwisp (voix originale de Michael Sheen), ainsi que le Chat du Cheshire (voix de Stephen Fry), le Lièvre de Mars (voix de Paul Whitehouse), Mallymkun le Loir (voix de Barbara Windsor), les jumeaux Tweedledum et Tweedledee (Matt Lucas), qui semblent tous très bien la connaître et en particulier Tarrant Hightopp, le Chapelier Fou (Johnny Depp) qui lui voue une certaine affection... Ne sachant pas ce qui est arrivé de navrant au Pays des Merveilles, Alice apprend, qu'après son départ, la Reine Rouge Iracebeth (Helena Bonham Carter), accompagnée d'Ilosovic Stayne (Crispin Glover), son Valet Rouge, a pris le pouvoir en relâchant le Jabberwocky (Christopher Lee), son animal de compagnie. Pour que le bien et la paix puissent régner de nouveau au Pays des Merveilles, Alice devra s'allier au déjanté Chapelier Fou et à l'excentrique Reine Blanche Mirana (Anne Hathaway) afin de se débarrasser de la tyrannie de la Reine Rouge et rétablir la justice. Elle va donc suivre toute une série de péripéties, se faire poursuivre (sur ordre de la Reine Rouge) par le valet de cœur Illosovic Stayne qui aura appris la vérité sur le retour d'Alice au Pays des Merveilles, aller rencontrer le Chapelier Fou (qui va se faire enlever par la Reine Rouge), se rendre chez la Reine Rouge pour aller sauver son ami le Chapelier Fou pour enfin voler l'épée Vorpaline et aller voir la Reine Blanche afin de se préparer au combat final. Finalement Alice retrouve ses souvenirs du Pays des Merveilles grâce à Absolem la Chenille bleue et va donc affronter le Jabberwocky, une créature terrifiante à l'apparence proche de celle d'un dragon, pour mettre fin au règne de dictature de la Reine Rouge. En parallèle de ce combat entre Alice et le Jabberwocky, les amis d'Alice (dont la Reine Blanche) affrontent les sbires en formes de cartes de la Reine Rouge. Finalement, Alice tue le Jabberwocky en lui tranchant la tête et la Reine Rouge finit exilée avec son valet Illosovic Stayne (non sans une tentative de meurtre sur sa personne de la part de son valet). Finalement Alice décide de retourner dans le monde réel et dit adieu à tous ses amis, puis elle revient dans le monde réel grâce au sang du Jabberwocky. Là-bas, elle refuse la demande d'Hamish et dit un peu ses quatre vérités à tous les invités du mariage. Le film se finit par Alice qui part en Chine traiter des affaires commerciales, et en montant dans le navire elle aperçoit Absolem qui s'est mué en papillon
    . Ainsi s'achève le film, sur une scène assez émouvante. Parce que l'univers d'Alice est tellement particulier, il fallait un réalisateur capable de gérer cette folie, mais aussi des acteurs en mesure de relever le défi. Pour y parvenir, Tim Burton a fait appel à ses acteurs fétiches : Johnny Depp (le Chapelier Fou) et Helena Bonham Carter (la Reine Rouge). A leurs côtés se trouvent Mia Wasikowska (Alice) et Anne Hathaway (la Reine Blanche). On a donc un casting absolument fantastique, où chaque acteur interprète à merveille son rôle. Concernant les personnages, ils sont tous excentriques et un peu fous mais tous très attachants, même les "méchants" ne sont pas foncièrement détestables. Concernant le Chapelier Fou, son vrai nom est spoiler: Tarrant Hightopp, on sait peu de choses sur son passé à part qu'il était chapelier de la Reine Blanche et qu'ils étaient très amis. Toujours coiffé de son inséparable chapeau haut-de-forme, sa seule occupation pendant l'absence d'Alice était de boire le thé avec ses compagnons le Loir et le Lièvre de Mars. Il voue une certaine affection pour Alice et déteste la Reine Rouge. Son rival n'est d'autre que Stayne, son valet. Ils se haïssent mutuellement et s'affrontent à la fin du film
    . Alice Kingsleigh est elle une jeune fille de 19 ans, belle et intelligente, dotée d'une imagination sans bornes qui lui attire beaucoup d'ennuis. Elle a spoiler: une sœur nommée Margaret et une mère nommée Helen. La disparition de son père l'a beaucoup affectée, à tel point qu'elle est devenue presque froide et sarcastique et a perdu quelque peu de ses souvenirs de son voyage précédent au Pays des Merveilles. Alice a beaucoup de respect pour Mirana, la Reine Blanche, et aime beaucoup le Chapelier Fou, ce dont il lui est sans doute redevable, car il sera d'ailleurs le seul à la reconnaître quand elle reviendra au Pays des Merveilles. Lorsqu'elle se présentera à la cour de la Reine Rouge, sous le nom de Eum, Illosovic Stayne, le valet de celle-ci, tombera amoureux d'Alice
    . Mirana, la Reine Blanche, est spoiler: la sœur d'Iracebeth et a beaucoup d'affection pour elle, mais malheureusement ce n'est pas réciproque. Exilée à Marmoréal par sa sœur, elle y mène pourtant une bonne existence entourée de ses sujets. Pleine de sagesse, Mirana est aimée de tous mais demeure bien mystérieuse
    . Iracebeth, la Reine Rouge, est spoiler: une reine pleine de méchanceté, et c'est la Reine du Pays des Merveilles. Cruelle et capricieuse, elle passe généralement son temps à ordonner la décapitation de ceux qui la blessent ou qui l'irritent. Elle a beaucoup d'affection pour son assistant Ilosovic Stayne, le valet de Cœur mais celui-ci ne semble pas ressentir la même chose pour elle. C'est elle qui garde le Jabberwocky, la créature qu'elle utilise pour semer la terreur au Pays des Merveilles
    . Les autres personnages amis d'Alice sont aussi très sympathiques, Mallymkun est très courageuse, le Lapin Blanc est toujours en retard et est très peureux, le Lièvre de Mars est un peu fou, les jumeaux Tweedledee et Tweedledum sont très drôles, le chien Bayard est loyal... Du côté des créatures, il y a aussi le Bandersnatch qui est assez sympathique et qui a une belle évolution pendant le film. Sinon l'aspect visuel et technique du film est véritablement splendide, l'esthétique est digne d'un conte de fées avec des très belles couleurs riches et variées, aussi chaudes que froides par moments. Les décors, costumes et maquillages sont vraiment magnifiques, tout comme les effets visuels. A ce titre ce film a parfaitement mérité ses Oscars : l'Oscar des meilleurs décors, l'Oscar des meilleurs costumes, l'Oscar du meilleur son et l'Oscar des meilleurs effets visuels. La musique est signée comme toujours Danny Elfman, on a donc le droit à une merveilleuse bande originale qui colle à merveille avec l'ambiance du film, j'ai particulièrement apprécié le générique du fin chanté par Avril Lavigne, nommé "Underground". Côté réalisation, "Alice au Pays des Merveilles" est bel et bien ancré dans l'univers burtonien. C'est un conte épique, impressionnant, violent et à la fois sombre et joyeux. C'est une histoire magnifique dont le contenu peut nous rester facilement gravée dans l'esprit. Tout en couleurs et en musiques, ce film devrait plaire à tous ceux qui ont apprécié "Charlie et la chocolaterie" et bien sûr à tous les fans de Johnny Depp
    anonyme
    Un visiteur
    5,0
    Publiée le 20 février 2018
    meilleur film de tous les temps, merci tim burtounet le best =~) !!!!!!
    ce film a révolutionné ma life apres l'avoir vu, mon ex albert est revenu vers me et je suis dès aujourd'hui la meuf la plus heureuse, j'ai une vie comblée grace a mes magnifique quintuplés et je chante tous les jours september.
    je souhaite faire une petite dédicace a tata michelle pour tes tartes tatin qui déchires !!! Mmmmh, miam
    je travaille en tant que conseillère d'orientation dans un college dans le 93 ou les enfants sont parfoit dangereux a mon égard mais je garde la foi, on ne peut pas toujours croiser que des gens civilisé.
    ce film est pour moi une maniere de ma délivrer, je peux souffler un bon coup
    j'ai eu beaucoup de souci etant petite, beaucoup de difficultés, et ma vie n,'a
    Robrex
    Robrex

    24 abonnés 940 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 16 février 2018
    Juste bof !! "Alice aux Pays des Merveilles" était un film que j'attendais particulièrement, et résultat : Tim Burton m'a bien planté un couteau dans le dos ! Même s'il est pas mauvais sur tous les bords, "Alice aux Pays des Merveilles" est vraiment décevant. Pourtant la bande-annonce vendait bien le film, ça avait l'air vraiment intéressant et bon, surtout au niveau des effets spéciaux ; et résultat : même si les effets spéciaux et l'environnement créé pour le Pays des Merveilles a beaucoup de gueule, ça reste quand même un film ultra moyen et une grosse déception. Je dirais même que c'est l'un des moins bien réussis des films de Tim Burton. Au niveau des acteurs, Mia Wasikowska dans le rôle d'Alice est vraiment en sous-jeu constamment, et elle a l'air d'en avoir rien à taper d'être dans le film. Même les scènes d'action où elle joue, elle fait pratiquement aucun effort. Johnny Depp dans le rôle du Chapelier fou est pas trop au top, et a tendance à surjouer des fois. Mais pour moi les deux pires actrices du film sont Helena Bonham Carter dans le rôle de la Reine Rouge qui, en plus d'avoir un design grotesque et ridicule, cabotine à mort au point de devenir quasiment insupportable, et Anne Hattaway dans le rôle de la Reine Blanche, qui fait vraiment peine à voir !! Mais comme je disais, l'univers est stylé : les personnages, même si la plupart sont énervants, et les créatures du Pays des Merveilles sont vraiment bien foutus, mention spéciale au Chat du Cheschire qui est pour moi le mieux fait, et la bataille finale peut être intéressante par moment. Mais sinon, le reste du temps, c'est un fond complètement oubliable et lambda, qui peut même être ennuyeux par moment, avec un scénario plat et des facilités par-ci par là. Sinon, ça peut être un divertissement normal, mais ça va pas plus loin que ça et c'est vraiment dommage ! Voilà, "Alice aux Pays des Merveilles" de Tim Burton est une déception, un film qui avait du potentiel mais qui n'a pas su le mettre en valeur, au point de devenir un divertissement sans plus. Surtout qu'une suite sortira six ans plus tard, et qui est pareille au niveau de l'aspect. Donc si vous voulez voir "Alice au Pays des Merveilles", allez-y, mais faudra pas vous attendre à grand-chose.
    anonyme
    Un visiteur
    3,5
    Publiée le 7 janvier 2018
    Un remake visuellement incroyable et regorgeant de personnages attachants de Tim Burton avec un casting bluffant, des décors tout simplement sublimes, une merveilleuse BO de Danny Elfman, une réalisation époustouflante et un scénario captivant.
    Wagnar
    Wagnar

    80 abonnés 1 364 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 11 novembre 2024
    Certains considèrent ce film comme un raté dans la carrière de Tim Burton. Pour ma part, je l'aime bien bien que le scénario souffre de quelques incohérences spoiler: (comme le fait que la Reine Rouge ne reconnaisse pas Alice quand celle-ci vient de grandir devant elle en mangeant le gâteau magique alors qu'elle est à la base capable de la reconnaître sur n'importe quel dessin).
    Je trouve que Tim Burton renoue avec la poésie si particulière de son univers. L'histoire est une suite intéressante et pertinente du roman de Lewis Carroll. Il est vrai que le film part dans une direction assez inattendue, lorgnant du côté de Narnia, mais moi qui adore l'Heroic Fantasy, je n'ai pas été déçu par cette tournure. Le film offre de vrais moments d'humour et de poésie avec de très belles images. Johnny Depp est absolument mémorable en Chapelier Fou. Et Mia Wasikowska est particulièrement brillante dans le rôle d'Alice qu'elle parvient à rendre attachante.
    Attigus R. Rosh
    Attigus R. Rosh

    194 abonnés 2 509 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 25 novembre 2017
    Assez peu séduit par ce film de Tim Burton, dont je suis pourtant assez friand de l'univers.
    N'ayant pas lu le roman de Lewis Carroll, il m'est difficile de dire qu'elle est la part de fidélité avec le roman, par contre le film se détache énormément du dessin animé qu'avait réalisé Disney dans les années 50. Pour le mieux ? C'est difficile à dire. Je n'en suis pas sûr. Je ne sais pas trop quel public est visé par ce film. Comme beaucoup de réadaptation Disney en prise de vue réelle (comme le Livre de la Jungle), la prise de vue réelle donne beaucoup de réalisme aux effets spéciaux et rend donc les monstres beaucoup trop intimidants pour les enfants ; de la même manière les scènes s'adresseraient plutôt à un public adolescent. Et pourtant, l'histoire reste une comptine d'enfant.
    L'univers est très réussi, Tim Burton a réalisé une bonne greffe entre son univers et celui du conte d'Alice au pays des Merveilles. Les créatures de cet univers sont fascinants : que ce soit Absolem, le Lapin Blanc sans oublier évidemment le chat du Cheshire. Les effets spéciaux, l'animation et le design des personnages sont impeccablement travaillé.
    Les acteurs m'ont moyennement séduit. Mia Wasikowska est correcte, même si la personnalité de son personnage étant moins loufoque que celle des autres personnages, cela rend moins captivante sa prestation. Johnny Depp est égal à lui-même dans le rôle du personnage fantasque burtonien, c'est-à-dire dans son élément. On peut aisément en dire de même pour Helena Bonham Carter. En revanche, Anne Hathaway m'est sortie par les yeux. Son personnage m'a été insupportable tout le long du film, avec son détachement un peu condescendant et ses mains tout le temps en l'air. Les autres acteurs (notamment ceux de doublage) ont été bien castés.
    La musique de Danny Elfman élève le film, collant parfaitement à l'univers onirique du film. Par contre, la bande-originale est presque par l'utilisation momentané de musique totalement hors de contexte (comme la chanson d'Avril Lavigne, à quoi quand on a Danny Elfman comme compositeur).
    Visuellement réussi, après, c'est moyennement convaincant.
     Kurosawa
    Kurosawa

    583 abonnés 1 509 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 15 novembre 2017
    Au vu de l'étrangeté qui parcourt le roman de Lewis Carroll et de celle imprimée dans la filmographie de Tim Burton, il n'est pas étonnant que ce dernier ait fini par adapter "Alice au pays des merveilles". La beauté du film tient dans sa faculté à faire tenir la croyance obstinée de son héroïne, convaincue qu'elle est dans un rêve et qu'il ne peut donc rien lui arriver, à l'incarnation de ce monde merveilleux, lequel résonne étroitement avec le nôtre. Si la fin du roman est peu ambiguë, celle du Burton écarte la dichotomie rêve-réalité mais juxtapose plutôt deux mondes parallèles, reliés par des personnages qui existeraient sous des formes différentes. Film habité, "Alice au pays des merveilles" laisse malgré tout un sentiment de frustration, dû notamment à l'extrême rapidité de l'action, qui non seulement ne permet pas au spectateur de souffler mais qui empêche surtout au film de respirer, avançant presque mécaniquement à cause d'un rythme trop homogène. On peut aussi regretter quelques retours en arrière peu inspirés, autant sur un plan narratif que visuel, qui défilent avec une vitesse encore trop importante, comme si Burton avait peur d'ennuyer. Si le film est une aventure belle et parfois trépidante, il marque un tournant définitif dans la carrière du cinéaste, qui se tourne vers un cinéma purement divertissant – qui peine à faire confiance au spectateur.
    bibtar
    bibtar

    31 abonnés 598 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 18 octobre 2017
    Qu’on soit un adepte ou pas du cinéma de Tim Burton, une chose est clairement évidente, c’est que cette célèbre œuvre de Lewis Caroll qui a été maintes et maintes fois adaptée ne pouvait pas tomber entre de meilleures mains que celles de ce réalisateur à La vison unique et qui se retrouve totalement dans cet univers grandiloquent, et ainsi la version qu’il propose est 100% emprise de la marque du maître de l’obscure et du déjanté, et qui d’autre que lui pouvait en offrir une version si édulcoré et à la fois tellement fidèle, même si l’œuvre en elle même est tellement singulière qu’il n’est reste pas simple de l’adapter visuellement. Pourtant il est indéniable qu’à ce niveau la, ce film propose un vrai voyage onirique dont seule T. Burton a la capacité de rendre hypnotique et passionnant, par sa manière de l’illustrer et surtout de lui donner du sens, chose encore plus délicate dans cette histoire carrément déjanté, parvenant en plus à proposer une vision et une relecture étant totalement en accord avec son style. On se retrouve à la fois en terrain conquis par une grande nombre de générations à travers les âges mais tout en voyageant dans une histoire totalement nouvelle, gardant tout de même son lien avec ce qui est très connu de cet univers, et parvenant à raconter encore plus de chose avec la base de ce qui existe déjà et en y restant complément fidèle, ce qui n’a rien d’étonnant venant de la part d’un réalisateur à la vision très spécifique et qui se retrouve bien dans ce récit, par contre peut être qu’on peut retrouver plus à redire concernant le développement du scénario, qui sent à des kilomètres le film de commande dans sa manière d’amener les derniers instants de l’intrigue ou encore dans la vision très famille établie tout du long pour raconter cette histoire, ce qui n’est pas forcément approprier à la façon dont Burton souhaite rendre visuellement et conceptuel ses récits. Alors le plus plaisant dans celle relecture de l’historie originale c’est que l’on retrouve des détails ou des personnages essentiels à cet univers, tout en les mettant aux services d’une idée nouvelle qui exploite et utilise l’imaginaire collection ainsi qu’à l’enfance de chacun puisque malgré des générations plus tard, qui n’a jamais entendu parler de ce compte psycadelique ? Et bien évidement que T. Burton est l’homme de la situation pour offrir actuellement la vision la plus aboutie et la stylisé de cette histoire, mais encore ne faut il pas oublier que en-dehors de décors et couleurs très criants, c’est la pléiade de personnages loufoques et haut en couleur que propose le film, rentrant à merveille dans cette toile une peu barrée, que cela soit du lièvre complètement névralgique, à la reine maléfique incarnée à la perfection par la talentueuse Helen Bonham Carter et renvoyant parfaitement à l’image que l’on peut se faire d’elle dans le conte, tous trouve un crédit indéniable une fois passé sous les coutures du réalisateur, avec un intérêt plus spécifique bien pour commencer envers Anne Hataway qui offre un personnage toute en subtilité et tout la manière de se mouvoir est fantastique, portant l’essentiel du personnage, mais évidement celui qui crève une fois de plus l’écran sous la direction du grand Tim Burton, presque indissociable de son travail, c’est bien sûr l’excellent chapelier fou que nous offre le non moins excellent Johnny Depp, qui donne la plupart du temps ses plus beaux rôles sous la houlette de ce génie visuel, que ce soit par sa façon d’être, par le costume et le maquillage ou tout simplement par cette folie qui semble incarnée tellement naturellement, voilà un personnage supplémentaire à ajouter au grands rôles de l’acteur, car on pourrai presque dire que c’est ce protagoniste là qui porte plus le film que l’héroïne éponyme, qui soit dit en passant n’est pas mauvaise en tout cas par sa niaiserie débordante, mais qui n’apporte rien de transcendant au personnage, même une fois en mode bataille finale, encore une fois on ressent cette ombre du film de commande par Disney qui rode au dessus. Alors non pas que la qualité en soit détériorée, bien au contraire vu les moyens techniques et d’effets spéciaux pour illustrer tout cela, avec une réussite indéniable ce niveau, mais avec cette fâcheuse tendance à réduire la puissance de certaines images ou certains propos aux vues du public visé, donc heureusement l’essence même s’en retrouve pas pénalisé, mais on est bien loin des visons très sombres et oniriques à l’extrême dont sait faire preuve Burton, cela n’a rien de bien grave étant donné que l’on est largement transporté par ce qui est mis en scène. Toujours la même imagination débordante et toujours une vision singulière de l’image, et rien que pour cela, ça fait plaisir de retrouver le grand réalisateur dans sa zone de confort, apportant une vision dépoussiérée et surtout unique de ce conte connu à travers le monde entier. Un casting totalement adéquat, un univers on ne peut plus adapté au style du réalisateur, une histoire très connu qui parvient à apporter son lot de surprises, un humour déjanté et un monde tout aussi déluré, tout ce qu’il faut pour offrir à Tim Burton de quoi s’amuser sans trop se forcer, ce qu’il a su faire d’ailleurs, car même s’il est plus que plaisant de retrouver cette œuvre sous la direction d’un réalisateur de ce genre là, on est bien loin de ces chefs d’œuvre, les studios passants par là bien évidement, mais aussi par cette facilité à proposer une vision tant attendu, sans prendre de gros risque, pourtant finalement le divertissement et l’onirisme sont au rendez-vous, et c’est bien suffisant pour être intéressant.
    anonyme
    Un visiteur
    3,0
    Publiée le 12 octobre 2017
    Un film visuellement incroyable, regorgeant de personnages attachants avec un casting bluffant, des décors tout simplement sublime, une merveilleuse BO de Danny Elfman, une réalisation époustouflante et un scénario original.
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