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Votre avis sur Alice au Pays des Merveilles ?
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Trop d'effets spéciaux, un mauvais scénario et une actrice principale désespérante. Dommage pour Johnny Depp et Anne Hathaway, seuls à sortir leur épingle du jeu.
Alain D.
A voir ou à revoir en Famille, cette fiction très esthétique signée Tim Burton. Il nous offre de grands effets visuels, des décors et des costumes magiques. L'histoire adaptée du roman publié en 1865 par Lewis Carroll, nous propose un conte Fantastique magnifiquement mis en image.
La réalisation nous propose une aventure aux personnages grotesques ou touchants, extrêmement bien interprétés. Un Johnny Depp émouvant dans le rôle du chapelier, Anne Hathaway ravissante en reine blanche, Helena Bonham Carter extraordinaire en reine rouge et une Mia Wasikowska assez convaincante dans le personnage d'Alice.
La réalisation nous propose une aventure aux personnages grotesques ou touchants, extrêmement bien interprétés. Un Johnny Depp émouvant dans le rôle du chapelier, Anne Hathaway ravissante en reine blanche, Helena Bonham Carter extraordinaire en reine rouge et une Mia Wasikowska assez convaincante dans le personnage d'Alice.
Un vrai chef d’œuvre.
Une histoire passionnante pleine de rebondissements et d’imagination. Magnifique film émouvant et surprenant dans le bon sens je vous le conseil fortement !!
Une histoire passionnante pleine de rebondissements et d’imagination. Magnifique film émouvant et surprenant dans le bon sens je vous le conseil fortement !!
J'avais été déçu par ce film réalisé par Tim Burton, cinéaste que j'apprécie pas mal. Et là on trouve un peu les mêmes défauts que dans Charlie et la chocolaterie, avec en prime une intrigue moins captivante et des personnages davantage enervants pour certains (chez les gentils comme méchants). Dommage.
sympathique , c'est le mot pour décrire ce film . scénario minimaliste , rien de bien transcendent dans cet opus .
Réussite intemporelle singulière part son ambiance, ses costumes, ses créatures,... Bienvenue dans un pays aux allures merveilleuses mais qui est d'une poésie pouvant être transposée à notre époque. Ce film a tout de merveilleux : merveilleux de la musique, merveilleux du jeu d'acteur, merveilleux des émotions transmises.
Alice au pays des merveilles est un film fascinant. Pleine de surprises. En regardant le film sans s’en rendre compte nous voyageons avec Alice. Son histoire nous en apprend d’avantages et nous fait rêvées. “C’est impossible seulement si tu pense que sa l’est” sa fait réfléchir. Bref je vous le conseil vivement. Surtout que Johnny Depp joue très bien son rôle de chapelier fou. J’espère qu’il y’auras un troisième film.
Alice au pays des merveilles est le tout premier live action à être sorti et ce n’est pas une réécriture du Disney mais bel et bien une suite sauf qu’Alice a tout oublié de sa précédente aventure.. L’idée est très audacieuse et elle fonctionne très bien. On découvre brièvement Alice Kinsley enfant, très proche de son père, et on la retrouve à l’âge de 19 ans où elle va vivre de folles aventures en compagnie du lapin blanc, de Tweedle Dee et Tweedle Dum, d’Absolem, du Chapelier fou, du chat de Cheshire, du brave chien Baya et de la Reine blanche. Tous ensembles, ils doivent se battre contre la Reine Rouge, Ilosovic Stayne et le Jabberwocky. L’amitié d’Alice avec le Chapelier fou est touchante. L’histoire est plus sombre et il y a plus d’action. Du grand Tim Burton. Au niveau du casting, j’ai découvert une Mia Wasikowska très convaincante. Sans oublier les excellents Johnny Depp et Anne Hathaway.
https://onceuponadreamgirl.wordpress.com/2021/09/04/alice-au-pays-des-merveilles-1951-a-2016/
https://onceuponadreamgirl.wordpress.com/2021/09/04/alice-au-pays-des-merveilles-1951-a-2016/
J'aime Lewis Caroll, j'aime Tim Burton. Et je trouve que l'interprétation que fait Tim Burton d'Alice (et de l'autre coté du miroir) est excellente. Il ne s'agit pas de la transcription du livre mais vraiment d'une interprétation talentueuse d'un auteur talentueux.
Ce film m'a beaucoup bercée dans mon enfance et le revoir m'a procurée les mêmes sentiments. Alice a grandit et les enjeux de l'histoire aussi cependant on retourne en enfance en le voyant, je m'en lasse pas. L'univers est néanmoins plus sombre -signe d'un passage à l'age adulte- et cruel mais on y reconnait les personnages fidèles à leurs rôles respectif.
Le film est vraiment beau visuellement et fait rêver, les costumes sont magnifiques. Johnny Depp va parfaitement bien dans le rôle du chapelier fou et Helena Bohnam Carter dans celui de la reine de cœur. Néanmoins je n'ai pas grandi avec l'univers de Alice donc je sais qu'il ne me marquera pas, c'est dommage. Mais je recommande quand même car il fait rêver même les plus grands
Partir au pays des merveilles c'est se laisser aller par l'imaginaire, Tim Burton y arrive très bien! Je ne comprends pas pourquoi tant de critiques négatives, sans doute l'effet nocébo des "cultureux" de la pellicule: quand c'est Disney c'est nul, si c'est pas Disney on arrête de pavlover dans le mauvais sens.
Vraiment, comment ne pas se laisser embarquer par ... tout dans ce film! Et n'en déplaise aux pichnouillars anti disneyques, le génie de Tim Burton est bien là! Faut juste se laisser aller...
Vraiment, comment ne pas se laisser embarquer par ... tout dans ce film! Et n'en déplaise aux pichnouillars anti disneyques, le génie de Tim Burton est bien là! Faut juste se laisser aller...
Alice au pays des merveilles, c'est une aventure délirante sur les bords, psychédélique, décousue; en somme, sans réel objectif. Mais ça, c'était avant que Disney ne passe par-là en se disant qu'il y avait encore de la thune à se faire sur la licence. De la thune dépensée, il y en a assurément eu: ramener Tim Burton, Johnny Depp, inventer une script ridicule et blinder les SFX, ça a un prix. Alice au pays des merveilles a pris cher.
L'univers de Tim Burton apposé à celui d'Alice au pays des Merveilles nous offre des rendus tout de même satisfaisants. Les personnages et lieux ont subi un bon glow up par rapport à la version de 1951, pour plus de maturité et de noirceur. Côté intrigue aussi, on ne se repose pas sur ses lauriers en nous vomissant à la face une aventure épique atrocement nulle. On a au moins quelque chose à se mettre sous la dent pour faire passer le temps, car ce n'est pas l'intrigue qui va nous captiver ici.
Quitte à nous servir du girl power ridicule et invraisemblable pendant 1h40, autant innover un peu côté scénar' quoi. Bref, Alice arrive au Wonderland et la prophétie lui indique qu'elle doit tuer le dragon (non, ce n'est pas un rêve, l'histoire reprend les même codes que les récit moyenâgeux …). On dirait que le principe de base du conte n'a pas été compris. Aucun répit n'est laissé à Alice pour se questionner sur l'étrange univers dans lequel elle a atterri, ou l'explorer, comme dans l'œuvre originelle. Cerise sur le gâteau, la cérémonie du non-anniversaire a été tronquée. Ca n'a surement que peu d'intérêt, mais il s'agit d'une scène qui m'avait marquée dans mon enfance.
Reste les personnages. Constat inégal, parce que cette adaptation semble tout faire pour insupporter son spectateur. Reste alors la reine de cœur et le chapelier qui sont plutôt bien introduits et ont un minimum de consistance. Parce que, les autres… à part être de la bouille de pixels générée informatiquement… j'ai plus d'une fois eu envie de baffer Alice. Je ne me ferai pas plus de mal et n'évoquerai pas la reine blanche.
Cette nouvelle version d'Alice aura, au final, suscité en ma pauvre personne, principalement de l'ennui et de l'exaspération. Aussi paradoxal que cela puisse paraitre, j'attendais un travail plus feignant. Je voulais seulement assister aux mariage de l'univers de Tim Burton à celui de Lewis Caroll. Pas cette abomination qui dénature l'œuvre de base. Parce qu'apparemment le spectateur lambda a besoin de sa dose de panpan boum boum, ici de cape et d'épée donc, pour aimer un film. Et de musiques épiques, larmoyantes, de suspens, d'ambiance, pour tout et n'importe quoi, toutes les trois secondes. How to devenir fou.
L'univers de Tim Burton apposé à celui d'Alice au pays des Merveilles nous offre des rendus tout de même satisfaisants. Les personnages et lieux ont subi un bon glow up par rapport à la version de 1951, pour plus de maturité et de noirceur. Côté intrigue aussi, on ne se repose pas sur ses lauriers en nous vomissant à la face une aventure épique atrocement nulle. On a au moins quelque chose à se mettre sous la dent pour faire passer le temps, car ce n'est pas l'intrigue qui va nous captiver ici.
Quitte à nous servir du girl power ridicule et invraisemblable pendant 1h40, autant innover un peu côté scénar' quoi. Bref, Alice arrive au Wonderland et la prophétie lui indique qu'elle doit tuer le dragon (non, ce n'est pas un rêve, l'histoire reprend les même codes que les récit moyenâgeux …). On dirait que le principe de base du conte n'a pas été compris. Aucun répit n'est laissé à Alice pour se questionner sur l'étrange univers dans lequel elle a atterri, ou l'explorer, comme dans l'œuvre originelle. Cerise sur le gâteau, la cérémonie du non-anniversaire a été tronquée. Ca n'a surement que peu d'intérêt, mais il s'agit d'une scène qui m'avait marquée dans mon enfance.
Reste les personnages. Constat inégal, parce que cette adaptation semble tout faire pour insupporter son spectateur. Reste alors la reine de cœur et le chapelier qui sont plutôt bien introduits et ont un minimum de consistance. Parce que, les autres… à part être de la bouille de pixels générée informatiquement… j'ai plus d'une fois eu envie de baffer Alice. Je ne me ferai pas plus de mal et n'évoquerai pas la reine blanche.
Cette nouvelle version d'Alice aura, au final, suscité en ma pauvre personne, principalement de l'ennui et de l'exaspération. Aussi paradoxal que cela puisse paraitre, j'attendais un travail plus feignant. Je voulais seulement assister aux mariage de l'univers de Tim Burton à celui de Lewis Caroll. Pas cette abomination qui dénature l'œuvre de base. Parce qu'apparemment le spectateur lambda a besoin de sa dose de panpan boum boum, ici de cape et d'épée donc, pour aimer un film. Et de musiques épiques, larmoyantes, de suspens, d'ambiance, pour tout et n'importe quoi, toutes les trois secondes. How to devenir fou.
Pire remake fais par Tim Burton
elle s’appelle la reine de coeur pas la reine rouge dans le
le livre et le film de disney
elle s’appelle la reine de coeur pas la reine rouge dans le
le livre et le film de disney
Un film très bien que je recommande vivement de regarder.
Johnny Depp incarne très bien le chapelier fou ce personnage un peu excentrique et étrange.
A regarder en famille.
Johnny Depp incarne très bien le chapelier fou ce personnage un peu excentrique et étrange.
A regarder en famille.
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