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    Frankenweenie
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    Alain D.
    Alain D.

    595 abonnés 3 287 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 15 novembre 2019
    Produit en 2012 par Walt Disney Pictures, ce long-métrage en N&B fait suite au format court produit en 1984. Un très bon film d'Animation Co-scénarisé et superbement réalisé par Tim Burton. Le maître du genre fantastique nous offre avec Frankenweenie, une Comédie drôle et émouvante avec une belle BO et un très joli "happy end". Les séquences d'horreur (ajoutées pour le long-métrage) peuvent effectivement effrayer les plus jeunes. Sinon, cette fiction savoureusement naïve et tendre, nous conte une belle histoire. Si les marionnettes humaines sont suaves, celle du chien Sparky est réellement géniale.
    PowerKing - Les Chroniques du Cinéphile
    PowerKing - Les Chroniques du Cinéphile

    353 abonnés 1 372 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 6 février 2016
    Il n’y a que Tim Burton pour véhiculer de la magie et des émotions à travers un style gothique aussi prononcé. Les graphismes typiques d’une animation empreinte d’une profonde noirceur féérique. Et ces personnages filiformes, de physionomie angulaire, sont purement sa marque de fabrique. Des personnalités plus lunaires les unes que les autres. Mais qu’importe le degré de noirceur apporté à chacune de ses œuvres, et la finition scabreuse de son univers, une intelligence démoniaque en émane. Même si les personnages sont peu attachants par leur physique repoussant, la créativité et le dynamisme de l’ouvrage sont de vrais points forts. Le réalisateur développe son propre court métrage du même nom près de 30ans après sa sortie, et cela valait la peine d’attendre. Il troque donc la 2D pour le stop motion, et nous démontre une fois encore son indéniable talent d’esprit déjanté, à travers un noir et blanc macabre. Une atmosphère très fantaisiste et nuancée sur le ton des 60’s et les grands classiques de l’époque : Frankenstein, Dracula ou encore Godzilla. Adeptes de la résurrection, voilà un film stylisé à la perfection par la singularité de son créateur. Un appel à la tolérance envers les marginaux et les parias de ce monde. A prendre ou à laisser selon les goûts. 3,5/5
    RealPrime
    RealPrime

    86 abonnés 1 754 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 12 janvier 2023
    Tim Burton, le maître absolu du gothisme burlesque et du sombre "grand public" en premier partenariat avec le studio aux grandes oreilles pour servir sur un plateau bien argenté, un premier récit d'animation en "Stop Motion" ou le noir et blanc d'un esthétisme bluffant sert une très noble cause qu'est celle de ressusciter un être chère au cœur d'un jeune garçon déjà bien seul dans sa jeune vie. L'animal de compagnie que fut Sparky est ici de retour au sein d'une famille qui n'aura point inventée son nom, mais qui en fut presque prédestinée, Frankenstein. Un scénario astucieux qui mêle donc la science de la résurrection aux rapports compliquer qu'un jeune ado peut avoir avec ses camarades et ses parents, même si dans le cas présent il est tout à fait sincère. Burton signe donc là un scénario d'animation rendant un vibrant hommage au cinéma d'horreur et fantastique d'un âge d'or Hollywoodien révolu mais qui aura en son temps, donné naissance à un genre toujours actuel et en perpétuelle évolution scénaristique et technique. spoiler: Hommage majoritaire à la créature du Dr Frankenstein dans nombre de scènes et de plans éponymes qui, en mode animés, qui plus est Stop Motion, donnent encore plus de résonnance comme un volontaire souhait de pousser encore plus l'hommage. Comme si les "ralentis" créer par cette direction étaient eux-mêmes références aux premiers films du même noir et blanc. Le final en catastrophe quasi prévisibles est lui aussi une nouvelle morale d'une partie de la population voulant toujours poussée par elle-même les limites, faire par soi-même, sans même se posé les questions adéquat sur sa capacité à faire, penser aux possibles voir assurées mauvaises conséquences.
    Actions et bande-son canon pour accompagnée cette petite apocalypse. Disney et Burton, un duo artistique que l'on aurait possiblement pas attendu ou penser mais qui se sera avérer efficace. Après, on n'aime ou on n'aime pas le style bien spécifique.
    anonyme
    Un visiteur
    5,0
    Publiée le 30 décembre 2012
    Beaucoup de réalisateurs, comme Spielberg, ont à un moment ou un autre livré une oeuvre en deça des attentes. Malheureusement concernant Burton, les spectateurs se montrent intransigeant et fustigent le cinéaste sous pretexte qu'il ne serait plus que l'ombre de lui-même. Pourtant, hormis le temps de "la planéte des singes" qui s'avérait beaucoup moins personnel que ses oeuvres d'antan, le metteur en scéne ne s'est jamais détourné de ce qui fait de lui un génie. S'il a parfois manqué d'imagination ou de créativité, Tim ne fait jamais comme les autres. Et avec "Frankenweenie", il effectue non pas un hommage à ses références, ni même un quelconque plagiat de sa filmographie. Non, il fait une démonstration. Une démonstration de force. Personnel, sincére, émouvant, drôle, satyrique, ce bijou cinématographique se démarque par sa spontanéité, son honnêteté et sa simplicité. Si dans la forme, on ne pas noter de moyens particuliérement colossaux, il en est tout autre dans le fond. Car la structure scénaristique ne se résume pas qu'à une simple réincarnation. Il s'agit d'une déclaration. Une déclaration d'amour pour le cinéma. Avec cette oeuvre où les clins d'oeil s'éclipsent aussi vite qu'ils apparaissent, Burton propose sa vision, intense et rythmée, de la relation qui unit un jeune homme et son chien. Une relation qui bouleverse et captive, qui ne laissera personne indifférent, surtout si l'on est soi-même affecté par la perte de son animal de compagnie, récente ou lointaine. C'est un message, fort et poignant, que cet illustre cinéaste tente avec conviction de faire passer dans chacun de ses plans. Techniquement, les coloris sont magnifiques, l'animation excellente. Musicalement, Danny Elfman compose une bande originale sublime, envoutante, émouvante, discréte et associe chacune de ses notes aux images qu'il amplifie pour le plus grand bonheur de notre coeur palpitant. Tim Burton ne renait pas. Il est bel et bien vivant, bel et bien investi, bel et bien le plus étourdi et inventif homme de notre ére cinématographique. Quant aux doublages (vu en version originale), chaque acteur y donne de son âme pour impliquer le spectateur dans cette fabuleuse histoire. Un chef d'oeuvre instantanné.
    Kevin dioles
    Kevin dioles

    47 abonnés 684 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 19 décembre 2021
    FRANKENWEENIE (2012): Frankenstein à la sauce Tim Burton. Une relecture du mythe dont le personnage principal Victor Frankenstein sera un petit garçon très proche de son toutou Sparky. Mais ce Waouh-waouh ne sera pas immortel. Encore une fois Tim reviendra à la stop-motion pour un long-métrage d'animation en noir et blanc, une ambiance gothique fantastique remplie d'idées délirantes, comme ce minet, monsieur Moustache, qui prédira l'avenir d'une façon très odorante, un laboratoire scientifique fait de bric et de broc, Sparky et ses problèmes physiques, et bien d'autres choses. Les grands fans de Tim Burton (j'en fais partie) seront enchantés de retrouver toutes ces figurines au style mauvaise mine (grand yeux cernés, petite bouche, nez pointu, visage blafard…). Tim, dès la première minute nous montrera grossièrement la signification de la stop-motion avec ce petit film de jouets qui parfois sera réalisé image par image par notre apprenti cinéaste Victor. Une séquence qui éveillera en moi cette question: Victor n'est-il pas Tim Burton petit garçon? Ce metteur en scène n'hésitera pas à rendre hommage à de nombreux films, un Cerf-volant (Batman), un parapluie volant (Mary Poppins), une tortue géante dévastatrice (Godzilla), des batraciens monstrueux (Gremlins)… Je conseille vivement cette jolie poésie macabre au très jeune public afin de lui faire comprendre sans le traumatiser la signification "film d'horreur". Inventif, marrant, voici encore une fois une belle petite merveille signée Tim Buton.
    TUTUR29
    TUTUR29

    33 abonnés 1 121 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 1 juillet 2022
    Très bon film de la part de Tim Burton! L'animation y est très originale et réussie, et la direction artistique franchement glauque offre une nouvelle fois une originalité à ce film d'animation, qui paraît bien moins enfantin que bons nombres d'autres Disney. C'est en partie dû aussi au non tabou qu'il y a autour de la mort dans ce film, c'en est presque effrayant à quel point ils n'ont pas peur d'évoquer et montrer la mort dans Frankenweenie. Bref, un très bon film, je recommande !
    Nicothrash
    Nicothrash

    374 abonnés 3 034 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 30 octobre 2023
    Tim Burton revient à ses premières amours et se fait plaisir dans un film d'animation à la technique maitrisée et irréprochable, l'histoire est clairement très simpliste mais on retrouve avec plaisir cet univers dont lui seul a le secret, glauque et poétique à la fois. Le film, pas forcément destiné aux enfants, traine un peu en longueur et n'est pas plus palpitant que ça mais se trouve être bourré de références et de bonnes idées, de plus la dernière partie se montre bien plus intéressante. Un joli dessin animé au final, visuellement et dans le texte, mais pas un chef d'oeuvre, du Burton traditionnel en somme, ni plus ni moins. A noter, une 3D à nouveau inutile.
    Cinememories
    Cinememories

    484 abonnés 1 466 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 8 novembre 2012
    Retour magistral, cette année encore avec Tim Burton, qui ne s'est pas donné peine à réécrire un nouveau scénario, mais une réadaptation du premier ordre dans le monde fantastique de Disney ! Un recul essentiel, car l'approche s'y trouve différente qu'autrefois. En effet, ce Frankenweenie semble bel et bien être la signature final de Burton. Après ses nombreux succès, que je rappelle avec joie : Les Noces Funèbres et L'Etrange Noël de M. Jack, on retrouve cette fois-ci nos héros dans une aventure des plus émouvantes. Il n'y a pas linéarité dans ce concept, les choses acquièrent d'eaux-même une vie propre. La complicité adolescente que nous conservons en mémoire, est ici maître de nos émotions, tout à fait le genre de Disney, mais cela ne suffirait point à verser des larmes pour autant... C'est pourquoi Burton agit avec soin son adaptation, lui permettant de compléter l'image du film qu'il voulait réaliser. Je cite l'idée qu'il appuie avec fermeté : "Les adultes oublient que les enfants sont des créatures intelligentes." Deux points de vues sont envisageables, d'un côté comme de l'autre. Entre les deux, la maîtrise de cette intelligence, n'est autre que ce que Burton s'efforce d'obtenir. C'est un mélange propre et efficace, qui regroupe tous les coeurs à se joindre à la scène mémorable de cette interprétation. De plus, un détail qui n'échappe pas aux yeux de tous, l'univers reconstitué de Burton... Toujours aussi sombre, sinistre, mais tout de même accueillant ! Ce qui est étonnant d'un film se classant dans les Disney ! Mais sa place lui convient parfaitement. Toute la passion de Disney et l'univers de Burton réunis, forment une surprise qu'aucun d'entre nous ne peut ressentir avant d'y avoir goûté, et regoûté !
    tristan stelitano
    tristan stelitano

    61 abonnés 1 126 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 12 novembre 2013
    Le 31 octobre de l'an dernier , Tim Burton à signé ce superbe film d'animation tourné en noir et blanc. Un nouveau chef-d’œuvre pour lequel le réalisateur renoue avec brio son univers fantastiquement gothique et macabre. En plus de bénéficié d'une belle 3D , on se laisse entrainé par cette histoire touchante et sentimentale qui n'est pas uniquement réservé que pour un très jeune public. Le mythe Burton renaît grâce à ce petit bijoux en relief , qui en plus d’être une relecture sur la tradition des monstres au cinéma , un magnifique conte irrésistiblement envoutant.
    Black-Night
    Black-Night

    187 abonnés 421 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 10 novembre 2012
    J'ai envie de dire nouveau Tim Burton et nouvelle réussite une fois de plus.
    J'ai vraiment adoré le film, il joue d'ailleurs la carte de l'émotion et reprend exactement la trame du court métrage du même nom datant de 1984. Le court métrage était déjà très bon et Burton en a fait un long métrage en stop motion pour notre plus grand plaisir.
    L'ambiance y est vraiment bien représenté avec ce film tourné en noir et blanc qui donne un côté sombre au film que j'ai beaucoup apprécié.
    Le film s'enchaîne de clins d’œil de films tel Godzilla...
    Le gros point fort du film est pour moi la bande son qui est excellente et qui est toujours signée Danny Elfman. Et pour moi c'est clairement l'une de ses meilleurs bande son qu'il est faite.
    Mon 4ème coup de cœur de cette année après Dark Shadows, L'Age De Glace 4 et The Dark Knight Rises.
    Je lui mets 9/10 !!
    CH1218
    CH1218

    204 abonnés 2 895 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 9 janvier 2015
    Optant pour une animation en stop-motion et en noir et blanc,Tim Burton adapte, 25 ans plus tard, l’un de ses propres courts-métrages. Toujours aussi fidèle à son univers si caractéristique, lorgnant évidemment du côté du mythe de Frankenstein, le génial réalisateur insuffle à « Frankenweenie » un lyrisme savoureusement macabre, faisant de sa nouvelle monture une plaisante réussite gothique, à la fois sombre, drôle et touchante.
    Fêtons le cinéma
    Fêtons le cinéma

    695 abonnés 3 021 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 22 juin 2019
    Parce qu’il dispense une grande tendresse à l’égard de son personnage principal et de la relation entretenue avec Sparky, Tim Burton ressuscite sa poésie macabre à grand renfort d’une animation traditionnelle tout à fait remarquable : le choix du noir et blanc coïncide avec l’ambition d’inscrire son film dans la filiation des œuvres de la Hammer et des séries B horrifiques qui peuplèrent jadis l’enfance du cinéaste. Et de l’enfance, Burton propose une lecture assez subtile : temps où rien n’est impossible, temps de l’émerveillement et de la découverte de soi, l’enfance s’érige en laboratoire dans lequel s’expérimentent toutes sortes de remèdes au désarroi ambiant. La petite ville adoptée en guise de cadre regorge de ce mal-être que Burton associe au monde adulte : à l’instar de la chanson déclamée lors de l’anniversaire de sa fondation, New Holland porte curieusement dans son nom l’idée de renaissance, de restauration d’une rigueur qui semble hanter la vie quotidienne à la manière d’un spectre indéfinissable. Les rues sont propres, les maisons identiques – on retrouve ce climat embourgeoisé et oppressant cher à Edward aux mains d’argent –, les passants rares. La cellule familiale ne renvoie, de prime abord, qu’une collection de rôles à jouer, et la télévision, support que tente d’investir le jeune garçon en y diffusant ses créations, aveugle des parents lassés de leur routine. Dans cette même télévision, d’ailleurs, court Sparky sur un tapis roulant derrière lequel défile un paysage fait de papier : le bricolage cède peu à peu le pas à la technique, à mesure que Victor se perfectionne, repousse les limites du réalisable, transgresse les lois de la physique et de la morale. Ce faisant, il reproduit l’entreprise burtonienne dont l’objectif est de galvaniser l’imagination adolescente – rappelons que Frankenweenie est, à l’origine, un court-métrage de 1984 – avec plus de moyens. Car l’entièreté du film est animée par un courant salvateur, une électricité qui vient vivifier ce qui paraissait mort. Et pourtant, on ne peut s’empêcher d’éprouver une légère frustration : on ne sait pas vraiment si le Sparky que nous avons sous les yeux est le chien enfermé dans la télévision ou, au contraire, le chien ressuscité. Car tout fonctionne sous cloche, dans une trajectoire scénaristique qui refuse la moindre sinuosité. Le happy end confirme la mainmise de Disney sur la création de Burton, quoique cette scène émeuve profondément. Le souci de Frankenweenie, c’est qu’il transforme les marginaux en attractions d’un parc à thèmes, comme si le cinéaste reniait en partie ses premières inspirations pour plaider la cause de la souris milliardaire. Quand on regarde Frankenweenie, on se dit qu’un artiste qui éprouve un tel besoin d’électriser son imagination risque, dans les films à venir, de court-circuiter son génie, de tomber dans la parodie de soi-même. Demeure pourtant une mécanique très bien huilée où l’émotion atteint des sommets à faire frissonner un cadavre, notamment aidée par la partition de Danny Elfman, tout bonnement admirable.
    blacktide
    blacktide

    59 abonnés 795 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 18 novembre 2012
    Après Dark Shadows, Tim Burton fait un petit flash-back et retourne à ses débuts avec ses courts métrages plus particulièrement Frankenweenie. Ce petit court métrage de 30 min était assez réussi et environ 30 ans après il décide d'en faire un film d'animation. Pour pouvoir réaliser ce projet il décide de réunir (pour les voix) Winona Rider (Beetlejuice) et Martin Landau (Ed Wood), deux acteurs ayant déjà collaboré avec lui. Pour ce qui est de l'animation, il garde son style c'est à dire comme "les noces funèbres" et comme le court métrage était en noir et blanc, il garde le noir et blanc. Charlie Tahan prête sa voix au jeune Victor, un garçon qui perd son chien (mais surtout son meilleur ami) du nom de Sparky et il décide alors de le ramener à la vie grâce à la foudre. On ressent la douleur de Victor quand il perd son chien et c'est très émouvant et en plus la musique composée par Dany Elfman rend quelques passages encore plus émouvant. Rien qu'en voyant l'affiche, on se dit que ça ne peut être que du Tim Burton rien qu'en voyant les décors, la forme des personnages, les couleurs... Les 20 premières minutes sont semblables au court métrage tout comme la fin mais pour pouvoir faire durer le film 1h27, Burton a rajouter une partie avec des monstres étranges tout droit sortis de son imagination comme le rat qui ressemble à un loup ou encore la tortue géante. Les personnages sont tous très différent et ont chacun leur personnalité. Ce film montre également que les gens ont peur de l'inconnu, de ce qui ne connaisse pas et ils portent souvent un mauvais jugement sur la chose tandis qu'elle ne fera rien de mal la preuve avec Sparky. Si vous allez voir ce film en 3D vous serez un petit peu déçu car elle n'est pas très utile. Et pendant que j'y suis regardez peut être le court métrage après avoir visionner ce film sinon vous trouverez le film prévisible. Ce film comporte aussi quelques passages parsemés d'humour noir enfin pour résumer ce film est a voir absolument que vous soyez fan de Tim Burton ou non. Génial!
     Kurosawa
    Kurosawa

    588 abonnés 1 509 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 30 octobre 2013
    Tim Burton est en forme avec cette référence directe à "Frankenstein", traitée dans un univers gothique désormais bien connu. Cette musique, étrange et fascinante, tout comme ces personnages au physique et à la voix singuliers réjouissent autant qu'ils inquiètent. Aussi, l'histoire est bien menée, même si on finit par ressentir un sentiment de déjà vu, ce qui devient la limite du film. Globalement un très bon moment de cinéma, avec une animation maitrisée.
    Kana57
    Kana57

    41 abonnés 941 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 16 mars 2013
    Woooooowww quel claque et quel rendu esthétique Noir et blanc et de l'animation !! Magnifique
    C'est Bourré de ces propres Reference Ciné et d autre tel un Godzilla de 1954 et meme de la famille adams avec ce gamin bossu qui ma beaucoup fait penser a l'oncle Fétide
    Magique,envoutant,poetique,ensorcelant,fascinant,Bref j'applaudie des 2 mains et des 2 pieds^^
    Burton ce type est un Genie un vrai chef d'oeuvre Bravo
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