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Un visiteur
4,0
Publiée le 28 février 2011
Jesse Eisenberg avait dévoilé son talent à travers le film " The social network". Il le prouve une fois de plus avec " Jewish Connection " un film inspiré de faits réels. A la fin des années 90 , un trafic important de pilules d'ecstasy va s'effectuer entre Amsterdam et New York. Ce trafic sera entretenu par des juifs orthodoxes et parmi eux Sam Gold. Le jeune homme va se retrouver dans une spirale infernale coincé entre sa famille , la religion et le trafic de drogue. Il va crée inconsciemment une double personnalité. Jesse Eisenberg est touchant dans son rôle , il se lance dans le trafic les yeux bandés , inconscient et un peu trop sûr de lui. Il va se lier d'amitié avec les trafiquants et tomber amoureux de l'argent facile entretenu par les trafiques de drogues. Des reconstitutions de faits très bien retranscrits grâce en partie à un jeu d'acteur excellent.
Un film sans âme, avec des dialogues non percutants et un manque d'intensité vraiment troublant. De plus la relation entre les personnages est vraiment baclée et le réalisateur semble ne plus savoir coment en finir.
En voila un film indépendant qui fait plaisir à voir ! Tous les ingrédients de ce type de cinéma sont présents, à savoir des personnages finement écrits, auxquels on s'accroche dès les premières minutes, une réalisation qui sait s'effacer pour laisser les comédiens s'exprimer et des dialogues qui sonnent justes ! De plus, l'histoire de base est assez atypique, et se trouve être inspirée de faits réels ! Jesse Eisenberg confirme les grands espoirs placés en lui dans le fabuleux "The social network", et a des chances de devenir un acteur important dans les années à venir ! Dommage que le récit manque parfois d'intensité dramatique et fasse parfois du sur place, car on manque de peu le grand film ! Mais il n'est pas difficile d'oublier ces quelques menus défauts devant la grande qualité du résultat final ! Prenant et parfois drôle, il mérite de trouver son public !
Après avoir joué le créateur de Facebook, Jesse Eisenberg incarne ici un autre business man, avec tout autant de facettes obscures mais une activité moins glorieuse... L'intrigue est séduisante mais la narration manque un peu de souffle vers le milieu du film.
L'intérêt de ce film réside essentiellement sur le fait qu'il s'agisse d'une histoire vraie et que cela s'est passé dans la communauté traditionnelle des hassidiques, des juifs orthodoxes fervents et traditionnels. Si le pourquoi du comment un jeune juif destiné à devenir rabbin tombe dans un énorme trafic de drogue entre Amsterdam et New York est plutôt bien amené, le film reste assez classique dans la démonstration et ne révolutionne pas vraiment le genre. On appréciera cependant le contraste entre les passages sur les pratiques juives et les fiestas dans les boîtes de nuit européennes. Jesse Eisenberg (Bienvenue à Zombieland, The Social Network) offre également une bonne prestation globale. Mais ça s'arrêtera là pour ma part....
l"Holy Rollers" (Jewish connection en français) est le premier long métrage de Kevin Asch. Sam Gold, 20 ans, est juif issu d'une famille très pratiquante; il travaille pour son père qui vend du tissu et son avenir est tout tracé: il se mariera avec la femme qu'on aura choisi pour lui et sera rabbin. Mais il ne l'entend pas de cette oreille; ce qu'il veut c'est gagner de l'argent. Justement, son ami Yossef lui propose un boulot simple et bien payé: transporter des médicaments entre New-York et Amsterdam. Il accepte jusqu'à ce qu'il s'aperçoive que ces médicaments ne sont autre que des pilules d'ecstasy. Après une phase de questionnement, il va finir par prendre goût à cette nouvelle vie et entrer dans un engrenage dangereux...
En compétition, le film a déjà été présenté au dernier festival de Sundance. Asch, dont c'est le premier long métrage, s'est inspiré ici de faits réels. Il livre à mon goût le film le plus intéressant et le plus abouti de ceux que j'ai pu voir durant ce festival de Deauville. Il s'agit d'un film sur la foi mais sur fond de polar urbain dans un style qui m'a beaucoup fait penser à James Gray, ce qui n'est pas rien. Le scénario est très bien ficelé, très documenté et très bien écrit. Concernant l'interprétation, le rôle principal est incarné par le jeune Jesse Einsenberg dont on reparlera sûrement puisqu'il est le créateur de Facebook dans "the social network", le prochain David Fincher. Pour finir, le film est porté par une excellente bande originale. Magnifique film en salles le 23 février prochain.
C'est pas mal mais cela aurait pu etre beaucoup mieux ! L'histoire était vraiment trés interessante. Histoire : 4/5 Originalité : 3/5 Jeu d'acteur : 2.5/5 Bande son : 1.5/3 Realisation : 1/2 Total : 12/20 = 3/5
film qui ma bien plus , avec des acteurs qui m'ont bien plus , jesse eisenberg dans un role plus facile que dans social network mais pas non plus évident confirme . justin bartha crève l'écran , il ma vraiment plus dans se film . jewish connection n'est pas un très grand film mais est vraiment un bon ptit film très sympathique et assez intéressant
Il y a une histoire, qui se tient. Cet invraisemblable trafic aux proportions hallucinantes. Cet itinéraire que prend le personnage principal. Les questions qu’il se pose sans les formuler, par ses regards, ses hésitations, sont intéressantes. Le passage à l’âge adulte dans un environnement familial aussi protégé, avec un chemin aussi tracé, dans une telle ville, ne peut quand on y pense que provoquer potentiellement d’énormes catastrophes. On voit Sam Gold tanguer entre culpabilité, refus, insolence, peur, déni et insouciance, avec – étonnamment – beaucoup de sens pratique. C’est l’écartèlement entre tradition et vie facile, entre convenances et perte des repères, entre religion et absence totale de foi. J’ai cependant préféré à cet égard l’angle de Shahada, malgré ses aspects assez radicaux.
Les acteurs sont bons, Jesse Eisenberg en tête, Mark Ivanir aussi (que j’avais beaucoup aimé dans Le voyage du Directeur des Ressources Humaines).
La musique porte bien le film.
Je ne peux pas dire que j’affectionne le grain un peu flou et les trop grands flous en général et parfois pendant le film je me suis fait la réflexion, mais cela faisait partie d’un tout qui n’était pas dérangeant.
Mais voilà, tout cela étant dit, il manquait quelque chose au film, je ne suis pas sortie très emballée. Peut-être une fin moins brutale sans être pour autant différente? Je comprends les freins, la peur, le retour brusque en arrière, mais j’aurais aimé un peu plus d’explications, ou un peu plus de transition ?
Il semble qu'il y ait une obsession dans le cinéma d'auteur, peut-être par faute de moyen, va savoir? l'image est moche un peu comme si la technique n'avait pas évoluer depuis 100 ans...C'est sans doute pour donner plus de réalité au thème abordé...Parlons-en, le dealer...le mot est lâché. C'est obsessionnel et rabâché mais on continue à l'utiliser comme sujet de film. Bravo, c'était courageux!!! Économiser vos sous...
Le bio pic Jewish Connection nous embarque d’emblée dans l’atmosphère de la banlieue New yorkaise et de son microcosme Juif rarement exploré au cinéma. Un début certes séduisant, néanmoins affaibli par un scenario platonique et atténué par une faiblesse dramatique manquant cruellement de relief et d’audace. On serait même tenter de parler d’un documentaire sur l’émancipation d’un adolescent voulant fuir sa communauté pour un monde plus « séduisant ».
Voici un très bon film qui aurait mérite d'être plus médiatise. Une histoire vraie hallucinante... Des rabbins qui se transforment en dealers de drogue... En jouant les mules car ils sont au dessus de tout soupçon. Servi par des acteurs au top, le film se regarde avec plaisir. Réussi !