AlloCiné
Mon compte
Note moyenne
1,9
2010 notes
En savoir plus sur les notes spectateurs d'AlloCiné
Votre avis sur Poltergeist ?
5
6 critiques
4
22 critiques
3
47 critiques
2
79 critiques
1
44 critiques
0
37 critiques
Trier par :
Filtrer par :
Toutes les notes
Pas effrayant, on se retrouve devant un remake très mollasson qui est hyper prévisible et ennuyant. Pour un excellent film d'épouvante, allez voir It Follows.
iceman7582
Quel dommage, la première partie du film est vraiment très bonne ! La tension monte petit à petit, les scènes de "flippe" s'enchaîne bien et on se dit qu'on va pas dormir de la nuit... Et puis c'est le drame ! Le film prend un tournant radical et sa tourne au grand guignol sur la fin... Évidemment, ce reboot n'arrive pas à la cheville de l'original que je conseil à tout ceux qui ne l'aurait pas vu. Au final, on tient un film presque bâclé qui aurait pu être vraiment pas mal...
Remake d'un des plus grands films d'épouvante, ce Poltergeist version 2015 ne tient malheureusement pas toutes ses promesses... Les moyens sont là, avec des effets spéciaux aboutis et des acteurs convaincants mais l'épouvante est aux abonnés absents... La faute à une réalisation qui ne prend aucun risque et ne surprend à aucun moment. A vouloir trop surenchérir avec des effets visuels saisissants, le réalisateur en a oublié la véritable raison pour laquelle on veut voir ce genre de film : la peur!
Il y a des passages très flippant, mais au final le scénario laisse à désiré, ainsi que certaines scènes vraiment grossière et à la limite du ridicule. Il y a pourtant de l'idée.
Enfin ! Voilà un film d'épouvante qui peut se vanter d'être original ! Enfin... Il aurait pu se vanter de son originalité s'il n'était pas le pur copié/collé du chef d'oeuvre de Tobe Hoper, du même nom, datant de 1982. Le nouveau Poltergeist, remake totalement assumé par Gil Kenan s'est construit sur le scénario d'origine co-écrit par Steven Spielberg (qui avait également produit le film) et le moins que l'on puisse dire c'est que le résultat, s'il n'est pas catastrophique, n'a aucune utilité dans l'histoire du cinéma de genre.
Comme le projet originel, une famille emménage dans une jolie maison de banlieue américaine typique. Rapidement des esprits malins manifestent leur mécontentement et enlèvent la jeune Maddie. La famille décide de faire intervenir une équipe spécialisée en activités paranormales, leur seule chance de retrouver la petite fille. Il est difficile de croire que cette œuvre, aussi peu ambitieuse, ait été supervisée par l'un des plus grands créateurs du genre, Sam Raimi (Evil Dead 2, Jusqu'en Enfer) producteur, apparemment plus qu'investi sur le tournage. Peut-être, cela explique que le film ait été plutôt bien réalisé et rend, du coup, inexplicable qu'une équipe d'auteurs efficaces aient perdu leur temps sur un projet aussi futile que ce remake.
Alors, certes, on peut comprendre la démarche du cinéphile passionné voulant faire découvrir, dans un élan de modernisme, à des jeunes spectateurs qui sont allergiques aux effets vieillissants des années 80, l'un des grands chef d'oeuvre qui a renouvelé le concept de la maison hantée. Mais, au-delà de la simple copie dont l'efficacité est plus que limitée, la contrainte « hollywoodienne » de rendre l'oeuvre plus lisse que l'original enlève toute la crasse et la pesanteur qui caractérisait cette soigneuse saleté dont Tobe Hoper a toujours eu le secret. Donc, à part quelques épisodes de « jump scare » sans grande nouveauté et de moments où l'on aurait espéré que le réalisateur ose aller au bout, on reste, indubitablement, sur notre faim et les frayeurs restent de très courtes durées. De plus, pour celui qui connaît le film de 1982, chaque événement est attendu et aucune surprise n'est à imaginer.
Au final ce remake est construit comme toutes ces adaptations, sans saveur, que l'on peut voir aujourd'hui : on s'appuie sur un film qui a marché, il y a plusieurs décennies, on réitère exactement les mêmes événements, puis on le « rénove », faussement, en intégrant les nouvelles technologies et l'on donne la sensation aux profanes du genre qu'ils se trouvent devant une œuvre originale et moderne. On est, à présent, en droit de se demander si la multiplication de ces remake ne répondent pas à la demande d'un public totalement inculte, qui est incapable d'apprécier les œuvres de plus de dix ans d'ancienneté, en proclamant, haut et fort, dans ce langage si peu argumenté que « c'est nul, ça fait pas peur et c'est mal fait ». En tout cas le message de Gil Kenan ne fait aucun doute sur la question puisqu'il affirme avoir voulu laisser la magie théâtrale des monstres de Hoper, de côté, pour livrer une version plus proche de la réalité.
Heureusement, le film possède une qualité indéniable : l'envie de se replonger dans l'univers fascinant du Poltergeist de 1982, où la poésie de Spielberg, associée à la réalisation naturaliste de Tobe Hoper, nous plongent dans un cauchemar surréaliste, rythmé par les sons classiques et électroniques géniaux de Jerry Goldsmith !
Comme le projet originel, une famille emménage dans une jolie maison de banlieue américaine typique. Rapidement des esprits malins manifestent leur mécontentement et enlèvent la jeune Maddie. La famille décide de faire intervenir une équipe spécialisée en activités paranormales, leur seule chance de retrouver la petite fille. Il est difficile de croire que cette œuvre, aussi peu ambitieuse, ait été supervisée par l'un des plus grands créateurs du genre, Sam Raimi (Evil Dead 2, Jusqu'en Enfer) producteur, apparemment plus qu'investi sur le tournage. Peut-être, cela explique que le film ait été plutôt bien réalisé et rend, du coup, inexplicable qu'une équipe d'auteurs efficaces aient perdu leur temps sur un projet aussi futile que ce remake.
Alors, certes, on peut comprendre la démarche du cinéphile passionné voulant faire découvrir, dans un élan de modernisme, à des jeunes spectateurs qui sont allergiques aux effets vieillissants des années 80, l'un des grands chef d'oeuvre qui a renouvelé le concept de la maison hantée. Mais, au-delà de la simple copie dont l'efficacité est plus que limitée, la contrainte « hollywoodienne » de rendre l'oeuvre plus lisse que l'original enlève toute la crasse et la pesanteur qui caractérisait cette soigneuse saleté dont Tobe Hoper a toujours eu le secret. Donc, à part quelques épisodes de « jump scare » sans grande nouveauté et de moments où l'on aurait espéré que le réalisateur ose aller au bout, on reste, indubitablement, sur notre faim et les frayeurs restent de très courtes durées. De plus, pour celui qui connaît le film de 1982, chaque événement est attendu et aucune surprise n'est à imaginer.
Au final ce remake est construit comme toutes ces adaptations, sans saveur, que l'on peut voir aujourd'hui : on s'appuie sur un film qui a marché, il y a plusieurs décennies, on réitère exactement les mêmes événements, puis on le « rénove », faussement, en intégrant les nouvelles technologies et l'on donne la sensation aux profanes du genre qu'ils se trouvent devant une œuvre originale et moderne. On est, à présent, en droit de se demander si la multiplication de ces remake ne répondent pas à la demande d'un public totalement inculte, qui est incapable d'apprécier les œuvres de plus de dix ans d'ancienneté, en proclamant, haut et fort, dans ce langage si peu argumenté que « c'est nul, ça fait pas peur et c'est mal fait ». En tout cas le message de Gil Kenan ne fait aucun doute sur la question puisqu'il affirme avoir voulu laisser la magie théâtrale des monstres de Hoper, de côté, pour livrer une version plus proche de la réalité.
Heureusement, le film possède une qualité indéniable : l'envie de se replonger dans l'univers fascinant du Poltergeist de 1982, où la poésie de Spielberg, associée à la réalisation naturaliste de Tobe Hoper, nous plongent dans un cauchemar surréaliste, rythmé par les sons classiques et électroniques géniaux de Jerry Goldsmith !
Quand on est fan du premier poltergeist des années 80, on ne peut mettre qu'une mauvaise note à ce remake sans saveur et sans intérêt. Un copier-coller avec effets-spéciaux et acteurs en mousses version 2015. La petite fille des années 80 est devenue une tête de cochon. Grosse déception pour moi. ----Juillet 2016----
Roub E.
Un très mauvais remake permet parfois de de rejuger un film. C'est le cas avec Poltergeist, je ne trouve pas que le premier soit un très grand film de maison hantée mais ce remake est tellement loupé que je me dis que ce n'était pas si mal au final. Exit la culpabilité du père qui savait sur quoi était construit la maison, exit aussi la menace sur l'unité de la famille, celle ci n'est jamais crédible chacun semble vivre dans son coin et n'a aucun rapport avec l'autre et ils sont tous soit antipathiques soit agaçants. Le frisson n'est jamais la de ce point de vue c'est une catastrophe. On a juste un ou deux plan réussis comme celui du tunnel des morts qui pour le coup est un bon moment et la suppression du personnage de la médium qui était insupportable est aussi une bonne chose.
7eme critique
"Poltergeist" (2015) ou comment remettre au goût du jour des films qui n'ont pas vraiment d'utilité. Le projet original n'étant déjà pas une référence en soi, voilà qu'il revient sur le devant de la scène (bien qu'il restera croupi dans l'ombre, là où il méritera sa place) pour nous faire part de son remake. Ce projet foireux n'avait pas besoin de revoir la lumière du jour, le monde du cinéma paranormal ne s'en portait pas plus mal...
Faire un remake d'un film des années 80 incontournable est un pari osé voir risqué. Nous avons tous été marqué par les mésaventure de la petite Carolan happé par la télé du salon , aux prises d'esprits coincés sous la maison. Cette version 2015 a le mérite d’être assez fidèle à l'original, reprenant le plus souvent les phénomènes marquants du chef d’œuvre. L'histoire démarre assez vite, contrairement à certain film du genre, on plonge rapidement dans le bain.Évidemment , époque oblige, exit la grosse tv cathodique, place aux écrans plats et autres tablette, smartphones , ça gâche un peu (nostalgie quand tu nous tiens). Les différents personnages sont corrects sans plus, ils ne surjouent pas, bien au contraire, je reprocherai le manque d'émotions ressenties à l’écran face à la pseudo détresse de la mère, rien à voir avec la maman de Carolan qui vous déchirait le cœur ! A vrai dire , j'aurai choisi d'autres acteurs pour interpréter cette famille ...
Mon avis en quelques mots:
Un remake qui donne surtout envie de revoir l'original.
Trop concentré à faire du sensationnel et à en mettre plein la vue, Poltergeist 2015 en oublie de donner un cadre et une ambiance angoissante à son intrigue, déjà connue qui plus est. Le tout perdant en plus en charme et en charisme, l'ennui n'est finalement pas si loin. Il aura au moins un mérite: celui de donner envie de revisionner le Poltergeist 1982, bien meilleur en tout point.
Un remake qui donne surtout envie de revoir l'original.
Trop concentré à faire du sensationnel et à en mettre plein la vue, Poltergeist 2015 en oublie de donner un cadre et une ambiance angoissante à son intrigue, déjà connue qui plus est. Le tout perdant en plus en charme et en charisme, l'ennui n'est finalement pas si loin. Il aura au moins un mérite: celui de donner envie de revisionner le Poltergeist 1982, bien meilleur en tout point.
Cinéphiles 44
Les américains ont la fâcheuse tendance à refaire tous les films qui ont marqués l’Histoire du Cinéma. Ce n’est une surprise pour personne, mais qu’ont-ils en tête ? Créer un succès commercial en se basant sur un nom qui ne se présente plus ou pensent-ils réellement faire mieux ? Ce remake n’a de Poltergeist que son nom et son bref résumé. Une famille emménage dans une maison hantée par des fantômes. Mais alors que l’original reposait vraiment sur la peur et l’horreur des objets du quotidien, cette version 2015 plante directement son décor dans un univers complètement aseptisés d’angoisse. Ainsi les procédés du genre surgissent de nulle part sans explications et n’incitent pas à l’adhésion du film. De plus, Heather O’Rourke qui interprétait la petite fille avait vraiment une prestance inégalable. A l’heure des films d’horreur bidons qui sortent aujourd’hui, ce Poltergeist version 2015 garde malgré tout une qualité qui se suit. Mais le comparer à l’œuvre mère serait une aberration.
D'autres critiques sur ma page Facebook : Cinéphiles 44
D'autres critiques sur ma page Facebook : Cinéphiles 44
Malgré un début très prometteur via une esthétique appréciable, une mise en scène intrigante et inquiétante, des matérialisations démoniaques prenantes et une connotation du danger invisible très bien retranscrite ce remake gâche son potentiel par un final détestable. Surenchère qui fini dans le ridicule, la conclusion de Poltergeist déçoit en tout point de part sa narration idiote et ses situations complètement irréalistes. Le spectateur ni croit plus, les acteurs non plus, et le ressort horrifique tombe à l'eau.
https://m.facebook.com/La-7eme-critique-393816544123997/
https://m.facebook.com/La-7eme-critique-393816544123997/
Moins flippant et moins prenant que l'oeuvre d'origine, ce nouveau film essaye pourtant de suivre les mêmes lignes, avec pas mal de clins d'oeil au film de Tobe Hoopper, mais en vain, reste comme presque tous les films d'épouvantes de nos jours, un ( trop ) simple divertissement.
Napoléon
Un remake sans imagination qui ne fait que reprendre le film original. Les effets spéciaux sont ratés, les acteurs transparents et le film ne fait sursauter le spectateur qu'à de rares moments et de manière trop simple. Reste quelques très très rares touches d'humour, et l'idée du drone qui change quelque chose par rapport au premier mais bon...
Le cinéma d'horreur américain me laisse plutôt sur ma faim ces dernières années (à l'exception des films de James Wan comme Insidious ou Conjuring), et c'est avec un simple remake que j'ai pris plaisir à suivre une histoire de maison hantée: Poltergeist version 2015 est très bien fichu, agréablement modernisé, fait frissonner et nous maintient éveillé devant le grand écran jusqu'à son finish. Un film avec peu de surprises mais à la réalisation et à l'ambiance parfaites pour le genre.
- Meilleurs films
- Meilleurs films selon la presse