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Jamais vu un film aussi ridicule. Kassovitz confirme qu'il est un réalisateur minable, aucune originalité, aucune consistance, c'est de la soupe pour les gens qui n'ont jamais été au cinéma de leur vie. D'une incroyable fadeur, d'une totale bêtise, ce film est une honte (une de plus) qui tâche le cinéma français. Mention spéciale à la scène de fight totalement inutile et improvisée en plein milieu du film, d'un ridicule absolue, on dirait que le réa à 12 ans.
Un film qui prouve que nous les français on peut réaliser de bonne choses quand on le veux. J'ai vraiment pris plaisir à suivre l’enquête tout le long du film, grâce au scénario qui est bien prenant. Le jeu d'acteur est quand a lui aussi vraiment bon, notamment un duo Jean Reno et Vincent Cassel très efficace.
Le seul gros reproche que j'aurais à faire au film et pas des moindres, c'est le dénouement vraiment décevant et absolument pas à la hauteur de ce à quoi on aurait pu s'attendre, c'est dommage, la fin laisse une petite impression de gâchis.
Cependant, bon thriller français.
Le seul gros reproche que j'aurais à faire au film et pas des moindres, c'est le dénouement vraiment décevant et absolument pas à la hauteur de ce à quoi on aurait pu s'attendre, c'est dommage, la fin laisse une petite impression de gâchis.
Cependant, bon thriller français.
Julien D
Cinq ans après marqué les esprits avec La haine, Matthieu Kassovitz signe sa première grosse production en adaptant le best-seller de Jean-Christophe Grangé, autant dire qu’il était attendu au tournant. Flirtant avec la tendance, qui a caractérisé tout le cinéma de genre français après le succès surprise du Pacte des loups, consistant à attirer un public large en mêlant les genres, Les rivières pourpres réussit à créer une ambiance de film fantastique autour d’un polar pourtant des plus cartésiens (l’inspiration de Seven se fait également sentir) mais s’emmêle les pinceaux dans son fourre-tout dès lors qu’un gang de skinheads se révèlent être des adeptes de kung-fu. Les deux personnages très forts au cœur de cette enquête policière bénéficient de la prestance de Jean Reno et Vincent Cassel mais ne sont à aucun moment étudié de près et ne restent, jusqu’à la fin, que des carapaces vides. Restent les images et la musique, auxquels on ne peut reprocher que d’être plus travaillées que cette mise en scène sans coup de génie.
L'école du cinéma! A la fois thriller à l'américaine dans une région et avec des personnages bien français, mélange de trucs de cinéphiles dans une histoire extrêmement prenante et à l'ambiance merveilleusement construite. Musique sublime.
Seul point faible, le twist final mais il ne faut pas pour autant oublier le bonheur qu'on a durant 1h30.
Ca mériterait sans doute plutôt 4/5 mais c'est tellement rare en France comme film!
Seul point faible, le twist final mais il ne faut pas pour autant oublier le bonheur qu'on a durant 1h30.
Ca mériterait sans doute plutôt 4/5 mais c'est tellement rare en France comme film!
Après ses trois premiers films couronnés par la critique et auréolés de beaux succès commerciaux, il était évident que Mathieu Kassovitz se voit offrir une grosse production.
Les Rivières Pourpres est une adaptation du roman du même titre de Jean-Christophe Grangé, ce dernier cosignant le script avec Kassovitz avec des acteurs en vogue à l’époque comme Jean Reno ou Nadia Farès et des habitués du réalisateur de La Haine, Vincent Cassel et Karim Belkhadra. Tous ceux-ci sont particulièrement mauvais (sauf bien sûr le toujours impeccable Jean Reno, qui parvient à rester bon même dans les pires navets), pas aidés par une réalisation catastrophique dès que le film est un peu musclé. Les scènes d’action sont illisibles, à la limite du ridicule, là où les dialogues passent allègrement la limite. Par exemple, le flic joué par Vincent Cassel fume un joint qu’il passe à un collègue. S’ensuit une interminable discussion entre les flics présents pour savoir le pire entre l’alcool et le cannabis au bureau. Evidemment, Mathieu Kassovitz prend le parti pris du cannabis. En soi, c’est son choix. Le problème c’est que ce genre de dialogues ralentit considérablement le rythme du film, déjà pas bien élevé et n’a rien à y faire. Autre exemple, Vincent Cassel pète la tronche à trois skinheads avant d’apprendre qu’ils n’ont rien à voir avec l’affaire. Mais alors, pourquoi se sont-ils tapés dessus s’ils n’y sont pour rien ? ”Parce que tu nous as pas demandé” rétorque un skin. A ce niveau-là de nullité, il n’y a plus rien à faire. Surtout avec les rebondissements aussi attendus qu’idiots et ce dénouement catastrophiquement nul.
Vous l’aurez compris, il n’y a pas grand-chose à sauver dans cet abominable film policier qui rapporta pourtant énormément d’argent au box-office. Mathieu Kassovitz et Vincent Cassel n’ont pas participé à la suite.
Les Rivières Pourpres est une adaptation du roman du même titre de Jean-Christophe Grangé, ce dernier cosignant le script avec Kassovitz avec des acteurs en vogue à l’époque comme Jean Reno ou Nadia Farès et des habitués du réalisateur de La Haine, Vincent Cassel et Karim Belkhadra. Tous ceux-ci sont particulièrement mauvais (sauf bien sûr le toujours impeccable Jean Reno, qui parvient à rester bon même dans les pires navets), pas aidés par une réalisation catastrophique dès que le film est un peu musclé. Les scènes d’action sont illisibles, à la limite du ridicule, là où les dialogues passent allègrement la limite. Par exemple, le flic joué par Vincent Cassel fume un joint qu’il passe à un collègue. S’ensuit une interminable discussion entre les flics présents pour savoir le pire entre l’alcool et le cannabis au bureau. Evidemment, Mathieu Kassovitz prend le parti pris du cannabis. En soi, c’est son choix. Le problème c’est que ce genre de dialogues ralentit considérablement le rythme du film, déjà pas bien élevé et n’a rien à y faire. Autre exemple, Vincent Cassel pète la tronche à trois skinheads avant d’apprendre qu’ils n’ont rien à voir avec l’affaire. Mais alors, pourquoi se sont-ils tapés dessus s’ils n’y sont pour rien ? ”Parce que tu nous as pas demandé” rétorque un skin. A ce niveau-là de nullité, il n’y a plus rien à faire. Surtout avec les rebondissements aussi attendus qu’idiots et ce dénouement catastrophiquement nul.
Vous l’aurez compris, il n’y a pas grand-chose à sauver dans cet abominable film policier qui rapporta pourtant énormément d’argent au box-office. Mathieu Kassovitz et Vincent Cassel n’ont pas participé à la suite.
Voila ce que j'appelle du très bon Cinéma Français ! Ambiance glauque à souhait, histoire prenante et originale, décors magnifiques, suspense tenu jusqu'au bout et acteurs excellents !
Un film d'une noirceur incroyable à la réalisation parfaite doté d'une intrigue passionante j'ai lu le livre qui est quand meme au dessus c'est pourquoi je ne lui met pas 5 étoiles mais vraiment ce film est fidèle au roman d'origine : les rebondissements sont nombreux les personnages sont très bien retranscrit vraiment rien à dire Kassovitz est vraiment un grand réalisateur ! Pour ce qui est des acteurs rien à ajouter si ce n'est qu'ils sont vraiment excellent ( mention spéciale encore une fois à Jean Reno fidèle a lui meme )
Le bouquin était terrible !!!!!!!!! lamentable adaptation !!!!!!
Excellent polar français. Les acteurs sont géniaux et l'histoire est excellente. Il n'y a pas de temps mort et quelques bonnes scènes d'action. Ça fait plaisir des films français comme ça !!
Un excellent polar à la Française. L'histoire est excellente, le scénario est très bien ficelé et nous fait découvrir une enquête sans temps mort. L'histoire et l'ambiance sont très sombres et glauques. Concernant les acteurs, Jean Reno et Vincent Cassel, ils sont tous deux très bons. Pour la mise en scène, Matthieu Kassovitz signe là, l'un de ses meilleurs films (si ce n'est le meilleur...). Un très bon polar.
Excellent. Je ne m'attendais pas à un tel niveau ! Kassovitz nous livre ici un film policier français d'une qualité rare portant sur l'eugénisme, prenant jusqu'au bout, on sent que ce mec a eu envie de faire son boulot. Les plans sont millimétrés, le cadrage est toujours bon, la musique n'est pas très marquante mais colle bien à l'ambiance. L'ambiance justement est superbe, c'est ce qui fait le point fort du film. En plus de se passer dans un environnement magnifique que j'ai l'habitude de voir, ce qui pousse encore le réalisme plus loin.
Super histoire (je sais que c'est une adaptation d'un roman), supers acteurs parfaits pour le rôle, super images, la tension monte bien sans jumpscares, tout est prenant pour arriver jusqu’à la fin un peu ratée et un peu trop rapide, dommage car cela aurait été un film sans défauts.
Attention aux plus jeunes, images assez violentes.
Super histoire (je sais que c'est une adaptation d'un roman), supers acteurs parfaits pour le rôle, super images, la tension monte bien sans jumpscares, tout est prenant pour arriver jusqu’à la fin un peu ratée et un peu trop rapide, dommage car cela aurait été un film sans défauts.
Attention aux plus jeunes, images assez violentes.
Shephard69
Excellent polar français à l'intrigue sombre, soignée, basée sur le modèle américain. Bons personnages fins et ambigus même s'ils manquent de profondeur par rapport au roman de Grangé. Rythme soutenu, intense, peu de temps morts. Scène finale bâclée et décevante. Interprétations de Jean Reno et Vincent Cassel peu convaincantes. Distrayant.
Nicolas V
Une très bonne intrigue un scénario original un rythme qui n'a rien à envier aux Américains bref Mathieu Kassovitz signe son meilleur polar.
Les acteurs sont tous excellents et l intrigue,comme le suspense est au rendez-vous.
Les scènes d'action comme les scènes de réflexion se marient très bien ensemble et offrent un excellent film.
Les acteurs sont tous excellents et l intrigue,comme le suspense est au rendez-vous.
Les scènes d'action comme les scènes de réflexion se marient très bien ensemble et offrent un excellent film.
Une Belle Réussite. Aprés L'incontournable La Haine,Le Réalisateur Matthieu Kassovitz nous livre une Adaptation Glaçante et Tendue du roman de Jean Christophe Grangé qui vous prend littéralement jusqu'aux Tripes. Grace a une Réalisation mener de maître en n'ayant rien a envier aux productions américaines et qui dispose d'une BO envoûtante et frissonnante de Bruno Coulais qui correspond parfaitement a l'univers Ténébreux du long métrage. Ensuite l'Intrigue s’avère quand a elle Captivante et Brillante qui parvient rester amplement fidèle au bouquin malgré un dénouement final qui divise tout en regorgeant de Rebondissements incroyables,ajouter a cela un Suspense Oppressant qui est omniprésent mais aussi quelques Scenes d'Actions trés Intense et quelques Séquences particulièrement Déroutante et Sanglantes a déconseiller aux ames sensibles.Pour Finir Le Casting est impeccable avec notamment un duo d'acteurs épatants qui marche avec brio qui sont mener par Jean Reno et Vincent Cassel qui interprètent Deux Policiers trés différents qui se retrouve mêler a deux enquêtes parallèlement qui sont étroitement liée, face a eux le duo est épaulé par Nadia Fares qui incarne avec justesse une mystérieuse alpiniste sans oublier le reste des Seconds Roles qui est irréprochable tels que Didier Flamand,Jean Pierre Cassel,Dominique Sanda et Karim Belkhadra qui livrent une belle prestation d'acteurs a leurs rôles respectives.En Conclusion,Les Rivières Pourpres est un grand Polar Français en étant a la fois Angoissant,Viscéral et Palpitant qui entre au rang des meilleurs Thrillers Français des années 2000 et qui mérite amplement son statut de Film Culte.
En adaptant le roman de Jean-Chrisophe Grangé, Mathieu Kassovitz démontre avec brio que le polar français est loin d'être mort. Les ingrédients classiques sont réunis : un vieux flic fatigué face à un jeune loup qui veut en découdre, des meurtres étranges, un climat mystérieux... Il plane sur le film une atmosphère bien particulière, chère au roman de Grangé, que Kassovitz a su retranscrire à merveille grâce à de superbes décors et une musique qui prend aux tripes. Au sein de cette ambiance aussi glauque que fascinante, l'enquête dans laquelle le spectateur est plongée nous accroche pour ne plus nous lâcher même si on regrettera une fin un peu bâclée et décevante. Il faut dire que la barre avait été mise haute, entre profanation de sépulture, meurtres, mutilations, conspiration et expérience scientifiques, le tout filmé de manière virtuose par la caméra de Kassovitz dont on retiendra de nombreux et formidables travellings. Et puis, il faut avouer que la rencontre entre Jean Reno et Vincent Cassel fait des étincelles.
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