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Kassovitz a le sens de la mise en scène, on le sait depui ses débuts. Il s'en sert ici pour créer des atmosphères, silhouetter des personnages, produire des effets : bref jouer avec les règles du genre. Pourquoi pas ?
La critique complète est disponible sur le site Le Figaroscope
La beauté et la précision de la mise en scène de ce grand réalisateur et une partie centrale parfaite, donnent un aperçu de ce qu'aurait pu (dû ?) être Les rivières pourpres. C'est-à-dire un grand pas pour le cinéma de genre français qui semble décidément maudit.
La critique complète est disponible sur le site Urbuz
Du roman (...), le film a hérité un déséquilibre entre l'effet qu'il doit provoquer et ce qu'il recèle réellement, ainsi qu'un air un peu forcé, trop appliqué d'élève frenchy moyen qui lorgne sur son voisin américain.
(...) un film fort, aux décors écrasants et impressionnants (...) mais dont les brisures dans le rythme sont autant d'écueils qu'auraient dû éviter Kassovitz pour réussir totalement son pari d'adaptation du roman de Grangé...
La critique complète est disponible sur le site Cinopsis.com
Matthieu Kassovitz semble (...) donner des gages de professionnalisme à ceux qui avaient tiqué devant les expérimentations d'Assassin(s). Mais en même temps, il déçoit ceux qui attendaient de lui autre chose qu'un super polar du samedi soir (...)
La critique complète est disponible sur le site L'Humanité
Du bon travail, du thriller bien carré comme on aime. Bien sûr, on ne voit pas trop où il (Kassovitz) veut en venir, mais c'est la loi du genre et c'est souvent mieux comme ça. Sauf qu'on ne le saura jamais, où il veut en venir.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
La première moitié du récit est assez réussie (...). La suite est moins convaincante. Il est ainsi paradoxal que l'intrigue, pourtant simplifiée à l'extrême, ne soit pas de la plus grande clarté.
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
Tant qu'il n'est qu'un film d'atmosphères, le quatrième long métrage de Kassovitz impressionne (...). Pourquoi, alors, Les rivières pourpres finissent-elles par franchement décevoir ? Les protagonistes, (...) manquent singulièrement de profondeur (...)
La critique complète est disponible sur le site Positif
Kassovitz n'est vraiment pas passé loin. Il s'en faut d'une fin. Une fin qui gâche un peu tout. Auparavant, entre un jeu de pistes à la Se7en (...), on se croit longtemps parti pour un nouveau Silence des agneaux.
La critique complète est disponible sur le site Première
(...) l'homme Kassovitz est à son affaire et réussit son coup. C'est efficace, mais ça ne sert pas la narration et émiette même un scénario complexe qui se brise en coups de théâtre trop violemment amenés.
La critique complète est disponible sur le site Repérages
Un air glacé et impersonnel de déjà-vu plane en permanence. On a l'impression que Kassovitz n'est pas là, qu'il filme tout cela en ayant la tête ailleurs. Aux Etats-Unis ?
La critique complète est disponible sur le site Télérama
D'toute façon, le mieux, c'est les images : même quand t'es largué, t'en prends plein les yeux. Stylé jusqu'au bout, le film. Avec une musique bien bien flippante.
La critique complète est disponible sur le site Chronic'art.com
Enfant gâté, il (Kassovitz) pervertit la notion d'amusement. Il brise ses beaux jouets au détriment du plaisir que ses camarades de jeu, en l'occurrence les spectateurs, pourraient prendre.
La critique complète est disponible sur le site Fluctuat.net
Tout est souligné au marqueur, mais comme il n'y a rien d'intéressant à souligner, le clinquant du film ne sert qu'à révéler davantage à quel point il est laborieux et ennuyeux.
Ciné Live
Voir la critique sur www.cinelive.fr
Le Figaro
Voir la critique sur www.lefigaro.fr
Le Figaroscope
Kassovitz a le sens de la mise en scène, on le sait depui ses débuts. Il s'en sert ici pour créer des atmosphères, silhouetter des personnages, produire des effets : bref jouer avec les règles du genre. Pourquoi pas ?
Le Journal du Dimanche
Un cinéma français décomplexé et plutôt plaisant dès lors qu'il s'agit de penser à autre chose.
Le Point
Voir la critique sur www.lepoint.fr
Studio Magazine
Voir la critique sur www.studiomag.com
Urbuz
La beauté et la précision de la mise en scène de ce grand réalisateur et une partie centrale parfaite, donnent un aperçu de ce qu'aurait pu (dû ?) être Les rivières pourpres. C'est-à-dire un grand pas pour le cinéma de genre français qui semble décidément maudit.
Aden
(...) un film ambitieux, visuellement soigné, mais à la mise en scène trop attendue. Donc décevante.
Cahiers du Cinéma
Du roman (...), le film a hérité un déséquilibre entre l'effet qu'il doit provoquer et ce qu'il recèle réellement, ainsi qu'un air un peu forcé, trop appliqué d'élève frenchy moyen qui lorgne sur son voisin américain.
Cinopsis.com
(...) un film fort, aux décors écrasants et impressionnants (...) mais dont les brisures dans le rythme sont autant d'écueils qu'auraient dû éviter Kassovitz pour réussir totalement son pari d'adaptation du roman de Grangé...
L'Express
Voir la critique sur www.lexpress.fr
L'Humanité
Matthieu Kassovitz semble (...) donner des gages de professionnalisme à ceux qui avaient tiqué devant les expérimentations d'Assassin(s). Mais en même temps, il déçoit ceux qui attendaient de lui autre chose qu'un super polar du samedi soir (...)
L'Obs
Du bon travail, du thriller bien carré comme on aime. Bien sûr, on ne voit pas trop où il (Kassovitz) veut en venir, mais c'est la loi du genre et c'est souvent mieux comme ça. Sauf qu'on ne le saura jamais, où il veut en venir.
Le Figaro Magazine
Les extérieurs et décors intérieurs sont de toute beauté, la mise en scène rythmée et décalée de Mathieu Kassovitz accentue la sensation d'oppression.
Le Parisien
La première moitié du récit est assez réussie (...). La suite est moins convaincante. Il est ainsi paradoxal que l'intrigue, pourtant simplifiée à l'extrême, ne soit pas de la plus grande clarté.
Libération
(...) genre de tambouille disparate, entre efficacité hollywoodienne et bonne franquette hexagonale (...)
Positif
Tant qu'il n'est qu'un film d'atmosphères, le quatrième long métrage de Kassovitz impressionne (...). Pourquoi, alors, Les rivières pourpres finissent-elles par franchement décevoir ? Les protagonistes, (...) manquent singulièrement de profondeur (...)
Première
Kassovitz n'est vraiment pas passé loin. Il s'en faut d'une fin. Une fin qui gâche un peu tout. Auparavant, entre un jeu de pistes à la Se7en (...), on se croit longtemps parti pour un nouveau Silence des agneaux.
Repérages
(...) l'homme Kassovitz est à son affaire et réussit son coup. C'est efficace, mais ça ne sert pas la narration et émiette même un scénario complexe qui se brise en coups de théâtre trop violemment amenés.
Télérama
Un air glacé et impersonnel de déjà-vu plane en permanence. On a l'impression que Kassovitz n'est pas là, qu'il filme tout cela en ayant la tête ailleurs. Aux Etats-Unis ?
Chronic'art.com
D'toute façon, le mieux, c'est les images : même quand t'es largué, t'en prends plein les yeux. Stylé jusqu'au bout, le film. Avec une musique bien bien flippante.
Fluctuat.net
Enfant gâté, il (Kassovitz) pervertit la notion d'amusement. Il brise ses beaux jouets au détriment du plaisir que ses camarades de jeu, en l'occurrence les spectateurs, pourraient prendre.
Le Monde
(...) le grand Meccano d'un réalisateur qui a voulu sortir à tout prix les jouets de sa malle au risque d'en oublier son histoire.
Les Inrockuptibles
Tout est souligné au marqueur, mais comme il n'y a rien d'intéressant à souligner, le clinquant du film ne sert qu'à révéler davantage à quel point il est laborieux et ennuyeux.