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11 critiques presse
Cahiers du Cinéma
par Antoine de Baecque
Une puissante vision de l'histoire de son pays en forme de fable. Fête bouffonne et tragique, ce carnaval démystificateur est aussi un grand film politique.
L'Humanité
par Jean-Pierre Leonardini
Une vaste parabole picaresque enlevée par un conteur hors pair, doué d’une puissante verve poétique, dont les intentions lyriques sont magnifiquement épousées par l’écriture.
L'Obs
par A. R.
Une œuvre volcanique, inspirée, délirante (…) un des plus grands moments de mise en scène de l’Histoire.
Le Journal du Dimanche
par Danielle Attali
Magnifique, brûlant, grotesque comme un tableau de Jérôme Bosch, cauchemardesque comme "Guernica", drôle aussi comme la comédie humaine quand elle veut faire rire pour moins souffrir [...]. (22/10/1995)
Les Echos
par Annie Copperman
Une palme d’or incontestable : le film-fleuve et puissant d’Emir Kusturica. L’actualité est aux portes de Cannes, et ce film, extraordinairement inventif et… porteur d'espoir, sur la Yougoslavie, ne pouvait pas être à une autre place.
Les Fiches du Cinéma
par F.-X. B.
Jubilatoire, tragique, fulgurant, émouvant, baroque, dérangeant... "Underground" a épuisé tous les qualificatifs, tant est grande sa richesse formelle et évidentes l'exceptionnelle maîtrise technique et l'inventivité de son réalisateur.
Libération
par Olivier Séguret
Emir Kusturica reste sans égal dans la liberté et la solidité créatrice, le seul à savoir donner de si extraordinaires traductions cinématographiques aux visions dont son âme torturée n'a pas fini d'être hantée. (25/10/1995)
Positif
par Claire Vassé
Le film le plus ambitieux de son auteur, un film dont l’ampleur et la richesse ne peuvent que fasciner. Grand alchimiste du temps, Kusturica y raconte l’histoire de son peuple à sa manière, en visionnaire. (n°413-414, juillet 1995)
Le Figaro
par Claude Baignères
Le personnage est fabuleux d’amoralité épanouie, d’égoïsme ravageur et de puissance vitale. Il est interprété par Miki Manojlovic, qui électrise chaque minute du récit (…) quelle puissance, et quel tonnerre.
Le Monde
par Serge Regourd
Une œuvre qui touche la sensibilité, éveille l’esprit. Une invention esthétique de tous les instants, des images et des plans, dont on peut penser qu’ils resteront dans l'anthologie du cinéma, au même titre que celles et ceux de Fellini, dont Kusturica est désormais l’alter ego.
Télérama
par François Gorin
Underground est une explosion de trouvailles visuelles. C’est une métaphore sur le destin de la Yougoslavie et un pamphlet contre la propagande, la manipulation. Une parabole universelle portée par des personnages forts.
Cahiers du Cinéma
Une puissante vision de l'histoire de son pays en forme de fable. Fête bouffonne et tragique, ce carnaval démystificateur est aussi un grand film politique.
L'Humanité
Une vaste parabole picaresque enlevée par un conteur hors pair, doué d’une puissante verve poétique, dont les intentions lyriques sont magnifiquement épousées par l’écriture.
L'Obs
Une œuvre volcanique, inspirée, délirante (…) un des plus grands moments de mise en scène de l’Histoire.
Le Journal du Dimanche
Magnifique, brûlant, grotesque comme un tableau de Jérôme Bosch, cauchemardesque comme "Guernica", drôle aussi comme la comédie humaine quand elle veut faire rire pour moins souffrir [...]. (22/10/1995)
Les Echos
Une palme d’or incontestable : le film-fleuve et puissant d’Emir Kusturica. L’actualité est aux portes de Cannes, et ce film, extraordinairement inventif et… porteur d'espoir, sur la Yougoslavie, ne pouvait pas être à une autre place.
Les Fiches du Cinéma
Jubilatoire, tragique, fulgurant, émouvant, baroque, dérangeant... "Underground" a épuisé tous les qualificatifs, tant est grande sa richesse formelle et évidentes l'exceptionnelle maîtrise technique et l'inventivité de son réalisateur.
Libération
Emir Kusturica reste sans égal dans la liberté et la solidité créatrice, le seul à savoir donner de si extraordinaires traductions cinématographiques aux visions dont son âme torturée n'a pas fini d'être hantée. (25/10/1995)
Positif
Le film le plus ambitieux de son auteur, un film dont l’ampleur et la richesse ne peuvent que fasciner. Grand alchimiste du temps, Kusturica y raconte l’histoire de son peuple à sa manière, en visionnaire. (n°413-414, juillet 1995)
Le Figaro
Le personnage est fabuleux d’amoralité épanouie, d’égoïsme ravageur et de puissance vitale. Il est interprété par Miki Manojlovic, qui électrise chaque minute du récit (…) quelle puissance, et quel tonnerre.
Le Monde
Une œuvre qui touche la sensibilité, éveille l’esprit. Une invention esthétique de tous les instants, des images et des plans, dont on peut penser qu’ils resteront dans l'anthologie du cinéma, au même titre que celles et ceux de Fellini, dont Kusturica est désormais l’alter ego.
Télérama
Underground est une explosion de trouvailles visuelles. C’est une métaphore sur le destin de la Yougoslavie et un pamphlet contre la propagande, la manipulation. Une parabole universelle portée par des personnages forts.