Nul nul et renul, les gags sont lourds et il suffit pas de mettre des filles a seins nus toutes les 30 sec pour faire un bon american pie.Il n'y a aucun attachement aux personnages, la BO est nulle et le scénario encore plus.Bref restez sur les 3 premiers, les autres ne valent vraiment pas le coup
Grossière erreur que d’avoir renommé ce long-métrage "American Pie : No Limit !". No limit à la connerie du distributeur plutôt, qui, pour décider à l’achat les plus réticents leur fait miroiter une avalanche de cochonneries. La manœuvre bassement mercantile aura rendu mécontents les plus dupes, car "American Pie : Band Camp" ne possède pas la folie des épisodes centrés sur la bande de Jim (sans jeu de mots). Le titre original reflète quant à lui parfaitement l’aventure estivale proposée. La volonté d’imiter le démarrage de la franchise est perceptible, mais les scénaristes ne parviennent pas à en conserver le ton : le passage obligé par l’humour à base de sperme ou encore de vomi apparaît ici plus vulgaire que drôle, des gags sont repris et donc prévisibles, et pour mal faire c’est très rarement sexy (on est bien loin des scènes chaudes de la version longue d’ "American Pie 2" !). Le turbulent Matt Stifler est envoyé d’autorité en camp de musique par le nouveau conseiller d’orientation Sherman. A lui désormais de se débarrasser ou non du mauvais modèle pris sur son aîné, l’insupportable Steve. Deviendra t-il moins asocial et moins crétin au contact des étudiants d’East Great Falls motivés pour remporter la coupe ? Quand on voit qu’il s’y rend avec pour ambition de filmer en cachette les trucs coquins qui s’y déroulent, on constate l’étendue de la tâche. Tad Ingelbrink a visiblement beaucoup observé le travail de Seann William Scott car il s’en fait le clone. Le père de Jim (Eugene Levy) est devenu MACRO. Le retrouver donne un semblant de liant avec la trame originale et c’est par son intermédiaire qu’on a des nouvelles des jeunes mariés du 3. Comédie à prendre pour ce qu’elle est, à savoir un produit dérivé destiné à exploiter un filon, pas nul du tout mais insuffisant pour le cinéma. On passe un assez bon moment à condition de ne pas faire le difficile. Et puis la mignonne Arielle Kebbel (qui joue Elyse) justifie qu’on suive l’intrigue, aussi faible soit-elle ;-).
Qu'est ce que ça fait du bien de regarder une belle bouse de temps en temps. Les aventures de Stifler au camp d'été est un film tellement nul en terme de comédie et de fausse morale que cela est rare de voir des films aussi mauvais. Mais bon, ça se regarde le dimanche après midi quand on a rien d'autre à faire.
Surfant sur les cultes "3 premiers épisodes", ce quatrième sorti en DVD n'a presque rien à voir avec l'histoire originale. Ici, le frère de Stiffler reprend le flambeau dans un retour au lycée qui se veut comédie romantique et sexe. Le scénario un peu cul-cul ne décolle jamais vraiment et se fini comme toute comédie: "bien". Reste cependant quelques scènes bien ficelées qui dans l'esprit de la saga sont assez absurdes pour nous faire rire. Une suite trop jeune et trop sage: la barre était montée très haute! Mais l'entreprise n'est pas déplaisante et le tout se regarde bien. L'actrice principale est aussi très charmante!
il est temps d'arrêter cette série car les nouveaux opus sonttrés loin d'être aussi bon que les trois premiers.c'est vulgaire,exagéré comme jamais,les acteurs sont a chiés!! ou sont passé le vraix stifleur jim et pose caca..* bref mise a part voir de superbe file en maillot on ne rigole pas une seule seconde mais plutôt avont pitié qu'un tel navet est été pondu. a éviter
Dommage que les heros principaux de la saga soient abandonnés... cependant le nouveau stifler mérite bien son nom et garantit les fous-rires ! Un film digne des american pie !
Pas mal pour un américan pie, on regrette qu'il n'y ait plus les personnages des premiers american pie, mais on s'y fait, et même si c'est moins marrant, on rigole tout de même.
Dans le genre des comédies completement débiles ce film ne se hisse même pas à la moyenne. Une lourdeur dans les gags... Même pas drole pour la plupart.