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dougray
236 abonnés
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2,0
Publiée le 26 juillet 2010
Une nouvelle adaptation de jeu vidéo qui ne brille pas par sa subtilité mais qui assure le minimum syndical, à savoir divertir le spectateur à travers quelques scènes spectaculaires. Mark Wahlberg n’a rien à se reprocher dans ce rôle de flic guidé par la vengeance et l’intrigue, bien que très prévisible, se laisse gentiment suivre avec une exploitation assez réussie des hallucinations des personnages. A part ça, les 2nds rôles sont tenus par d’excellents acteurs qui n’ont malheureusement pas le temps de développer leur personnage (de la superbe Olga Kurylenko au revenant Chris O’Donnell en passant par Amaury Nolasco et Donald Logue… seul Beau Bridges à quelque chose à se mettre sous la dent) et la mise en scène est franchement prétentieuse avec des effets de style, façon "Matrix", qui font plus esbroufe qu’autre chose (John Moore est un habitué…). Pas un chef d'oeuvre mais pas déshonorant non plus !
Certains jeux vidéo au potentiel cinématographique nettement moins prononcé (au hasard, “Super Mario Bros”) ayant déjà eu droit au grand écran, il semblait très peu probable que lui aussi y échappe : Max Payne, flic tourmenté et violent, bien décidé à venger le meurtre de sa femme et de sa fille. Un événement qu’il est impossible d’ignorer, tant il nous est montré sous toutes les coutures via une dizaine de flashs-backs, dont l’intérêt décroît petit-à-petit, à l’image du reste du film. Parce que si prendre le soin d’installer une intrigue peut ressembler à une bonne idée, c’est toujours plus sympa quand le réalisateur possède un scénario un minimum consistant. Ce qui n’est absolument pas le cas ici, et rend la première heure d’autant plus ennuyeuse, en nous laissant tout le loisir de constater à quel point le casting entier ressemble à une grosse erreur, de Mark Wahlberg (aussi expressif qu’un flan dans le rôle titre) à Mila Kunis (“That 70’s show”), en passant par Amaury Nolasco (“Prison Break”) et le revenant Chris O’Donnell (aaah, “Batman & Robin”). Autre erreur : avoir confié la caméra à John Moore. Déjà à l’origine du calamiteux (mais néanmoins très drôle) “666, la malédiction”, le metteur en scène rate vraiment tout ce qu’il tente (à part, à la rigueur, un pauvre ralenti), y compris les scènes d’action, qui semblent dater du début des années 2000, époque à laquelle chacun essayait de copier “Matrix”. Du coup, forcément, “May Payne” donne l’impression d’ariver plusieurs années après la bataille. Et si le travail du directeur de la photo est à saluer (tout comme celui de la personne qui, au montage, s’est chargée d’aseptiser le film en ôtant toute trace de sang), le long métrage confirme un peu plus que les adaptations de jeux vidéo au cinéma tournent si souvent au navet que le genre en est devenu un véritable potager.
Bon, ne connaissant pas le jeu, je vais m'attardé uniquement sur le film et le résumé en un mot : CALAMITER !! L'histoire est invraissemblable, les personnage creux comme une feuille de cigarette, les fusillades mal orchestré et la réalisation à oublier. Bref un bon vieu navet qui aurait mieux fait d'aller direct en série Z.
Cette adaptation du célèbre jeu vidéo déçoit, d'abord parce qu'elle est inutile, le jeu originel étant déjà en soi très cinématographique dans sa forme, tout en faisant également appel au roman graphique. Ensuite, le choix de Mark Wahlberg n'est pas le plus pertinent: il ne ressemble pas au personnage et n'est pas toujours très crédible, son jeu manquant souvent de subtilité ou étant inexistant. On aurait plus vu un Jon Abrahams (The Faculty, Scary Movie 1) à contre-emploi ou un James Denton (Mike Delfino dans Desperate Housewives). De plus, le film n'a pas l'ambiance glauque du jeu et l'esthétique est trop forcé. John Moore tente parfois de rendre hommage au jeu vidéo mais cela ne fonctionne pas puisqu'ici, le spectateur n'a pas de contrôle sur Max Payne. La scène du saut au ralenti est ainsi trop longue et très ennuyeuse. L'intrigue est assez inintéressante en plus d'être prévisible, et les scènes avec les monstres sont ridicules. Niveau casting, ce n'est pas la panacée même s'il faut noter les performances convaincantes de Ludakris et Chris O'Donnell. Max Payne est donc une mauvaise adaptation doublée d'un film ennuyeux, et bien que la courte scène post-générique annonce une suite, l'échec du film peut faire douter de sa mise en chantier, et c'est plutôt tant mieux.
Une adaptation plutôt correct du jeu vidéo réalisé par John Moore. Un mélange entre Hitman et Sin City. Les décors comme la scène du métro et l'ambiance dans la neige colle bien avec l'univers du jeu, mais le problème du film c'est le scénario qui n'est pas terrible. Mark Walhlberg se débrouille bien dans le rôle de Max Payne et Mila Kunis joue bien le rôle de Mona Sax. Le reste du casting est sympa : Beau Bridges, Ludacris, Chris O’Donnell, Donal Logue, Amaury Nolasco, Olga Kurylenko et avec un caméo de James McCaffrey (l'acteur qui prête sa voix à Max Payne dans les jeux vidéos).
Je suis peut-être un peu sévère (la photographie me semble le seul bon souvenir) mais...j'ai pas du tout aimé ! Une histoire grave qui part en sucette complète...bon c'est issu d'un jeu vidéo d'après ce que je lis mais pffff, c'est chiant comme film ! Déçue et à oublier !
Quel mauvais film d'action !!! ce film m'a parut etre d'une extreme longueur et quel ennuis de le voir.Trop long,pas du tout interessant,l'action est mediocre. Je m'attendais a un bon film et c'est le contraire que j'ai vu. Mis a part 1 scène d'action que j'ai trouvé interessant (et encore se sont les effets speciaux de cette scène d'action que j'ai le plus aimé)dans tout le film le reste est a jeter. Le jeu des acteurs est très mauvais,c'est un film que je déconseille.
Adapté du jeu vidéo éponyme, Max Payne est typiquement le type de film qui fait peine à voir tant il n’y a rien de potable ici. L’histoire inintéressante à cause d’un scénario absent, ajoutez à cela le jeu des acteurs inconsistant (pour ne pas dire inexistant), dont un Mark Wahlberg qui à défaut d’être monolithique, pousse la grimace un peu trop loin face aux séduisantes Mila Kunis & Olga Kurylenko (vu récemment en James Bond Girl dans Quantum of Solace). Seule chose à retirer de ce film, le côté visuel qui séduit assez (chose assez logique face à un film plutôt plat et aux nombreux ralentis en mode "bullet-time"). Un film écervelé, inutile et grotesque, que l’on doit à John Moore, celui à qui on devait déjà la bousasse : 666 - La Malédiction (2006).
Les adaptations cinématographiques de jeux vidéos sont rarement satisfaisantes,mais celle-ci dépasse les bornes."Max Payne" se concentre sur les aventures pétaradantes d'un justicier vengeur,sans consistance,sans nuances,sans cervelle.Dans un New York dark fortement esthétisé,qui cherche à pomper les oeuvres de Frank Miller,ce film d'action se contente de dérouler des gunfights interminables,pompant allègrement le bullet-time popularisé par Matrix.Les personnages sont ectoplasmiques,et tous les acteurs jouent à côté de leurs pompes.Mark Wahlberg,qui parfois fait des choix judicieux,revient ici à son inexpressivité naturelle.Mila Kunis,Olga Kurylenko et les autres sont d'une inutilité affligeante.L'univers à mi-chemin entre réalité sordide et fantasme des enfers,n'est qu'à moitié réussi,faute d'une rigueur dans les effets spéciaux et d'une explication scénaristique concluante.Rajoutons à cela un montage saccadé au possible et une musique assourdissante,et vous obtenez un nanar décérébré,qui ne fera pas lâcher la manette aux gamers et désespèrera définitivement les autres.
Un superbe clip vidéo avec de belles images très léchées. A part ça rien de nouveau sous le soleil de l'auto-justice, de la vengeance et des festivals pyrotechniques. Adaptation d'un jeu vidéo parait-il, c'est long, lent, on s'ennuie ferme. L'histoire est vue et revue. On ne s'attache pas du tout au pauvre héros et encore moins à ce qui lui arrive. Le réalisateur John Moore n'a jamais brillé par sa finesse (666 la malédiction), rien de neuf ici. Ça se veut moderne et innovant mais malheureusement on a déjà vu bien mieux dans le genre et depuis longtemps. Quelques particularités du casting : le chanteur Ludacris, Beau Bridges (bien mieux par ailleurs aussi), Chris O'Donnell (un revenant), Amaury Nolasco magnifique (Prison Break), Nelly Furtado (mais je ne l'ai pas reconnu, à moins qu'il ne s'agisse d'un homonyme) et la dernière James Bond girl Olga Kurylenko. Mark Wahlberg quant à lui est toujours aussi expressif qu'un plat de nouilles froides. Heureusement qu'il tourne de temps en temps avec de grands metteurs en scène (Scorsese, Gray...) pour relever un peu le niveau de sa filmographie. De belles images au ralenti...et puis c'est tout. Ça fait léger pour un film d'action. Cela devrait plaire aux jeunes gavés de jeux vidéos dont c'est une adaptation. Les autres vous pouvez passer votre chemin.
Tous les efforts et les effets de style de John Moore pour créer un univers esthétique font l'effet d'un pétard mouillé dissimulant bien mal la banalité et la nullité abyssale de l'intrigue prise avec un premier degré absurde.
Tiré d'un excellent jeu vidéo, Max Payne est un polar noir, sombre et à l'esthétique envoutante. Mark Wahlberg est convaincant, mais les seconds rôles ne sont pas vraiment à la hauteur et le film souffre de faiblesses scénaristiques. De plus, le réalisateur multiplie un peu trop les effets sonores et visuels, qui finirait par gâcher l'ambiance sombre, seule vraie réussite du film. Un film quelque peu en demi-teinte...
Encore une adaptation d’un jeu vidéo et encore un film médiocre, peut-être serait-il temps de se poser la question sur le réel potentiel cinématographique des jeux vidéos. Puisqu’ici comme souvent dans ce genre d’adaptation le scénario n’est pas, loin de là, à la hauteur ! Pour mémoire Max Payne, dont la femme et le fils ont été assassinés par des voyous lors de ce qui ressemble à un cambriolage, s’est mis à dos tous ces collègues policiers tant sa soif de vengeance le mobilise. Lors d’une autre tentative pour retrouver les responsables de son malheur il finit par lever un lièvre mais provoque la mort se sont ex-coéquipier. S’en suit une enquête parsemée de scènes d’actions où les responsables du meurtre des Payne sont assez rapidement identifiés ou du moins suspectés, on flaire le loup quand apprend que la femme de Payne travail pour un labo pharmaceutique et pour les plus obtus le logo du dit labo présente une aile, motif présent sur les personnes responsables des meurtres ainsi sur certaines victimes. Les relations entre les personnages sont aussi peu creusée pour ne pas dire fantaisistes, témoin la sœur d’une des victimes qui après avoir accusé Paynes du meurtre de sa sœur devient soudain sa plus indéfectible alliée l’encourageant même « à finir le boulot », comprenez tuer tous les méchants ! Seule la photographie tire sont épingle du jeu lors des scènes extérieures avec des paysages de neiges vraiment travaillés pour le reste la mise en scène collectionne les effets bullet time qui semblent un passage obligé. Bref pas grand-chose à retenir de ce film pas même la prestation de Wahlberg qui nous sort deux expressions durant tout le film. Aisément évitable et en tout cas facilement oubliable.
Oui, bon, d'accord : visuellement c'est plutôt beau et John Moore parvient à créer une atmosphère plutôt soignée... Mais après ? C'est là le gros problème de ce "Max Payne" qui n'a rien à exprimer. Marc Wahlberg est finalement l'acteur rêvé pour incarner cette icône de l'inexpression. Beaucoup de dialogues... mais pour ne rien dire. Des scènes longues... mais qui n'influent que rarement sur l'intrigue. Et puis ce scénario... qui au fond ne parle de rien. Alors - adaptation d'un jeu de shoot oblige - on aurait espéré se rattraper sur des grands moments de fusillades, mais ils sont rares, et surtout tombent tellement comme un cheveu sur la soupe, qu'ils plongent ce film dans le ridicule. Bref, c'est vraiment dommage pourquoi pas copier sur le jeux vidéo je comprend pas.