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Votre avis sur Unborn ?
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Sans être l'exorciste, ce film remplit le contrat de "se tirer du cinéma en hurlant" chaque fois qu'un protagoniste ouvre une porte ou bien monte un escalier sombre. L'histoire joue sur deux thèmes : une enquête quasiment policière et une légende d'origine Juive, déjà traitée dans un film de 1938, "Le Dibuk". Mais par rapport aux méga-navets d'horreur qui sortent aujourd’hui au cinéma, "Unborn" bénéficie d'un bon jeu d'acteur, d'une mise en scène académique mais efficace et d'un scénario beaucoup moins affligeants que d'habitude...
Yannickcinéphile
Unborn n’est pas un bon film, et non seulement il s’agit d’un produit bien basique dans la même veine que The Grudge ou l’Exorciste, mais en plus il n’est formellement pas décapant.
Le casting lui-même est très sous-exploité. Odette Annable est convenable. Elle offre une partition sans surprise, et n’a pas la même intensité de jeu que Jessica Alba par exemple de The Eye, mais elle se débrouille suffisamment pour ne pas souffrir de critique particulière. A ses coté Cam Gigandet, Meagan Good, un casting de jeunes pas très marquants et qui aurait mérité d’être mieux travaillé. La grosse déception vient surtout du faible usage des acteurs les mieux rodés du film. Surtout Gary Oldman et James Remar. Ils sont confinés à des seconds rôles sans grand relief. Il est certain qu’une plus grande présence de ces acteurs, surtout Oldman aurait pu sauver certaines scènes trop convenues.
L’histoire est pour sa part fort banale. Il y a plein de pseudo-hallucination, un mystère qui se dévoile à mi-film pour virer au film de monstre très fantaisiste. C’est dommage car le passage remontant à l’époque nazi me laisser entrevoir un bon suspens convoquant le passé, mais en fait non. Si la première partie du métrage est classique mais pas désagréable à suivre, en revanche la seconde est peu convaincante, et vire souvent à la grosse farce jusqu’à un final gratiné. L’ensemble est par ailleurs assez mou, il y a beaucoup de répétitivité avec une multitude d’apparitions qui deviennent pesantes à force.
Sur la forme Unborn n’est pas pleinement convaincant. La mise en scène de Goyer n’assure que le minimum syndical. Le réalisateur n’arrive que rarement à trouver le ton juste entre la paresse et l’hystérie. La photographie baigne quasi-constamment dans l’ambiance bleutée et froide ultra-conventionnelle dans ce genre de métrage. Dans l’ensemble c’est assez joli mais d’un académisme peu avenant. Les décors sont beaucoup trop limités compte tenu du budget assez honnête pour un film d’horreur dont disposait Goyer. Par ailleurs ne vous attendez pas à des effets horrifiques. En dehors d’une ou deux scènes avec des corps qui se tordent dans tout les sens il n’y a rien d’intéressant de ce point de vue, et le film peut donc tout à fait être regardable par un public peu sensible au cinéma d’horreur. La bande son est très peu travaillée, avec une ambiance sonore sans âme.
En conclusion Unborn est un métrage bien banal qui ne marquera pas beaucoup les esprits. Surfant sur des cordes bien usées, il n’apporte aucune imagination, aucune innovation, et se contente de suivre des chemins balisés. Comme il n’est pas époustouflant niveau casting et niveau visuel, je ne peux décemment pas lui donner la moyenne.
Le casting lui-même est très sous-exploité. Odette Annable est convenable. Elle offre une partition sans surprise, et n’a pas la même intensité de jeu que Jessica Alba par exemple de The Eye, mais elle se débrouille suffisamment pour ne pas souffrir de critique particulière. A ses coté Cam Gigandet, Meagan Good, un casting de jeunes pas très marquants et qui aurait mérité d’être mieux travaillé. La grosse déception vient surtout du faible usage des acteurs les mieux rodés du film. Surtout Gary Oldman et James Remar. Ils sont confinés à des seconds rôles sans grand relief. Il est certain qu’une plus grande présence de ces acteurs, surtout Oldman aurait pu sauver certaines scènes trop convenues.
L’histoire est pour sa part fort banale. Il y a plein de pseudo-hallucination, un mystère qui se dévoile à mi-film pour virer au film de monstre très fantaisiste. C’est dommage car le passage remontant à l’époque nazi me laisser entrevoir un bon suspens convoquant le passé, mais en fait non. Si la première partie du métrage est classique mais pas désagréable à suivre, en revanche la seconde est peu convaincante, et vire souvent à la grosse farce jusqu’à un final gratiné. L’ensemble est par ailleurs assez mou, il y a beaucoup de répétitivité avec une multitude d’apparitions qui deviennent pesantes à force.
Sur la forme Unborn n’est pas pleinement convaincant. La mise en scène de Goyer n’assure que le minimum syndical. Le réalisateur n’arrive que rarement à trouver le ton juste entre la paresse et l’hystérie. La photographie baigne quasi-constamment dans l’ambiance bleutée et froide ultra-conventionnelle dans ce genre de métrage. Dans l’ensemble c’est assez joli mais d’un académisme peu avenant. Les décors sont beaucoup trop limités compte tenu du budget assez honnête pour un film d’horreur dont disposait Goyer. Par ailleurs ne vous attendez pas à des effets horrifiques. En dehors d’une ou deux scènes avec des corps qui se tordent dans tout les sens il n’y a rien d’intéressant de ce point de vue, et le film peut donc tout à fait être regardable par un public peu sensible au cinéma d’horreur. La bande son est très peu travaillée, avec une ambiance sonore sans âme.
En conclusion Unborn est un métrage bien banal qui ne marquera pas beaucoup les esprits. Surfant sur des cordes bien usées, il n’apporte aucune imagination, aucune innovation, et se contente de suivre des chemins balisés. Comme il n’est pas époustouflant niveau casting et niveau visuel, je ne peux décemment pas lui donner la moyenne.
Dans la veine de "Possédée", "The Grudge" et "L'Exorciste", un film qui n'apporte rien de nouveau au genre et qui ne fait pas peur non plus mais qui possède un petit rebondissement final assez inattendu (en tout cas pour ma part). Au casting, deux acteurs de la série "Dexter", Gary Oldman et Idris Elba dans des petits rôles, et une actrice principale qui fait énormément penser à Megan Fox. Le fait que Michael Bay soit à la production y est peut être pour quelque chose... (Moyen)
Un film d'esprit banale loin des modèles qu'il prétend égaler! Une réalisation bien prétentieuse, un scénario trsè prévisible! Reste un Gary Oldman vieillissant très interressant!!
Fêtons le cinéma
On ne saurait dire ce consterne le plus. Serait-ce l’arrière-plan historique qui enracine son démon dans les cendres d’Auschwitz ? Serait-ce la tambouille religieuse qui réduit le culte judaïque à un accent bizarre et des pratiques ésotériques tout à fait ridicules ? Serait-ce le gant qu’un jeune garçon visiblement mal en point ne cesse de perdre au beau milieu de la route ? Peut-être tout cela à la fois. Unborn le mal nommé – puisqu’il a bel et bien vu le jour, ce film – se construit telle une série de miroirs, vaste kaléidoscope de clichés mal reliés entre eux et, à terme, dépourvus de la moindre signification un tant soit peu tangible : on suit les mésaventures d’une jeune fille qui dort toute nue sauf lorsque son petit-ami lui rend visite (sic) et se balade en sous-vêtements jusqu’à ce que son miroir fasse du bruit. À partir de là, tout s’enchaîne de façon ô combien laborieuse pour déboucher sur une apothéose finale incompréhensible. Le seul intérêt à trouver dans une telle avalanche de grossièretés, c’est la composition musicale signée Ramin Djawadi. Pour le reste, oublions.
Comme quoi, David S. Goyer est la preuve vivante qu’être un bon scénariste (les séries « Sleepwalkers », « Freakylinks », « FlashForward » et les films "The Crow 2", "Dark City", "Blade 1&2", la trilogie "The Dark Knight", "Man of Steel") ne fait pas de vous pour autant un bon réalisateur. Pourtant, "Unborn" commençait plutôt bien avec un rêve malsain où l’héroïne cotoie un chien portant un masque au visage humain laissant place à un gamin assez inquiétant, ainsi qu’avec l’idée de se baser sur le mythe assez méconnu du Dibbouk, ce mauvais esprit de la mythologie juive qui possède les vivants. Malheureusement pour nous, Goyer veut faire original en mélangeant cette idée avec les monstruosités que les nazis ont commis sur les juifs durant la guerre et avec la gémellité. Mais la mayonnaise prend mal et on se retrouve confus en regardant ce joyeux bordel incohérent, ne sachant jamais où le film veut réellement en venir ; d’autant plus que Goyer commet l’irréparable bourde de jouer à fond la carte des facilités du genre : une héroïne jeune et bien foutue (il n’y a qu’à voir l’affiche du film : on ne regarde que son p’tit cul et rien d’autre, même pas le titre !!!) qui est la cible du démon, des filtres bleutés sombres pour rendre l’atmosphère inquiétante, des visions, apparitions et hallucinations qui nous apportent un bon paquet de foutus jump scares (bouh !!! T'as eu peur ?), un vieux livre religieux renfermant un rite d’exorcisme millénaire que seul le prêtre (ici en l’occurrence un rabbin…joué par Gary Oldman : mais que diable est-il venu foutre ici ??!!) du coin peut déchiffrer, une séquence d’exorcisme où tout vole dans la pièce, une morale plus que douteuse (la foi comme seul et unique moyen de s’en sortir vivant), la fin ouverte pour une éventuelle suite…bref on a droit à tout le cahier des charges du genre et on finit comme avec une bonne indigestion : on vomit ses tripes !! Non, sincèrement, à moins d’avoir 14 ans et de n’avoir jamais vu un film d’horreur de sa vie, il est impossible de trouver un quelconque intérêt à ce "Unborn" définitivement grotesque…et moi, je suis décidément trop vieux pour ses conneries : je vais me remater mes classiques, ça me fera passer la pilule !
Unborn veut dire " non né" Ça tombe bien , parce que pour le coup c'est un "non film" avec des non acteurs dedans malgré la plastique et le postérieur d'Odette Yustman... Idées non-originales, ficelles non discrètes tout comme les références qui semblent d'ailleurs avoir été non-digérées, c'est tellement non original et non imprévisible que le spectateur non endormi mais non surpris ne sursautera pas une seule fois. Un film non flippant . Un comble pour un film d'horreur, tout de même... Ça, pour être d'horreur, il l'est, mais pas dans le bon sens du terme.
Si Unborn ne révolutionne pas le genre, il remplit son contrat frisson, invitant les spectateurs à une foire aux monstres traversée à bord d'un train fantôme. Déconseillé aux cardiaques donc. Lire notre critique complète sur le site terreurvision !
Effectivement, peut être pas un grand film d'épouvante qui restera dans l'histoire, mais un film qui à défaut de surprendre réussi exactement son rôle: nous faire sursauter!
Le réalisateur ne s'est pas embêté: une poignée de L'exorciste, beaucoup de La Malédiction (surtout Damien!), des pensées à Mirrors (sûrement l'original) et autres films d'épouvantes du Moyen Orient!
Le résultat: un film à l'ambiance glauque type Exorciste mais qui se marie avec une ambiance style Destination Finale, grâce à ses jeunes interprètes.
Même si l'exorcisme finale n'est pas le plus flippant vu, il reste impressionnant, surtout le bestiaire intervenant.
Une mention particulière à l'actrice principale belle comme un coeur qui restera dans les mémoires grâce à sa petite tenue devant le miroir.
Le réalisateur ne s'est pas embêté: une poignée de L'exorciste, beaucoup de La Malédiction (surtout Damien!), des pensées à Mirrors (sûrement l'original) et autres films d'épouvantes du Moyen Orient!
Le résultat: un film à l'ambiance glauque type Exorciste mais qui se marie avec une ambiance style Destination Finale, grâce à ses jeunes interprètes.
Même si l'exorcisme finale n'est pas le plus flippant vu, il reste impressionnant, surtout le bestiaire intervenant.
Une mention particulière à l'actrice principale belle comme un coeur qui restera dans les mémoires grâce à sa petite tenue devant le miroir.
La mise en avant de la belle plastique de l'actrice principale était déjà un avertissement en soi! Et en effet, le film s'avère d'une totale invraisemblance et se paie même le luxe d'être carrément grotesque sur la fin!
assé cool ,un tout petit peu flippent au début et on commence a comprendre l'histoir du film a la fin ,par contre je suis trop fan du chien dans le film cui qui tourne ca tête a l'enver .
Ce film mérite bien plus que 2 etoiles
Le rythme est correct
On ne s'ennuie pas
Scénario sans grande originalité mais ça va
Le rythme est correct
On ne s'ennuie pas
Scénario sans grande originalité mais ça va
Houlala comme le film fait peur. On a l'impression d'être revenue 10 ans en arrière, c'est plat, vu 100 fois, les quelques RARE moment ou l'on arrive a sursauté ce compte sur les doigts de la main. Franchement il y a pas grand chose a tiré. Si au moins le film ce rattrapé avec les acteurs ou une atmosphère sombre, mais malheureusement non, c'est aussi terrifiant que le plus noir des épisodes de Casimir et les acteurs sont plus mauvais les un que les autres ( j'espère pas qu'il comptais sur ce film pour commencer une carrière d'acteurs, sinon va falloir qu'il oublie de la mettre sur leur CV ) seul petit avantage c'est l'héroïne principal qui aime bien ce baladez en petite culotte. Enfin si vous voulais juste voir sont cul pas la penne de perdre 1h30 pour rien, il suffit de prendre l'affiche cinéma. Enfin.. voila une grosse déception a voir un jour SUPER mauvais ou que vous voulais rigolez entre amis.
Super film !!!!
trés trés bon
trés trés bon
Indulgence pour ce film dont l'histoire commence plutôt bien, avec une véritable envie de créer une ambiance, un climat sordide et une vrai histoire. Puis peu à peu, on tombe dans la série B de base avec tous les poncifs du genre et une perte de vitesse, les quelques acteurs connus ne sont pas là pour sauver le film, trop peu présent et trop peu impliqué. Un ensemble pas assez régulier pour donner la très bonne surprise.
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