Avis : Transformers 2: la Revanche - Page 3

Attention: si, en grands frustrés, vous avez besoin d'un scénario casse-tête pour vous sentir valorisés par un réalisateur qui veut vous donner l'impression d'etre intelligent parce que vous êtes parvenus à comprendre son puzzle de film, passez votre chemin. Ici, c'est du vrai cinéma, du cinéma qui n'a pas peur de s'affirmer: une chose est sure, vous allez en prendre plein la figure.
Et quel film! Du pur Michael Bay: images classieuses, plans larges et travellings léchés, prises de vue époustoufflantes, scènes d'action démesurées, humour piquant, musiques magnifiques et une bonne dose d'émotion. Que demander de plus?

Le premier Transformers m'avait diverti comme un plaisir coupable.Michael Bay étant l'anti-poète,on sait toujours à quoi s'attendre avec lui.Pyrotechnie digne d'une guerre.Action brute.Humour ado.Et abrutissement du spectateur.Un principe roboratif,qui s'avérer efficace un soir bien luné.Mais trop c'est trop."Transformers-la revanche" tombe dans une telle surenchère qu'on est gavé comme une oie très vite.Et la dernière demi-heure,déluge d'explosions et de robots croisant le fer est interminable.Au point de nous laisser coi devant un spectacle si décérébré.Survivre aux 2h31 est un défi relevé.Bay fait joujou.Il ne met que ses robots géants en avant.Robots,qui bien que réclamant un temps invraisemblable de création sont dénués d'intérêt et illisibles.Ce qui faisait le charme du premier volet a pratiquement disparu:à savoir les running gags et la cool attitude de Shia LaBeouf et Megan Fox.Car on rit seulement devant les âneries de la mère ou les piaillements du collègue latino.Idiot,mais quitte à assumer le côté pop-corn,autant y aller à fond.Non,Bay a décidé d'exploiter à fond ses 46 robots au gré d'un scénario simplet,indigne d'une sitcom.On est en été,c'est l'époque des blockbusters,mais le spectateur ne devient pas abruti pour autant...

Transformers 2 est une suite un peu inférieur au premier épisode malgré tout, et ne retient pas autant l’attention.
Le film est toujours difficilement critiquable sur la forme. Le sens du spectacle de Michael Bay fait merveille, et il sert un film majestueux, aux scènes d’action grandiose, avec des effets visuels toujours très bons. Rien à redire, Transformers 2 reprend tous les bons atouts du premier film en la matière, avec toujours la bande son solide de Jablonsky, et des décors plus variés puisqu’on voyagera en Egypte et à Pétra, entre autres. Le film est donc très spectaculaire, d’un exotisme bienvenu, mais on commence aussi à sentir ici un soupçon de grandiloquence plus épuisante que dans le premier film, et à mon sens moins maitrisée que dans le troisième.
Spectaculaire en diable, Transformers 2 ne brille cependant pas par son histoire. Si le premier n’était pas génial sur ce point, ici Bay peine à apporter réellement du neuf, et nous sert une histoire faussement alambiquée, qui peine encore davantage à attirer le spectateur. Ce qui surprend c’est que Transformers 2 est d’un simplisme certain, mais il parvient par son absence de clarté à paraître complexe. Après, le rythme est toujours efficace, malgré une fin qui n’en finit plus, le récit ne manque pas d’action, c’est le cas de le dire, et il y a toujours un certain second degré salvateur, bien que moins prononcé que dans le premier film. Ça se veut globalement plus sérieux, si ce n’est dans la première partie, et je ne sais pas si c’était le choix le plus judicieux.
Le casting permet de revoir la plupart des acteurs du premier film. A part Turturro qui en fait un peu trop, et une Megan Fox toujours sexy mais au jeu mou peu attrayant, c’est toujours convaincant. LaBeouf ne déçoit pas, même s’il apparait moins à l’écran, et on retrouve avec plaisir Josh Duhamel, Kevin Dunn ou Tyrese Gibson. Reste que davantage que le 1 la vedette revient aux robots, plus nombreux et plus présents à l’écran, et les humains sont un peu des pions qui gravitent autour !
Je ne vais pas m’étendre aussi longuement sur ce film qu’il ne dure, mais je considère que ce deuxième Transformers, ultra-spectaculaire est surtout un spectacle pop-corn réussi, mais inférieur au premier film. Plus fouillis, doté d’une fin trop longue, moins second degré et donc parfois un poil ridicule, il y a tout de même des lacunes certaines. 3

Quelle catastrophe ce film rien ne va plus.L'histoire du film est vraiment très très mauvaise ( Michael Bay à terminer le scénario et aie aie aie ).J'avais défendu Shia LaBeouf dans le premier mais là c'est fini, il est insupportable à hurler comme une fillette et Megan Fox ( qui n'avait pas un grand rôle dans le premier ) là ne sert vraiment à rien, concernant les personnages secondaire la aussi c'est une catastrophe excellent dans le premier sont devenu insupportable dans ce film.L'humour du film est vraiment très très bas, vulgaire, grossier et soulant quoi le film devient un carnaval avec les personnages qui sorte des vannes toute les 5 min et puis c'est pas drôle ( l'humour du premier passer sans problème là plus du tout ).Les Transformers n'ont plus aucun psychologie et personnalité, c'est un défilé de robots qui sont venu pour faire coucou à la caméra et ils sont beaucoup trop nombreux, les plus intéressant font de la figuration, les bad guys du films ne sont pas mit en avant plus que sa, Megatron est ridicule ( dans le premier il avait une certaine classe là non et attendez de voir son traitement dans le 3ème film ), The Fallen est totalement absent du film alors que son nom est dans le titre du film.Et pour finir les scènes d'action sont toujours aussi illisible sauf la scène de la forêt qui j'avoue et plutôt bien filmé.Film vraiment ultra décevant comparé au premier qui n'était pas non plus extraordinaire.

Le cinéma de Michael Bay est proprement incroyable : toujours fidèle à lui-même, il suit, depuis son premier film, des gimmicks, devenus plus tard clichés, installés par le Bad Boys d'origine. L'un des films les plus courts de sa carrière, il inaugurait surtout un second essai fantastique avec Rock, qui laissait déjà présager de futurs films d'action très, très longs. Entre Armageddon et Pearl Harbor, on frôlait petit à petit les 3 heures, pour tomber sur des suites et de nouveaux films oscillant entre 2h15 et 2h45.

Parmi tous ces divertissements parfaitement bourrins, Transformers s'est glissé à une place de choix : film de la consécration grand public, il représenterait presque un excès tel de la carrière de Bay qu'on pourrait le considérer comme une parodie de ses films précédents. Vision profondément sexiste, matérialiste, propagandiste, explosive du cinéma de divertissement américain, cette histoire idiote de robots se fracassant au milieu de civils jamais touchés par les gentils avait un petit quelque chose de fascinant, une étincelle de sincérité dans sa bêtise suffisamment unique pour la rendre agréable, intéressante.

L'expérience finalement surprenante devait amener à une suite, et si l'on pouvait appréhender son aspect purement mercantile (que le premier rattrapait par ses qualités nanardesques), le résultat paraît difficilement supportable si on le prend seulement au sérieux. Toujours aussi débile, le scénario s'efface rapidement derrière le bordel visuel de Michael Bay, qui n'aura jamais autant filmé de destruction mondiale à échelle d'homme.

On a atteint ici un point de non retour pour celui qui sera attentif à la fine patte d'un réalisateur : Michael, lui, décide d'envoyer valdinguer ses rares plans esthétiques pour plonger, tête la première, dans un immense conglomérat de lieux communs éventés depuis la sortie de son second film. C'est qu'on lui reproche ses trop nombreuses explosions à tord; ce qui pullule dans les films de Michael Bay, ce sont, purement et simplement, les plans héroïques sur l'armée américaine en préparation de combats, le tout sur fond de soleil couchant.

L'Amérique, il sait la résumer en une image, et n'omet ni ses points forts ni ses faiblesses; pire, il semble vouloir s'auto-persuader que c'est la plus grande nation du monde, reprenant encore et toujours les mêmes stéréotypes vaseux sur les pays extérieurs (l'Egypte et la France en prennent pour leur grade, quand on imagine facilement le public américain s'esclaffer, ou se répugner, de ces franchouillards assez dégueulasses pour ingurgiter des escargots tout baveux).

De la sincérité nanardesque du premier survivent quelques moments de pur plaisir, certes épileptiques mais suffisamment spectaculaires et déjantés pour donner généreusement au public quémandeur. Explosions à tout va, mitraillages en règles et gros bétas qui se matraquent la gueule à coup de tatanes de l'espace seront les mots d'ordre de cette cacophonie visuellement très laide, mais subjectivement adorable.

Parce qu'il y a quelque chose de profondément jouissif dans le spectacle abrutissant de cette Revanche à la conclusion de pétard-mouillé : entre la représentation prétendument idyllique d'une Amérique urbaine superficielle et le retour de théories du complot encore plus absurdes que celles du premier (c'est une constante dans le cinéma de Michael Bay), on se retrouve avec un genre de produit conformiste qui se veut, pourtant, proche des idées underground des anti-pouvoirs paranoïaques.

La Revanche, le cul entre deux chaises, est donc un film paradoxal pourtant très primaire, en atteste de nombreux moments de gêne humoristique (la mère mangeant des space cakes et les dix minutes de blagues qui s'en suivent) et sa propagande aussi répétitive que béate. Il ne parvient même pas à bien gérer ses personnages tandis qu'il nous balance une flopée de nouveaux transformers dont on retient seulement la laideur visuelle (les effets spéciaux sont illisibles, et font étrangement baisser le niveau correct du premier film), sûrement pas leurs noms.

On s'en rendra surtout compte avec le personnage de The Fallen, qu'on nous vend pendant plus de deux heures quinze pour s'en débarrasser en cinq minutes d'un combat bâclé, Optimus devenu imbattable et supprimant, de fait, toute notion de tension. A cela s'ajoute la réalisation toujours plus clipesque de Bay (on croirait parfois voir l'autre catastrophe de World Invasion Battle Los Angeles), qui se perd dans de multiples citations d'oeuvres populaires (Terminator, Indiana Jones,...), comme pour raccrocher l'attention bienveillante d'un public qui ne suit plus (du regard critique, du moins).

Désireux de trop en faire à partir du cinéma trop stéréotypé de Michael Bay, Transformers 2 : La Revanche s'enferme dans une multitude d'éléments stupides destructeurs : si l'on passe outre son écriture et le jeu de Megan Fox (elle n'est pas engagée pour son talent, c'est une évidence), le véritable problème de The Fallen se résume au travail de forme, apogée de tous les effets clichés répugnants des années 2000. C'est idiot, parfois plutôt drôle (Turturro est efficace et a, bien heureusement, calmé son surjeu), divertissant mais tirant trop sur la longueur.

A vouloir trop en faire, on se perd dans une auto-parodie involontaire.

Alors par ou commencer(C'est que bay a craquer son slip),pour vous dire il y a pas si longtemps,spielperg a dit que c'était son meilleur films,est bah il avait plus que raison .Bon déjà les point négatif,l'histoire sur la fin devient un petit peux compliquer même pour ceux qui connaissent les transformers,alors pour ceux qui connaissent que le premier film,je vous ra compte pas.Voila c'est tout ce qui ma gêner,court hein ,c'est que le reste est juste un condenser du meilleur de bay(Les scènes d'action justes a couper le souffles,les FX et même les personnage ne sont plus aussi lourd que le premier,peut être quel que fois mais rien de méchant),les bullet time impressionnant est les traveling,le meilleur blockbuster qui dépasse même mon favoris star trek mais seulement d'un peux,il réussi a gommer les petit défaut du un,par exemple la réalisation qui se rapproche de celle de king kong est la musique toujours au service du film,bref merci BAY.

Suite du premier, Transformers 2 à le mérite d'être au même niveau, même grandes lignes, même style et même réalisateur. Ce deuxième blockbuster est toujours signé Michael Bay, demeure le même placement de produit géant pour Hasbro, autant de moyens, toujours du spectacle, une réalisation toujours un peu trop dynamique, une durée toujours généreuse, du spectacle, du spectacle encore du spectacle, toujours du spectacle, ça explose, ça part dans tous les sens, ça bouge dans tous les sens, avec Michael Bay tout explose. On retrouve la même dose d'humour et les mêmes personnages.
C'est bien fait, c'est sympa, bonne photo, belles couleurs, on passe encore un bon moment, du bon divertissement et du bon spectacle !

En allant voir Transformers 2, vous aurez tout simplement un film d'action ultra-bourrin, à très gros budget avec une succession impressionnante d'explosions. On a ici aussi de l'humour qui est bien souvent assez lourdingue, mais qui n'est toutefois pas envahissant au point de casser toute intensité dramatique. En général, je n'aime pas vraiment ce genre de film, et même si j'aime bien certains blockbusters je préfère quand ils sont un peu plus posés et réfléchis, et quand il ne s'agit pas seulement d'exhiber de belles mécaniques. Toutefois, à travers ce film, et c'est ce qui en fait l'intérêt, on voit aussi toute une époque, celle des années 2000, pendant laquelle les Etats-Unis menaient une guerre globale contre le terrorisme (cf la guerre en Irak et en Afghanistan mais aussi le base de Diego Garcia dont il est d'ailleurs fait référence dans le film). D'une certaine façon, ce film exalte le patriotisme, avec de valeureux commandos aidant leurs non moins valeureux alliés à sauver le monde contre une menace globale incarnée par des robots tueurs cherchant à terroriser et à subjuguer les Etats-Unis...Enfin, j'ai trouvé certaines scène authentiquement marrantes, notamment celles où Shia LeBaeouf, une vraie tête à claque, encaisse, par exemple quand il est pris de folie en classe :). Donc au total, et j'en suis le premier surpris, un film que j'ai bien aimé...

Ce deuxième opus toujours destiné à un public d'ados, remet le paquet et parvient à faire encore plus spectaculaire que le premier qui déjà envoyait du lourd. On y découvre de nouveaux robots qui font tout péter sur leur passage et ça finit en véritable guerre en Egypte. Mais il est trop long, le charme du premier a disparu, les combats se ressemblent tous, et les blagues sont hyper lourdes! Le film sans prise de tête qui donne mal à la tête. Beaucoup moins bien que le premier. (Moyen)

Conscient de son image, Michael Bay en joue avec un enthousiasme communicatif dans ce gigantesque nanar fun et réjouissant. La stupidité du scénario (proche de la parodie) n'a d'égal que la beauté et le souffle des scènes de destruction massive.

2sur5 Transformers la revanche a divisé, séparant deux groupes d'hominidés bien distincts, paraît-il : l'amateur de cinéma de bourrin ; et puis l'autre. La perspective est assez restreinte, pourtant, difficile de nier qu'elle s'applique parfaitement à cette sequel lucrative.

La saga Transformers, ce gigantesque espace ou tout est disponible, tout ne demande qu'à être dégommé dans un coup de burin, est un authentique terrain expérimental pour Bay. Il y va à fond, case tout et n'importe quoi ; à la galerie de robots s'ajoutent de petits Gremlins métalliques, bavards et maladroits (les compagnons de route), ou des Godzilla en acier au ton très solennel (les méchants qui comptent bien raser la Terre et font péter le seuil d'alarme avec plus de vigueur encore que lors du 11 septembre) ; l'arrivée à l'université du jeune héros campé par ShiaLaBeouf est l'occasion d'une intégration explosive, entre tentatrices mal intentionnées et camarades paranoiaques et haut-en-couleur. Chevaleresque, il ne recule devant rien, surtout pas la mythologie grand-guignolesque.

On ne s'étonnera pas alors de la bêtise abyssale du scénario (les bribes de philosophie de comptoir concernant la nature humaine & cie, de l'Emmerich parodique en quelque sorte), de toute façon l'intérêt n'est pas là, les surprises sont dans les variations de la tambouille destroy. C'est un grand feu d'artifices, insatiable et chaleureux, à l'humour volontiers demeuré (l'ensemble des gags autour de la mère du héros sont de piètre niveau – sauf peut-être lorsqu'elle est stone), la répartie imbécile et au clinquant beauf. Transformers la revanche est moins ''étoffé'' que son prédécesseur et modèle ; les arguments d'autorité, comme Megane Fox, ne sont plus que des faire-valoir (concernant l'actrice, elle se trouve réduite au plus strict statut de sex toy de service).

On peut reprocher beaucoup au film, en particulier le simplisme totalement assumé de son intrigue (d'autres alimentent les théories du complot, Bay refait l'Histoire : les pyramides ? C'était les extraterrestres, voilà tout, passons maintenant !). Toutefois il faut reconnaître comme Transformers 2 se donne sans restrictions ; Bay ne nous laisse aucun répit, c'est ludique jusqu'à plus-soif (d'ailleurs, comme dans le premier opus, on pourra être las avant le clap de fin). Le parfait spectacle de comateux. A consommer donc, avec modération.

Apres un premier volet qui ma pas trop convaincu j'ai quand même décidé de voir la suite et heureusement car les 2 suites sont beaucoup mieux que le premier, le casting est génial, les effets spéciaux sont magnifique, le fun est là, on passe un super bon moment, certes le scénario est cul cul et bourré d'action mais on passe un très bon moment et c'est tout ce qui compte !

J'ai trouvé ce deuxiéme opus un peu moins bien que le premier. Cela est du à un scénario mal écrit et à des scénes comiques qui frolent le ridicule (voir certaines complétements ridicules). Ceci étant, Transformers 2 reste un film avec d'excellent effets spéciaux et avec des scénes d'action explosives.

pour ma part je l'ai trouvé aussi bon que le premier, les caméras mieux géré, le casting toujours aussi bon "Shia LaBeouf" est vraiment top, juste l'histoire n'est toujours pas super mais encore 2h30 de passer très vite !

Durant l’été 2009, Michael Bay nous remettait le couvert avec Transformers 2 : La Revanche, la suite attendue du premier opus sorti en 2007. Et qui dit suite dit un film plus énorme avec deux fois plus d’effets spéciaux et d’action, de quoi nous filer une belle migraine. Le film reste divertissant mais tout de même en dessous du premier. Deux ans se sont écoulés depuis que Sam Witwicky a sauver l’univers d’une bataille décisive entre les deux clans rivaux de robots extraterrestres. Malgré ses exploits, Sam reste un adolescent préoccupé par les soucis des jeunes gens de son âge : alors qu’il s’apprête à rentrer à l’université, il doit se séparer de sa petite amie Mikaela et de ses parents pour la première fois de sa vie. Il lui faut aussi tenter d’expliquer son départ à son ami Bumblebee, le robot Autobot qui a décidé de rester vivre avec lui. Sam aspire donc à une vie d’étudiant normale. Mais la guerre entre les Autobots et les Decepticons, classée secret défense, a entraîné plusieurs changements comme la dissolution du Secteur 7 et la révocation de son plus fidèle soldat, l’agent Simmons. Et résultat, une nouvelle agence est née, le NEST, où humains et Autobots travaillent ensemble à la traque des Decepticons encore cachés sur notre planète, qui préparent secrètement leur revanche contre les Autobots et la Terre. Sorti en juin 2009, Transformers 2 : La Revanche fut un très gros succès commercial dans le monde avec plus de 800 millions de dollars de recettes. Aux Etats-Unis, le film marcha encore mieux que le premier avec plus de 400 millions de dollars de récoltés et en France il totalisa 2 266 357 entrées. Michael Bay a donc réussit le retour de ses robots sur le box-office mais le film fut par contre une totale déception côté critique car récoltant des avis très négatif : « film du néant », « insupportable de bêtise », « pas de consistance, ni de profondeur » ou encore « un scénario à l’incommensurable bêtise ». Bref, ce deuxième volet de la saga des Transformers fut très détesté par la presse, comme tous les autres d’ailleurs mais là c’est le sommet, car étant de gros (très gros) blockbusters estivaux ne servant qu’à divertir les adolescents dans les salles obscures. J’aime énormément le cinéma, c’est ma passion, j’essais de regarder de tout mais j’ai un petit faible sur les films qui portent l’étiquette de « blockbuster » que ce soit les films de science-fiction, d’action, d’aventure et surtout de super-héros. Et donc j’aime la saga Transformers car c’est du grand spectacle ultra-divertissant. Ayant trouvé très bon le premier film, cette suite aurait pût être encore meilleure. Mais même si elle reste très divertissante il faut bien avouer que Michael Bay est tombé dans le piège de la suite d’un film à succès. Et afin de nous en mettre encore plus plein la vue que dans le premier Transformers, Michael Bay s’est enlisé dans un déluge d’effets spéciaux et de scènes d’action très bourrines avec plein d’explosions, de fusillades, de tôles froissées et de destructions massives. Et dans tous ça, notre cher « Roi des explosions » comme j’aime bien l’appeler, en aurait presque oublier son scénario qui tourne autour d’une simple histoire de vengeance entre les deux races de robots extraterrestres que nous a introduit le premier film. Quand je regarde Transformers 2 j’ai eu la même impression que devant Pirates des Caraïbes 2 où l’intrigue était très « complexe », très riche et le film était très long ce qui le rendait encore plus complet. Ici avec Transformes 2 c’est un peu pareille, l’histoire est moins complexe mais c’est tellement long que j’ai eu l’impression de ne plus me souvenir de ce que Michael Bay nous racontait plus j’avançais dans le film. On pourrait penser que le film se divise en plusieurs actes : l’introduction à l’histoire, l’université, la traque, l’Egypte et la bataille finale. Arrivé à la partie en Egypte j’étais un peu perdu dans l’intrigue tant il se passe de choses, surtout avec les scènes d’action très longues qui nous font sortir de l’histoire et ensuite qui nous ramène dedans et …. bah on est paumé. Le scénario est trop décousu, c’est long déjà ce qui ne l’aide pas, il est relativement simple mais possède plein d’éléments qui s’enchaînent trop vite donc on a pas le temps de s’y faire comme les fragments du Cube, les visions de Sam, la Matrice de Commandement, la résurrection d’Optimus Prime, le Fallen,… bref le film est long, 2h20 quand même, et il y a plein de choses qui sont mal liées entre elle ce qui fait que le film est un joli petit bazard de numérique et de tôles froissées. On comprend quand même l’histoire, mais c’est que entre deux scènes de combats de 10 minutes il faut ensuite se replonger dans l’histoire, si on a pas oublier les éléments clef à sa compréhension bien sûr. Le scénario qui est le cœur d’un film est donc ici pas des plus passionnant, il faut l’avouer, et est parfois compliqué à saisir tant les évènements se bousculent vite. Mais sinon nous passons un agréable moment devant ce grand spectacle où des robots géants se tapent dessus à coup de gros canons et de lames gigantesques, le tout autour d’un déluge d’explosions et de mitraillages, la bataille finale dans un village d’Egypte est à la limite de l’overdose tant le bruit est assourdissant, des explosions et des robots de métal qui se fracassent entre eux, ravageant au passage quelques maisons. Transformers 2 : La Revanche est l’archétype du blockbuster épuisant, qui donne la migraine avec toutes ses explosions et ses amas de tôles froissées où Michael Bay s’est fait plaisir en y mettant tout son style : explosions, mitraillages à gogo, utilisation patriotique de l’armée américaines à la limite de l’overdose aussi, on pense à tous ces plans avec les avions, les soldats de retour de mission et tous les portes avions, filmés aux ralentis de manière épique sous le son d’une musique très patriotique pour bien les mettre en valeur. Je trouve qu’à la fin ça fait un peu trop, mais bon c’est le style Michael Bay. Le film s’accompagne toujours d’un joli casting : Shia LaBeouf toujours juste dans son rôle, la toujours très sexy Megan Fox, le toujours courageux Josh Dunhamel, le toujours patriotique Tyrese Gibson « On a verser du sang, des larmes et du métal précieux ensemble. » … oh yeahhhhhhhh Tyrese en roue libre !!!! Ensuite il y a toujours les comiques John Turturro et Kevin Dunn pour la touche d’humour du film. Transformers 2 : La Revanche est donc un bon divertissement mais sans l’effet de surprise qui n’y est plus. Le scénario est assez mal exploité par moment, la longueur du film est épuisante avec ses scènes d’action pleine de bruit et cela fait que ce Transformers 2 est moins bon que le premier. Un film de divertissement pour se détendre, enfin drôle de détente aux vus de l’épuisement qu’il nous procure.