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sans grande conviction je suis allé voir ce film hier soir qui a été une agréable surprise. Des acteurs fantastiques (mention spéciale pour ewan McGregor) une histoire bien ficelé et une fin des plus surprenante. A voir une fois.
Un premier ministre travailliste soupçonné de complaisance envers les Etats Unis et la toute puissante CIA, au point de se salir les mains dans sa politique anti-terroriste, toute ressemblance avec un personnage ayant réellement existé ne serait que pure coïncidence ... Roman Polanski utilise tout son art dans ce thriller politique pour régler quelques comptes, sans avoir l'air d'y toucher. Un "nègre" chargé de rédiger les mémoires du politicien va tirer, sans le vouloir vraiment, les ficelles du complot et nous révéler une vérité que l'on attendait pas. Malin et remarquablement filmé, ce nouvel opus de Polanski confirme son talent de cinéaste hors norme, et nous rappelle la virtuosité de Frantic.
Un excellent thriller politique passionnant de bout-en-bout malgré une ou deux infimes longueurs bien normal pour ce genre de film. Polanski revient en force dans le monde du cinéma et il est aidé par l'interprétation sans faille d'Ewan McGregor.
Bonne intrigue.. un film très bien joué...
Ewan Mc Gregor et Pierce Brosnan convaincants!!!
Bref un film a voir!
Ewan Mc Gregor et Pierce Brosnan convaincants!!!
Bref un film a voir!
Un bon Polanski où l’intrigue traverse le film sans s’essouffler une seule fois. Ewan McGregor est parfait dans le rôle du Gosth-Writer tout comme Brosnan. Le côté huit-clos avec la maison isolée sur une île ajoute bien entendu, à l’atmosphère déjà pesante, une certaine tension où le danger et l’inattendu peuvent surgir de partout. Le film accélère progressivement au gré des révélations et des suspicions, offrant au final un bon thriller et bien sur, sans aucune ressemblance avec des personnages existants. Cependant on ressent un manque, une petite déception une fois le générique de fin entamé. On est (un peu) déçu de ne pas avoir été encore plus secoué par les remous que Polanski a réalisé.
The Ghost Writer signe le retour de Roman Polanski et quel retour,un retour fracassant sur la manipulation des hautes sphère politique,un suspense qui nous tient en haleine jusqu'à cette fin magnifique, dommage que le film souffre quelques fois de lenteurs mais ce n'est pas bien méchant, les acteurs tous excellent, The Ghost Writer rappel étrangement Shutter Island,
NammJones
Un peu de longueur mais une histoire construite et réellement intéressante. Très bonne adaptation et les acteurs interprètent leur rôle à merveille.
Dommage, néanmoins, de devoir se contenter d'une Kim Catrall en 'simple' secrétaire..
Dommage, néanmoins, de devoir se contenter d'une Kim Catrall en 'simple' secrétaire..
Bon thriller. Très bon suspense. Le dénouement est amené de façon intelligente. Film très prenant ou on ne s'ennuie pas.
Grand retour de Polanski! Scenario, mise en scène et interprétation exemplaire!
Retrouvez toutes mes critiques ciné sur :
http://tristanleguillou.blogs.allocine.fr/
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Bon polanski on aime ou on déteste y'a pas trop de juste milieu et je ne sais pas si le fait qu'il ai tous ces blêmes y est pour quelques chose mais la salle était bien pleine pour un midi jour de semaine
alors le film me direz-vous eh bien hormis le petit truc pas compris j'adore je dit oui à ce cinéma là les acteurs joues bien je n'ai pas vu le temps passer et Ewan-Mc-gregor dont je connais peu le cinéma était exellent un très bon polar à chaleureusement recommander
alors le film me direz-vous eh bien hormis le petit truc pas compris j'adore je dit oui à ce cinéma là les acteurs joues bien je n'ai pas vu le temps passer et Ewan-Mc-gregor dont je connais peu le cinéma était exellent un très bon polar à chaleureusement recommander
Ghost, c’est un peu le terme qui pourrait le mieux coller à Polanski, réalisateur fantôme tant il essayait d’échapper à la justice lors de la sortie de son Ghost Writer. Et le paradoxe est pour le moins amusant lorsque l’on voit qu’ici aussi il est question de troubles judiciaires et d’extradition. Pas uniquement bien sûr, mais le parallèle est là.
Ghost Writer, c’est donc un film à mi-chemin entre l’expérience politique et littéraire. Tout est fait ici pour remettre le travail de l’équipe au premier plan : décors simple – pour ne pas dire épuré- musique peu présente – mais très juste. Reste donc la réalisation du grand Roman, dont la sobriété et le classicisme sont parfaitement adaptés ici, et surtout le jeu des acteurs et du trium vira Mc Gregor – Brosnan – Williams. On rajoute un scénario qui prend le temps de se dérouler, de mettre en place les pièces sur l’échiquier, et on obtient un film qui nous rappelle que quelques bons acteurs, un scénario solide, et une réalisation des plus classiques peuvent aussi produire du grand cinéma. Merci Mr Polanski.
Ghost Writer, c’est donc un film à mi-chemin entre l’expérience politique et littéraire. Tout est fait ici pour remettre le travail de l’équipe au premier plan : décors simple – pour ne pas dire épuré- musique peu présente – mais très juste. Reste donc la réalisation du grand Roman, dont la sobriété et le classicisme sont parfaitement adaptés ici, et surtout le jeu des acteurs et du trium vira Mc Gregor – Brosnan – Williams. On rajoute un scénario qui prend le temps de se dérouler, de mettre en place les pièces sur l’échiquier, et on obtient un film qui nous rappelle que quelques bons acteurs, un scénario solide, et une réalisation des plus classiques peuvent aussi produire du grand cinéma. Merci Mr Polanski.
Lorsque je suis sorti de la salle, je me suis dit que c’était l’un des meilleurs thrillers politiques que j’avais vu. Puis à tête reposée, j’ai cherché à élucider certaines incohérences scénaristiques, notamment à la fin du film. Et en fait, j’en arrive à la conclusion que le scénario n’est pas parfait. Et c’est vraiment dommage car la réalisation de Polanski est impressionnante notamment avec une bande son mémorable. Le jeu d’acteurs est plutôt bon surtout pour le duo Mac Gregor/ Brosnan, c’est un peu moins le cas pour les seconds rôles. Un excellent thriller malgré ces incohérences scénaristiques qui viennent quelque peu gâcher cet excellent spectacle.
Malgré tous les dires sur Roman Polanski, il nous sort là un chef d'oeuvre politico-littéraire. Chaque acteur est à sa place, Ewan McGregor d'une justesse irréprochable, mais aussi Pierce Brosnan, Kim Cattrall... En même temps froid, gris, le ton est morose, il faudra un temps pour rentrer dans l'intrigue qui devient aussitôt fascinante.
De sa prison (ou pas, j'ai dû rater un épisode), Roman Polanski doit être fier de lui. Il signe avec The Ghost Writer un film au sommet. Cette intrigue politique à l'ambiance noire ébène montre avec un ton acerbe les coulisses du monde politique: faux-jetons carriéristes (sans tomber dans la caricatures populistes, ici, les hommes politiques ont tout de même une âme) et pouvoir des femmes en coulisse. A partir d'une écriture classiquement implacable, de dialogues qui trouve le parfait équilibre entre justesse de ton et subtilité langagière et d'une mise en scène à la sobriété absolue (très Hitchockienne dans sa capacité à insuffler du suspense d'une zone d'ombre), Polanski pond une charge déguisée contre l'atlantisme du gouvernement Blair. A n'en point douter, l'une des plus grandes réussites de ce début d'année.
Roman Polanski orchestre un thriller politique tendu, froid, au rythme volontairement lent ou le spectateur s'engouffre progressivement à l'image du héros dans des affaires d'Etat qui le dépasse. L'atmosphère pesante et troublante du héros isolé sur une île en pleine tempête n'est pas sans rappeler le génial « Shutter Island » de Scorsese et l'efficacité de ce long passage du film peut du coup en être altérer. Néanmoins, l'ambiance reste particulièrement étrange, en hommage au cinéma d'Hitchcock. Par ailleurs, les acteurs confèrent parfaitement à cette atmosphère : Ewan Mcgregor, très bon, a l'air aussi éperdu que le spectatateur et joue en toute sobriété. ( Les références au personnage de Tintin sont ainsi très astucieuses ). Pierce Brosman est quant à lui parfait dans le rôle du politique impossible à cerner. Sans oublier les seconds rôles tout aussi troublant. L'ensemble constitue un véritable jeu de manipulation ( n'est-ce pas en un sens l'essence même de la mise en scène ?) ou le suspense alterne avec le non-sens. Le point fort du film est sans conteste la mise en scène qui est vraiment d'une très grande maîtrise dans la mesure où l'ensemble du film ne semble être qu'un prétexte à l'exercice de cet art. En témoingne la fin du film, qui si elle n'est pas particulièrement imprévisible, est mis en scène avec beaucoup de classe. En bref, difficile d'y mettre une note tant le jugement du film peut être influencé par la pluie de récompense qu'il a reçu ou l'acharnement puis l'éloge médiatique que le cinéaste a reçu successivement. Si l'on passe outre cela, il n'en reste pas moins que les spectateurs seront très divisés. Certains s'arracheront les cheveux devant cette intrigue lente et pesante qui ne se débloque que dans le final et auront la sensation d'avoir perdu leur temps. Quant aux fans de Polanski, ils jubileront. Pour ma part, j'y voie une véritable leçon de cinéma anti-spectaculaire.
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