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    The Ghost Writer
    Note moyenne
    3,8
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    1 410 critiques spectateurs

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    Mulder13
    Mulder13

    27 abonnés 866 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 14 mars 2010
    Un film passionnant. J'ai été absorbé par l'histoire dès la première scène, et j'ai beaucoup aimé les informations sur l'arrière du décor de la politique. Le rythme du film, un peu lent, ne plaira cependant pas à tout le monde.
    pierrre s.
    pierrre s.

    450 abonnés 3 316 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 24 mai 2012
    Habile thriller politique, dans lequel Polanski semble avoir pris beaucoup de plaisir et mit autant de talent, tant à la réalisation qu'à l’écriture de son film.
    Alban A
    Alban A

    10 abonnés 45 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 4 mars 2010
    Suspense et tension jusqu'au bout, magnifique décor, très bon acteur
    lograt
    lograt

    11 abonnés 500 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 7 mai 2014
    Très bon thriller qui maintient en haleine et fait monter l'angoisse progressivement jusqu'à ses révélations finales.
    anonyme
    Un visiteur
    4,5
    Publiée le 8 juillet 2010
    Très bon film, j'ai beaucoup aimé.
    TiAngelique
    TiAngelique

    8 abonnés 198 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 8 mars 2010
    Triller léger mais sympa
    anonyme
    Un visiteur
    4,0
    Publiée le 11 mai 2012
    Ce film est énorme, surtout quand le nègre spoiler: découvre les preuves du lien entre l'ex-premier ministre accusé et les opérations de torture menées par la "Si Aïe Hey"
    . Et puis il y a ce retournement hallucinant au moment où spoiler: le nègre sort de la baraque de l'agent américain Paul Emmet qui aurait mis une taupe dans le coup pour appuyer toute la politique de Lang en faveur des Etats-Unis et ce depuis le début
    . Et quel suspens haletant quand le nègre voit qu'il spoiler: est poursuivi, parce qu'il en sait trop et qu'il est susceptible de finir comme son prédécesseur, tué pour que ne soit pas compromise la subtile opération de corruption du mandat de Lang
    . Ah ouais vraiment extra ça. Ah ouais et pis quand on découvre que spoiler: la femme de Lang est depuis le début l'agent infiltré de la CIA
    ... Trop révolutionnaire quoi. Par contre, il est certaines scènes plus décevantes, comme celle où l'on se rend compte qu' spoiler: Ewan McGregor a une petite bite
    . Très bon bilan somme toute. Mais je le reconnais, pour ceux qui n'ont pas encore vu le film, cette critique risque de leur apparaitre peu constructive... spoiler:
    Scorcm83
    Scorcm83

    107 abonnés 508 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 18 novembre 2017
    Captivé par ce film sans prétention mis en scène avec sobriété (mais classe) par Roman Polanski. L'intrigue se suit avec intérêt au fur et à mesure que celle ci monte en puissance. Sa plus grande force est dans sa façon de présenter les comportements des personnages. C'est dans leurs aspérités, leurs caractéristiques individuelles, que le film tire véritablement son épingle du jeu car l'on se passionne pour cette histoire politico-sentimentale. Le personnage d'Ewan McGregor est parfait pour permettre au spectateur de rentrer dans le film car il pose un regarde distancié et plutôt critique sur le monde dans lequel il vient d'entrer et Polanski prend plaisir à disséminer ça et là de nouvelles informations sur l'intrigue que nous découvrons en même temps que le protagoniste principal.

    Pas grand chose à ajouter pour ce film somme toute classique mais très prenant. Un très bon moment de cinéma !
    videoman29
    videoman29

    254 abonnés 1 842 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 15 avril 2019
    « The Ghost Writer » est un superbe thriller politique réalisé par Roman Polanski en 2010. Ce cinéaste génial (« Chinatown », « Rosemary's Baby » etc...) nous plonge dans l'étrange histoire d'un écrivain qui doit retravailler « les mémoires » d'un important homme d'état pour en faire un best-seller. Dès le début, cette mission s'avère toutefois compliquée, voire dangereuse, le précédent « nègre » étant mystérieusement décédé... Si j'ai souvent l'impression que les films de cinéma manquent de réalisme (j'en fais d'ailleurs souvent part dans mes critiques), ici c'est carrément tout l'inverse. On croit profondément à cette intrigue intelligente et vraisemblable, qui fait clairement toucher du doigt les méandres de la vie politique et toutes leurs inquiétantes implications. Il faut dire que le scénario est porté par une brochette d'acteurs (trices) parfaitement convaincants (tes), d'autant qu'ils sont dirigés de main de maître par Roman Polanski qui n'a absolument rien perdu de son art. L'ensemble est tellement professionnel qu'on a parfois l'impression d'assister à un magistral cours de cinéma... visiblement inspiré par les grandes œuvres « Hitchcockiennes », ce film n'a pas à rougir de la comparaison et ce n'est pas peu dire. C'est tout simplement excellent !
    Santu2b
    Santu2b

    258 abonnés 1 797 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 28 décembre 2014
    La politique et ses dessous, ses distinctions parfois floues entre bien et mal revues ici de façon magistrale. S'il s'était quelque peu égaré ces derniers temps, signant notamment une adaptation d'Oliver Twist d'une rare platitude, avec "The Ghost Writer" Roman Polanski signe son meilleur film depuis des lustres, passionnante plongée au cœur du pouvoir et de ses revers de médaille. Certains objecteront que l'œuvre tomba à point nommé, le cinéaste étant au même moment visé par de sombres affaires personnelles. D'autres n'y verront qu'un grand thriller politique porté par deux brillants acteurs (Ewan McGregor en tête), jouant admirablement sur les faux-semblants et ouvrant enfin une remarquable piste de réflexion sur le métier de nègre.
    bobmorane63
    bobmorane63

    199 abonnés 1 988 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 3 mars 2010
    Un thriller politique plutot pas mal signé par le malheureux Roman Polanski!!! Je dis malheureux car avec les problèmes judiciaires d'une affaire qui remonte à 30 ans, ça doit pas etre facile pour lui et ses proches en ce moment. "The ghost writer" raconte l'histoire d'un biographe qui utilise ses talents et son inspiration pour le premier ministre Anglais, sa vie en globalité dans un roman, dans la demeure présidentielle prés de la mer en Angleterre. Une grande polémique, un suicide suspect, un gouverneur et sa première dame loin de l'image du peuple dans l'intimité, l'écrivain de sa majesté trouve des preuves et enquete sur le haut magistrat et son entourage. Film trés bien réalisé qui nous montre de façon intéressante le fonctionnement et les décors de ceux qui nous gouvernent en Angleterre, j'ai bien aimé les cadrages caméra avec vue sur la mer dans cette immeuble. L'intrigue, quant à elle, reste classique au genre, ce qui peut etre un défaut. L'interprétation de Ewan Mc Gregor, Pierce Brosnan, Olivia Willliams ou Kim Cattrall est excellente. A voir.
    L_huitre
    L_huitre

    86 abonnés 357 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 6 octobre 2012
    Il y a des films dont on sait dès les premières images qu'on les aimera. The Ghost Writer est de ceux-là (au fait, pourquoi ne traduit-on plus ces anglicismes ?). Une ambiance lourde vous saisit tout de suite, et une sensation d'étouffement due à un ciel bas, noir, menaçant, et le huis clos d'une île dont on devine qu'on ne sort pas facilement. Le nègre littéraire, joué avec une belle retenue par Ewan Mc Greggor, est happé par une histoire politique trouble. Il se démène pour démêler les fils de l'intrigue, mais dans sa maison de verre ouverte sur un climat violent, on le sent très fragile. Est-ce que cet homme politique dont il corrige les mémoires, est un salaud ? A-t-il oeuvré uniquement dans le sens des intérêts du pays ? Le scénario est finement ciselé ; il vous prend à la gorge, avec des références explicites au meilleur des Hitchcok, en particulier dans la scène de la visite au professeur d'université qui suinte toutes les menaces sous le vernis d'une relation policée. C'est vraiment du grand cinéma ! Les acteurs sont tous excellents, avec une mention spéciale pour l'épouse délaissée Olivia Williams, mais aussi pour Eli Wallach, «la brute» de Sergio Leone, très âgé et physiquement diminué, qui fait une belle apparition dans le film. Seule la fin un peu trop rapide à mon goût, prive ce film de ses 5 étoiles. Mais, il est sûr que j'en achèterai le DVD pour le classer parmi mes autres grandes émotions cinématographiques.
    Clingo
    Clingo

    64 abonnés 128 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 21 mars 2012
    Entre autres choses, The Ghost Writer parle de manipulation et d'échanges de procédés qui n'ont souvent rien de bon. Soit la relation entre Lang et Paul Emmett, ou, plus important encore et faisant directement écho à l'histoire récente, la relation entre le Royaume-Uni et les Etats-Unis juste avant la seconde invasion en Irak. Plusieurs fois dans le film, on pense à cette fameuse phrase qui faisait de Blair le caniche de Bush. Comme lui, Lang semble réagir au doigt et à l'oeil au gouvernement américain, et se débarrasse de toute considération humaine au profit de la loi économique dont l'Irak permettra le développement. D'ailleurs, le fait de situer l'action du film aux Etats-Unis n'est pas anodin : c'est comme si le Royaume-Uni lui-même était, symboliquement mais pas seulement, une sorte de 51ème état, appartenant à l'Amérique et donc à l'Etat fédéral. Le Royaume-Uni est donc totalement incorporé au territoire américain, et dès lors il en suivra la ligne exécutive directrice. Ce qui fait de lui un " personnage " soumis, passif, laissant apparaître des ficelles dans son dos que d'autres prennent un malin plaisir à tirer. Et le film parle beaucoup de ça, puisque tout est affaire de manipulation ou d'échange permanent d'identités, donc de fonctions. Lang a des mémoires à écrire, mais ce n'est pas lui qui les rédigera, de la même façon qu'il a des décisions à prendre sur le plan international qu'il ne décide pas réellement puisque leur choix est la conséquence de la mainmise américaine sur le Royaume-Uni.

    Le personnage du nègre joué par McGregor est dans le même cas, et se retrouve dans la peau du personnage hitchcockien typique puisqu'il n'est pas à sa place et qu'il ne maîtrise pas les événements. Il a beau choisir ses actes, il ne fait finalement qu'accentuer l'incessante propension à la répétition d'un destin qui condamne les " bons " pour, ironiquement et cruellement, laisser s'en tirer les " méchants ". McGregor aura beau lutter, sa volonté de mettre les choses au clair ne fera que trouver un écho dans le geste sisyphien du balayeur qui ne peut vaincre la parade des feuilles à l'extérieur. Les nègres passent, suivent tous la même mécanique ( l'écriture-l'enquête-la mort ), mais toujours, à la fin, ce sont les feuilles - qu'elles viennent d'arbres ou d'un manuscrit - qui viendront recouvrir leur tombe en même temps qu'elles recouvrent l'écran pour conclure le film.

    L'atmosphère paranoïaque de The Ghost Writer trouve évidemment sa source dans cette sensation de ne pas tout savoir, et surtout de ne pas savoir qui fait quoi et qui est qui. Une importance est donc donnée aux faux-semblants, au caractère dangereux de l'apparence ( qu'est-ce qui se cache derrière le sourire ultra-bright de Brosnan ? Une colère soudaine ), à cette impression que voir une chose ne suffit pas à en déceler la nature profonde. A ce propos, le travail sur les décors est absolument prodigieux. Il y a bien sûr ce paysage d'un ciel gris et cette mer déchaînée, de la même couleur, propres à renforcer un certain malaise, instillant une atmosphère délétère. Mais surtout il y a les baies vitrées et donc le verre, participant pleinement et intelligemment de cette dualité au sein du film, et rejoignant le discours de Baudrillard : le verre est à la fois ce qui permet l'ouverture vers un extérieur, et à la fois ce qui enferme les personnages. Sa double nature est un parallèle aux propos que le film développe sur l'apparence. Ici le verre permet de voir des personnages à l'extérieur, mais on ne sait pas ce qu'ils disent ( McGregor observant Brosnan depuis l'intérieur ).

    Le terme " nègre " ne permet pas d'être aussi profond que sa traduction anglophone, dont le mot Ghost offre au film une éloquence évidente. Le dernier Polanski regorge de fantômes, d'individus vivants qui n'en ont pas l'air puisque leurs actes sont finalement dictés par d'autres. La première traduction du titre en français était idéale puisque le film fait la lumière sur l'ombre et les hommes - et les femmes - qui s'y cachent, contrôlant sournoisement un monde rempli de valeurs morales déréglées. Polanski filme ça à l'ancienne, sans exagération. On pense un peu à Shutter Island - une île, une enquête, et même, un plan inaugural sur un bâteau - que Scorsese filmait plus viscéralement et nerveusement - " scorsesément quoi ". Polanski, lui, fait dans le classicisme pur, se met totalement au service de son histoire. Mais la marque des grands réalisateurs c'est justement de parvenir à susciter l'intérêt par leur mise en scène quand - comme ici - l'histoire perd quelque peu en intérêt sur la fin ( ça devient franchement mécanique et poussif ). Une mise en scène limpide, intelligente, à la fois discrète et vigoureuse.
    Kévin L.
    Kévin L.

    17 abonnés 316 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 15 septembre 2021
    Un excellent Thriller Hitchcockien au twist-ending savoureux. Face à McGregor impeccable et Brosnan dans un de ses meilleurs rôles, les personnages féminins sont profonds et volent la vedette. Tout est soigné et malin... Vraiment prenant.
    Fabien S.
    Fabien S.

    571 abonnés 4 150 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 24 septembre 2020
    Un très bon film avec Pierce Brosnan. Un très bon thriller politique sur le negre dans le monde de l'écriture.
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