ca semble écrit par un enfant de 12 ans qui brode au fur à mesure et qui dirait à sa mère que la "CIA c'est pas bien ce qu 'elle fait maman". On retruve quelques idées fixes de Polanski avec l identification au précédent "négre" comme dans le locataire.On ressort décu comme l acteur du film qui cache mal son amertume d avoir couché avec la brune reveche plutot qu avec Kim Catrall toujours aussi .......Au fait on ne dit plus "négre" mais écrivain de couleur
bof bof... je suis très déçu par ce film...pourtant le scénario paraissait intéressant mais pendant 1h il ne se passe rien excepté une musique qui vous rappelle que ce film est un thriller et qu'il existe une intrigue...ensuite ça démarre pour finir sur des évènements totalement incohérents...il ne restera pas dans les anales de la filmographie de Roman Polanski !!!
Un Polanski plutot bien mené. J'ai toutefois été déçu plus particulièrement par la fin ... " euh et ... ?" Voila pour pas spoiler je ne dirais qu'un mot : BOF !
Ils sont trop méchants ces américains! C'est vraiment eux qui pourrissent le monde alors que les gentils terroristes font tout pour qu'on vive en paix. Pitié... On veut bien que Polanski en veulent beaucoup aux ricains mais de là à adapter une histoire aussi classique de théorie du complot, c'est lourd. On croit à un certain point que le film va se révéler subtil mais en vain car le twist final n'est finalement qu'un léger décalage de la trame de départ. Maintenant, le film est agréable à regarder et la musique est sympathique (beau travail de Desplat ici contrairement à New Moon): Polanski reste un bon metteur en scène. N'empêche qu'un héros qui manque autant d'instinct de survie en milieu politique, ça déconcerte.
Ce nouveau Polanski est très décevant. Outre le fait que le rythme narratif est très lent, certains ressorts dramatiques ne sont pas tout à fait clairs. D’autres sont fort peu crédibles. Peut on croire raisonnablement que la cour internationale de justice se mobiliserait autant pour faire condamner un ancien premier ministre soupçonné d’avoir accordé son aval dans le kidnapping et la torture de quatre terroristes ? Sachant que cette même cour a déjà été saisie en vain pour des crimes bien plus spectaculaires impliquant des hommes d’état encore en fonction en Lybie, en Syrie, en Iran, et en Israël... D’autre part, Polanski s’échine à nous développer le portrait d’un écrivain mercenaire talentueux, assez fin limier, pour nous le montrer à la fin, naïf et suicidaire. Décevant et plutôt incongru. Le déluge de compliments de la critique relève plus de la compassion pour un cinéaste victime d’un certain acharnement juridique et médiatique plutôt que de la véritable et subjective critique artistique.
Bien fait, cadres audacieux, acteurs bien dirigés, du suspense, quelques étincelles... Vite revêtu du lustre hitchcokien, ça y ressemble, sauf que c'est un peu trop glacial et lancinant à mon goût pour ce qui est du déroulement ! On y devine une identification du réalisateur, à la fois plébiscité et traqué encore à l'heure qu'il est. Je reconnais la qualité de tout ce qui passe dans ce film qui ne m'a hélas pas remuée jusqu'aux tréfonds comme l'auraient fait Frantic ou Chinatown...
Certes, le dénouement est pas mal. Mais je me suis essentiellement ennuyé le reste du temps. Et, à y réfléchir, l'originalité n'est pas forcément au rendez-vous : il y a quand même un petit gout de déjà vu.
Le retour de Polanski auréolé d'un suivi et soutien médiatique souligné, ne doit pas cacher une lecture objective de son nouveau métrage. Classique dans sa forme narrative et dramatique son film rayonne heureusement par sa réalisation. C'est simple nous n'avons pas vu Polanski sous ce jour depuis une petite décennie (Le pianiste oeuvre à part). Les cadres sont léchés et soignés, le décorum (la maison) un personnage à part entière, le montage ciselé de qualité. Polanski revient donc à ses premières oeuvres, jouissives de manières et de moyens. On se laisse porter par son personnage principal joué à juste mesure par un Mc Gregor au mieux de sa forme ce mois-ci (sortie cinématographiques parlant). On sera plus déçu par une histoire conventionnelle qui n'échappe pas aux règles d'un thriller classique dont on devine tout de suite la fin, nous sommes bien loin des 3 jours du Condor, réalisé à l'époque où Polanski était lui aussi au sommet de sa carrière pour ne citer que cet exemple. Faisant fi du retour de Polanski le film à lui seul ne remue pas les méninges mais interpelle par une réalisation maîtrisée et fortement empruntée. Beau mais quelque peu vide.
Sans vouloir trop rentrer dans la polémique "Polanski et les femmes" ni dans cette autre "Polanski et la politique", j'avoue rester assez perplexe devant ce Ghost Writer, sorte de thriller politique un peu pataud, qui ne tient que par la justesse des interprétations. Difficile en effet de ne pas lire entre les lignes des éléments autobiographiques dans cette histoire, et de loin pas les meilleurs. Qu'importe quelque part, qui suis-je pour juger l'homme ? Je ne connais rien de ses affaires si ce ne sont les racontars et les avis de personnes qui se disent plus informées qu'elles ne le sont. Au contraire, ce second niveau de lecture pourraient apporter un peu plus au film et lui donner ce corps qui lui manque tant. Si Polanski portait ici des thèmes comme la fourberie féminine ou l'isolement des puissants, on pourrait trouver l'œuvre bien construite et suffisamment subtile pour marquer. Qu'on y adhère ou pas ne doit pas rentrer en compte. On juge un film, pas un homme là. Mais le souci, c'est que ces ficelles semblent trop grosses et ne permettent pas de sauver le film de l'ennui dans lequel il nous plonge. C'est long, lent, bavard, un peu trop retord... Bref, banal. Polanski est un grand cinéaste, il l'a démontré à maintes reprises, mais il fait aussi des bouses, comme tout le monde. Ghost Writer en est un exemple. Si la critique a adhoré, c'est plus pour ce que représente l'auteur que pour le film lui-même. Les amateurs de théorie du complot iront chercher autre chose, je leur en laisse la responsabilité. Pour moi, sans parler de l'homme et de son histoire, que je ne connais pas, je dirais simplement que Ghost Writer est trop loin des attentes qu'on est en droit de poser sur un film de Polanski. Pas nul, mais franchement pas bien non plus...
JE ne peux pas dire que ce film est mauvais. Roman P. a un genre à lui, va t-on dire. Mais pour le coup, je n'ais pas vraiment accroché. L'histoire, semblant d'un thriller politique paraissait interessante (la BA mettant également l'eau à la bouche^^). On se retrouve devant un film qui démarre très timidement, et se montre même soporiphique. La 1ère heure en deviendrait presque interminable! C'est à partir de là, que cela commence un peu à bouger (bouger est ici un grand mot, je tiens à le préciser). Cette deuxième partie va t-on dire, se déroule un peu plus prenante que la première ; mais nous laisse perplexe et si l'on n'a pas vraiment accroché. Encore plus ininteressante. L'idée de base amenant pourtant la possibilité de réaliser un thriller assez prenant. MAis pour ma part, ce n'a absolument pas été le cas. Et encore, je ne parle pas du final qui posera quelques questions aux spectateurs...lool (sans trop en dire^^). Dommage, la mise en scène, la photographie et l'interprétation d'acteurs possédant un réel talent ; n'arrive pas à relever le film. Donc pour ma part je suis plus que déçu (même si bizaremment, je m'en doutais un peu^^). MAis je conçois, qu'il y a un potentiel et que certains puissent le voir comme un des films de l'années. Enfin, juste pas pour ma part (les gouts et les couleurs ne se discutent pas^^). A vous de juger.
Une intrigue fournie aux multiples rebondissements, mais subjectivement un ennui profond, et une fin évasive qui dénote avec le contenu scrupuleux sur les détails jusque-là. Malgré le duo Ewan McGregor et Pierce Brosnan, qui est plaisant (mais un peu une arnaque racoleuse de l'affiche : on ne les voit quasiment jamais ensemble, quelques minutes tout au plus !), je ne me suis jamais accrochée à cette intrigue politique et trop peu mystérieuse sur le précédent nègre (écrivain à la place d'un autre) qui a disparu. La longueur du film devient infernale et l'amourette avec l'épouse qui veut le divorce est de même ridicule. Seule la musique, que l'on trouve magnifique et envoutante tout le film, nous fait attendre le générique pour en découvrir, sans surprise pour les amateurs du Grand Homme, Alexandre Desplat. Délicieuse mélodie qui enrobe chaque scène, bien qu'elle ne réussisse pas à sauver l'ensemble des meubles de ce Ghost Writer. L'histoire semble en béton, mais subjectivement cela reste une impression car je ne l'ai pas suivi plus de dix minutes ponctuellement, noyée dans un ennui et une lenteur tous deux accablants. Mention quand même à la musique de Desplat, somptueuse.