Les plus utilesLes plus récentesMembres avec le plus de critiquesMembres avec le plus d'abonnés
Filtrer par :
Toutes les notes
Un visiteur
4,0
Publiée le 19 mai 2011
encore un troma génial. peut être le plus gore que j'ai vu. cette histoire de poulet zombis est hilarante et les chansons sont bien trouver. en tous cas un tromas à voir obligatoirement.
Poultrygeist pourrait être qualifié d'expérience filmique improbable, ou d'OFNI (objet filmique non identifié). la Troma, compagnie cinématographique volontairement fauchée, et productrice des narnard volontaires les plus gore et engagés, nous a ici concocté par l'intermédiaire de son mentor Lloyd Kaufman une série Z sortie de nulle-part. Scènes cultes et insalubres, diarrhées verbales au sens propre comme au figuré, rien ne nous est épargné pas même le synopsis (les esprits des indiens de Tromaville dérangés par l'exploitation d'un fast-food construit sur leurs tombes prennent location des corps des clients, les tranformants en affreux poulet "zombies". Un film que l'on réservera à un public plus qu'averti. Attention les Romero, Yuzna et autres Peter Jackson n'ont qu'a bien se tenir, "The Night of the Chicken Dead" c'est du lourd, du très lourd et ça ne sent pas la rose non plus... c'est surtout politiquement incorrecte, vulgaire, érotique et sale à souhait, et pourtant tellement drôle et décalé : que du bonheur en soit. On adore ou on déteste, en un seul mot : CULTISSIME Un moment d'anthologie pour la TROMA.
La société de production indépendante Troma nous fait les honneurs d'une énième bande-horrifique, mais cette fois-ci les producteurs et son réalisateur (Lloyd Kaufman) sont passés un cran au dessus en matière de gore. Vous pensiez avoir tout vu avec Street Trash (1987) ou encore Braindead (1993), détrompez-vous, car avec Poultrygeist : Night of the Chicken Dead (2006) on est dans le summum du trash, des hectolitres de sang, de matières visqueuses et fécales s'abattent sur vous (enfin, sur tous les murs, les acteurs et la camera) pendant plus de 90 minutes. Ce joyeux bordel a lieu dans un pseudo KFC (ACB - American Chicken Bunker), ce fast-food venant de s'implanter sur un ancien cimetière indien, très vite, les dérapages interviennent. Entre un groupe d'alter-mondialistes et des lesbiennes en furie venus pour protester contre l'implantation de cette "mal-bouffe", s'ajoute à cela une impressionnante malédiction indienne venue s'abattre sur les clients et le personnel du restaurant (c'est réellement à partir de là qu'il faut être à jeun sous peine de vomissements !). Bref vous l'aurez compris, c'est un véritable bordel incontrôlable (pas si incontrôlable qu'il en à l'air en fin de compte, tant le cinéaste s'est amusé à agrémenter son film de clins d'oeil cinématographiques). Une oeuvre trash et gore comme on en voit peu de nos jours, politiquement incorrect et irrémédiablement irrévérencieux et répugnant. Alternant l'immonde et l'humour noir, avec la comédie musicale (!!!), Lloyd Kaufman se moque de tout, des américains, des musulmans, de la politique, tout en critiquant ouvertement les fast-food, bref, vous en aurez pour votre argent, mais par pitié, protégez les âmes sensibles !
Désolé, mais pour moi, ce film n'est qu'une bouse immonde. Du politiquement incorrect, j'en ai vu du plus fin et plus intelligent. Et il ne faut pas comparer ça à Braindead, on ne mélange pas les torchons et les serviettes. Non, désolé, mais c'est nul. C'est débile, c'est pas drôle, c'est n'importe quoi, je me suis vachement ennuyé. Ce n'est qu'un navet pathétique.
Le scénario ne casse pas trop pattes à une poule mais ce n'est pas vraiment une jolie histoire qu'on est venu chercher dans cette "grosse" production Troma (en tous les cas moins fauchée que les autres productions de la firme). Lloyd Kaufman confirme son penchant immodéré pour le (très) mauvais goût, et nous, on jubile. Beaucoup de gore badin (ça gicle littéralement dans tous les sens), des pétages de plombs et des situations WFT extrêmes et irrévérencieuses. Kaufman doit se shooter à des trucs pas clairs. A réserver aux extrêmophiles à l'esprit ouvert.
Le film ultime de la Troma. Un projet qui, au final, coûte cher à la firme mais nous assure un spectacle visuel de toute beauté. Du gore en veux tu en voilà, L. Kaufman s'en donne à cœur joie sur son joyaux. On s'amuse vraiment devant ce délire sortant directement de la tête d'un génie.Tout est bon dans ce film, même les interludes musicaux, pas forcement utiles, sont réjouissants. Des scènes propres à devenir cultes. On en redemande.
IL nous est rarement donner de voir sur l'écran un condensé de l'excès américain. Ici, c'est chose faite, avec une opulence si démesurée que le film mérite immédiatement le statut de culte. Excessif dans tous ses aspects, comique gras et épais, gore cheap et créatures loufoques, tout pour se rendre sympathique. Mais si le film est réjouissant, ça n'en fait pas un chef d'oeuvre, loin de là...
Quand Troma s'en prend à l'industrie du fast food, ça fait mal ! Tourné pour un budget de misère (400.000 $), Poultrygeist en met plein la vue, avec son pitch loufoque, ses effusions de sang à faire palir Kill Bill et un enthousiasme permanent. Merci Mr Kaufman pour cette grande bouffée d'air frais décomplexée !
Ce film est génialissime, à crever de rire je dirais même plus, aussi déjanté voir plus qu'un Braindead ou Planet terror, tout le film est au même niveau de connerie, un niveau si élevé qu'il sera difficile de venir l'y chercher ! Des personnages aussi atypiques les uns que les autres, du double du futur au raciste zoophile, en passant par l'arabe en burka que tout le monde prend pour terroriste, ils sont tous ilarants. Les poulets zombifiés sont très bien faits, les costumes énormes, en parlant des effets spéciaux, on peut dire qu'ils sont d'un très bon niveau (dans un style proche de Braindead)au vu du ridicule budjet du film. 4/4 amplement mérité, chef d'oeuvre du nanard, mais il est bien plus que cela !!
lloyd kauffman est de retour en grande forme et ca fait plaisir ce poultrygeist est un bijou d'humour noir et de gore sur fond de critique de la societe americaine bref du troma pur et dur...