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    Bienvenue en enfer
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    2,6
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    8 critiques spectateurs

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    AMCHI
    AMCHI

    5 777 abonnés 5 936 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 20 février 2009
    Un sympathique petit film d'horreur, pas effrayant mais très rythmé, on n'a pas le temps de s'ennuyer en le regardant.
    anonyme
    Un visiteur
    3,5
    Publiée le 9 novembre 2019
    Film bien 'barré' comme on dit, c'est une ode aux années 1990 avec sa débauche de couleurs et de sons saturés ainsi que ses paysages désertiques à perte de vue. Bienvenue en enfer (ou Highway to Hell) est plaisant pour celui qui veut regarder un film d'épouvante. D'ailleurs épouvante vite vu car en fait c'est tellement déjanté que l'on a du mal à frissonner en le regardant, toutefois l'on ne s'y ennuie pas non plus et si on se laisse emporté par le délire, alors on passe un très agréable moment dans cette plongée aux enfers.
    Fêtons le cinéma
    Fêtons le cinéma

    685 abonnés 3 005 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 4 avril 2023
    Highway to Hell oscille entre le bricolage malin et la démesure (narrative, esthétique), les élans superbes et les coups de frein donnés à la dynamique d’ensemble. Cette relecture tonitruante du mythe d’Orphée et d’Eurydice surprend par sa profonde liberté, quoiqu’elle se revendique de l’influence de la saga Mad Max (George Miller) et, plus généralement, du cinéma australien – on pense aussi au Razorback (1984) de Russell Mulcahy pour la peinture d’une faune dégénérée qui réagit à l’arrivée de personnages étrangers, ou encore à l’escouade terrifiante de The Cars That Ate Paris (1974) conçue par Peter Weir. Le décor désertique, ici capté dans les canyons de l’Ouest américain, partage cette attention portée à l’Outback, ensemble de territoires délaissés dans lesquels survivent les déclassés, les marginaux et les criminels ; en faire la zone d’entrée vers l’Enfer est une idée plutôt pertinente, rejoignant le calvaire enduré par la famille américaine moyenne dans The Hills Have Eyes (Wes Craven, 1977). Le visage de l’agent de police rappelle d’ailleurs les difformités faciales. Pourtant, l’ambiance électrique qui pèse sur le long métrage, l’écriture du scénario par étapes balisées qui insère Charlie dans un récit d’apprentissage de la violence adulte, la fétichisation de la figure du policier, l’attrait pour les courses de bolides lancés à toute allure, les situations proches du buddy movie, l’adoption d’un jeune garçon, tout cela ancre résolument le film dans le cinéma d’action de son temps.
    Sa qualité principale réside alors dans l’univers mis en place, digne d’un conte initiatique : chaque lieu traversé en véhicule est visité, qu’il s’agisse de la taverne, de la boîte de striptease, du diner où l’on fait cuire viandes et œufs à même le sol du seuil extérieur ; la course-poursuite est l’occasion d’une cartographie surréaliste de ce parc d’attractions horrifiques, plein de mirages et de déjà-vus. La composition des plans n’est pas sans rappeler certaines toiles de Salvador Dalí, augmentées d’un bestiaire satanique tout droit sorti des œuvres de Jérôme Bosch – nous apercevons d’ailleurs l’une d’elles dans l’antre du démon.
    Highway to Hell propose donc, à sa façon, un dialogue entre les arts : il mêle astucieusement références picturales, cinématographiques et musicales au profit d’un long métrage jouissif quoique inégal par moments – la scène réunissant Adolf Hitler et Cléopâtre laisse à désirer… – et convertit un budget modique en une source de créativité apparemment inépuisable. Une curiosité à découvrir, signée par un réalisateur hollandais autre que Paul Verhoeven : Ate de Jong.
    anonyme
    Un visiteur
    4,0
    Publiée le 26 novembre 2016
    Quatre étoiles par nostalgie pour ce film qui ne se prend jamais au sérieux, mais qui entraîne malgré tout une certaine tension, tout en étant fun et léger. Un tel mélange aussi bien maîtrisé, je ne l'ai jusqu'à présent vu que dans la saga "retour vers le futur", même s'il va de soit que les deux sont incomparables d'un point de vue qualitatif. Seul regret, Bienvenue en enfer est malheureusement très difficile à dénicher, puisque jamais édité en dvd (du moins la V.F.). Aussi, cela fait plaisir de revoir Adam Storke, que j'ai beaucoup apprécié dans "le fléau".
    albancinedvd63
    albancinedvd63

    15 abonnés 346 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 19 octobre 2023
    Bien fun et déjanté, des décors très colorés, des personnages loufoques (surtout dans le bar), des clins d'œils bien pensés, des acteurs en roue libre... merci les années 90 pour nous offrir ce genre d'ovni inclassable (horreur? Road Movie? Fantastique ?...) écrit par un futur très bon réalisateur (Helgeland).
    anonyme
    Un visiteur
    3,5
    Publiée le 28 novembre 2014
    Sympathique film d'épouvante-aventure sans prétention, mais qui ne nous ennuie jamais avec ces effets spéciaux à la papa. Excellent divertissement à ne pas manquer pour se laver un peu l'esprit des navets prise-de-tête actuels.
    Yannickcinéphile
    Yannickcinéphile

    2 389 abonnés 4 427 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 26 octobre 2024
    L’autoroute de l’enfer est un très sympathique petit film dans le genre comédie fantastique (plus que vraiment horrifique quand même), tombé dans l’oubli et pas exempt de défauts, mais très fun à visionner. Ok, Chad Lowe n’est pas vraiment marquant. Il manque de jeu, il est un peu fade, il est investi, je dis pas, il transpire sur le plateau, ça se voit, mais il ne semble pas complètement à l’aise dans ce film, pas tout à fait embarqué dans le grand 8 qu’il représente et dans sa fantaisie décalée. Après il est jeune, il colle plutôt bien au personnage, il n’est pas vraiment mauvais, mais il lui manque du punch, une aisance que sa collègue, Kristy Swanson dégage davantage. Charmante par ailleurs, elle s’amuse beaucoup plus avec l’ambiance, l’univers, notamment à l’occasion d’une scène assez cocasse ! Bergin est plutôt convaincant dans un rôle faussement mystérieux et le jeune Jarrett Lennon arrive à ne pas être l’insupportable gamin de service ! Ouf ! A noter que pas mal de seconds rôles prennent le pas sur les rôles principaux grâce à leur excentricité, leur look improbable (mention spéciale à la succube et à la tenancière du bar !) qui amènent beaucoup de fun à l’ensemble.
    Le scénario est assez foutraque et plus ou moins improbable ! De surcroît le film introduit plein de trucs qui ne sont finalement quasiment pas exploités (le personnage de Clara). C’est un joyeux bordel pour ainsi dire ! Mais le résultat s’avère divertissant. Le film est très bien rythmé, il y a beaucoup de surprises, de l’humour, un sens de la loufoquerie et de l’absurde bien amené, un esprit clairement « Evil Dead » mais les trois premiers. On a cette ambiance déjantée, avec, à mon sens, plus l’esprit du 3e épisode. Donc oui, si vous cherchez de la cohérence, faudra repasser, mais pour ma part j’ai trouvé l’ensemble imaginatif et sans temps mort, c’est fun et drôle, je peux passer sur une écriture bordélique par moment.
    Formellement, et c’est là qu’on évolue pas dans un Evil Dead, la mise en scène est timorée. Le réalisateur n’arrive pas vraiment à donner d’ampleur à sa réalisation, les scènes d’action restent à un stade assez timide, il y a un manque d’audace certain dans les plans et les cadrages. Heureusement, le film peut s’appuyer sur des décors vraiment convaincants, de beaux maquillages (la succube est superbe et fait carrément illusion aujourd’hui), une grande imagination dans les décors et les accessoires. Le côté comique du film parvient à faire passer certaines maladresses, notamment un Cerbère en animation image par image un peu léger, surtout comparé au travail d’Harryhausen dans le domaine, mais la séquence qui l’introduit est tournée très intelligemment à l’humour et le gag fait oublier les fx moyens. A noter que si le film n’est pas vraiment violent, il y a quelques pointes d’humour noir un peu glauque (la broyeuse est l’une des scènes les plus marquantes du film) avec une violence qui pourra quand même déranger le jeune public. La bande son, plutôt convaincante (sauf le générique, assez assourdissant), aurait toutefois pu lorgner plus vers du rock ou du hard rock plus dans l’esprit du film.
    Ma conclusion est que L’Autoroute de l’enfer est un petit film très divertissant en dépit de ses défauts. Il remplit parfaitement le cahier des charges de la comédie fantastique lorgnant vers l’horreur et l’on passe un très bon moment. Dommage quand même qu’il y a des aspects négatifs certains qui l’ont sans doute empêché, d’ailleurs, de marquer les esprits à une époque où pourtant ont aimé bien mélanger horreur et comédie avec le succès que l’on connait (Gremlins, Evil Dead…). 3.5
    Chinois Vert
    Chinois Vert

    2 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 7 juillet 2024
    Un bon vieux film d'horreur bien sympathique à prendre au second degré. Les costumes des "démons" sont très bien fait.
    Les meilleurs films de tous les temps
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