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    Death Wish
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    soniadidierkmurgia
    soniadidierkmurgia

    1 202 abonnés 4 186 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 8 octobre 2018
    Depuis 1990, Bruce Willis enchaîne près de trois films par an. Fatalement la qualité sinue pour celui qui fut l'un des symboles de la virilité au temps de son heure de gloire quand il était l'invincible John MacLane de la saga "Die Hard", tenant la dragée haute aux Sylvester Stallone, Mel Gibson et autres Schwarzenegger. spoiler: Depuis une décennie les grands rôles se faisant plus rares, Bruce Willis se contente de capitaliser sur son image patiemment construite de cogneur à l'humour bon teint
    . Il arrive assez tardivement sur le projet de remake d' "Un justicier dans la ville" qui couve à Hollywood depuis 2006. Le film de Michael Winner avec Charles Bronson sorti en 1974 avait fait scandale pour sa promotion de l'auto-défense. Son succès commercial à défaut d'être critique avait entrainé ad nauseam une série de suites qui en plus d'entrainer vers le fond la carrière de Bronson avait fait oublier les qualités indéniables du premier opus pas si manichéen qu'on avait voulu l'affirmer à sa sortie. C'est Eli Roth qui remplace en 2016 Joe Carnahan initialement prévu à la réalisation. On connait le sens de l'efficacité du réalisateur de "Hostel 1 et 2", "Green Inferno" et "Knock, Knock". Il ne déroge pas ici à la règle tout en restant très fidèle à l'esprit de Michael Winner qui avait pris le soin d'exposer très longuement la montée du désir de vengeance du mari frappé par la mort de sa femme. Bruce Willis est ici un chirurgien là où Charles Bronson était un architecte, renforçant encore le paradoxe du déclenchement de la violence chez un homme dont la civilité initiale est largement exposée. Bruce Willis se glisse sans problème dans la peau du personnage, apportant la distance qui fait tout le sel de son jeu. "Death Wish" peut donc se révéler être un bon divertissement à condition de ne pas prendre son propos au premier degré.
    mrVHS
    mrVHS

    2 abonnés 44 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 10 octobre 2018
    Une bonne morale, mais on reste sur sa faim! On s'attend à un peu plus d'action et de justice: on va dire que c'est le stricte minimum et que ça rend pas honneur à l'original death wish (désire de mort ou souhait de mort) ou devrai je dire "le justicier dans la ville" ou "le justicier de new york" enfin suivant les films car en France il a été renommé ainsi et que cela me correspond mieux, je préfère et de loin Paul Kersey interprété par le défunt Charles Bronson...
    Ilaîm K
    Ilaîm K

    22 abonnés 78 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 6 octobre 2018
    Grosse surprise ! Moi qui m'attendais à un film violent à la sauce Bruce Willis, j'ai été embarqué dans cette histoire de vengeance. On ressens beaucoup d'empathie pour ce cardiologue qui perd toute sa famille et pour qui la police ne fait rien. On comprend son sentiment de vengeance rendant l'histoire très passionnante.
    orlandolove
    orlandolove

    137 abonnés 1 722 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 6 octobre 2018
    On peut discuter de la portée politique du film : pro ou anti-arme, etc. On peut aussi décider de prendre "Death Wish" pour une série B bien musclée, solidement mise en scène et portée par un Bruce Willis toujours aussi mauvais (mais c'est comme ça qu'on l'aime). Ca donne envie non ?
    Marc L.
    Marc L.

    46 abonnés 1 607 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 4 octobre 2018
    Du ‘Justicier dans la ville’, je conserve principalement la mémoire des épisodes postérieurs dans lesquels, toute controverse évacuée, les excès en tous genre transformait le polar sombre et radical qu’était l’épisode fondateur en gros délire Z involontaire. J’ai par exemple le souvenir flou d’une scène où Bronson achevait le Bad Guy au lance-roquettes. C’était con, c’était drôle et c’était généralement ce qui arrivait quand la Cannon rachetait une franchise. Ce qu’il y a de bien aussi avec cette série, c’est qu’elle est idéale à citer pour animer une fin de banquet un peu ennuyeuse : il suffirait de lâcher un désinvolte “Vous savez qu’ils ont refait Un Justicier dans la ville ?� pour que les uns entament une polyphonie de gorges chaudes sur cette démonstration définitive de l’immaturité barbare de la culture américaine, tandis que les autres maugréeront, de manière plus ou moins audible, que vu le nombre de clodos, d’étrangers et de punks à chiens qui volent l’oxygène des honnêtes citoyens qui se lèvent tôt, il faudrait davantage de Charles Bronson dans les rues. C’est indéniablement très marrant mais hors-sujet dans le cas de ce remake, surtout qu’Eli Roth n’a probablement rien à dire sur la justice sauvage, pas plus qu’il n’avait à dire sur le cannibalisme dans ‘Green inferno’. Fan de cinéma de genre, y compris dans ses recoins les moins fréquentables, l’homme s’est démerdé pour proposer un remake à la finalité trouble qui joue avec les codes du vigilante-movie et souffle alternativement le chaud et le froid - l’humour décalé et le premier degré pur et dur - pour déjouer toute éventuelle lecture trop orientée : Il y a Bruce Willis, acteur en perdition qui incarne un justicier maladroit et pas trop habitué au maniement d’armes. Il y a ces pubs pour des armureries, hilarantes parce qu’on devine qu’elle ne sont sans doute pas très éloignées de la réalité, il y a ces mises à mort qui vont toujours un cran trop loin dans le craspec et qui donnent l’impression d’être là uniquement pour rappeler que Roth fut l’homme derrière ‘Hostel’. Il y a ces commentaires implicites sur l’omniprésence de la surveillance, qu’elle soit urbaine ou sur les réseaux sociaux, qui change la donne pour l’apprenti-justicier. Au final, ‘Death wish’ se retrouve affublé d’un côté genresque plutôt divertissant...tout en se retrouvant paradoxalement vidé de toute substance puisque tout l’intérêt des premiers épisodes des années 70 et 80 provenait justement de cette vision ouvertement réactionnaire, voire fascisante, et de leur apologie assumée de la justice personnelle la plus expéditive. Honnêtement, si on ne savait pas qu’on était en face à un reboot d’une franchise célèbre, pas sûr qu’on se soit automatiquement retourné sur ce qui n’est pas beaucoup plus relevé que le Policier du dimanche soir sur TF1...à supposer, bien sûr, que ce dernier comporte des séances de torture et des organes apparents.
    Gustave Aurèle
    Gustave Aurèle

    145 abonnés 2 433 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 5 octobre 2018
    Un bon film de vengeance, pas toujours crédible mais qui pose un problème de conscience tout en restant bien pensant.
    Dr. La Peloche
    Dr. La Peloche

    47 abonnés 242 critiques Suivre son activité

    1,5
    Publiée le 24 septembre 2018
    Eli Roth... Mauvais acteur occasionnel et réalisateur surestimé qui se rêve en monstre sacré... Toute sa filmo est d'ailleurs basé sur ce projet : de l'ultra-violence (comme Dario Argento), des films de genre et des sujets dits "tabous" (comme Cronenberg), des gadgets (comme Robert Rodriguez), des acteurs cultes sur le retour (comme Quentin Tarantino), etc Bref, il copie sans vergogne mais surtout sans le moindre talent.
    "Death Wish" en est le parfait exemple.

    Alors que les années 2010 sont dominées (médiatiquement parlant) par une certaine bien-pensance et une idée du vivre façon arc-en-ciel qui n'existe que dans les soirées sous THC des villas ultra-sécurisé des beaux quartiers de LA ou dans les penthouses de Tribeca, et que le cinéma fait la chasse à la figure virile pour la remplacé par... bon, on ne sait trop quoi mais il essaye du moment que ça fait vendre quelque chose derrière, Eli Roth tente de prendre tout ce petit monde bien bobo (dont il fait pourtant parti et qui finance ses films, mais ceci est un autre débat...) à rebrousse-poil en pondant un film de vigilante avec Bruce Fucking-yeepee-kayeh Willis, monsieur marcel et fusil d'assaut himself !

    Sûr que l'idée est séduisante, juste un soucis : Eli roth n'a aucun talent !!!

    En revanche, il sait s'entourer de personnes qui en ont, elles, du talent. Comme son chef opérateur ou son directeur de la photographie, qui fait un travail remarquablement léché, ou encore les mecs qui gèrent les effets spéciaux : visuellement, les exécutons sont impeccables et rendent vraiment bien (mentions pour le "cric" et la chute dans les escaliers). Je suis certain que même l'assistant qui lui apporte son café le mieux que personne ! Mais comme tout ce petit monde est à son service... le résultat ne peut qu'être correct, sans plus. Et c'est le cas ici. Rien à reprocher à Môssieur Willis dans son rôle de médecin froid, stoïque même si cela est parfois déroutant, les scènes d'émotion (dans le métro, etc.) arrivent à point nommé, hélas, comme l'ensemble du film, il ne s'en dégage absolument aucune émotion, rien que pouic. Comme dans tous les films d'Eli Roth, qui en est tout simplement incapable. Il le sait d'ailleurs si bien qu'il tente de masquer cette infirmité filmique capitale par le visuel. Habituellement, on a droit à du gore, mais là... et bien heureusement que son équipe et les acteurs ont du talent !

    En dehors de manque total d'émotion (la femme du mec meurt tout de même !), il faut également noter des incohérences gênantes comme sa fille qui est dans le coma, en sort en mode "coucou tout va bien" et se remet en un jour de la mort de sa mère (avec une part pizza, tout va !), pas de traumatisme particulier... rien ! ou encore les deus ex machina bidons comme le méchant qui lui tombe dans les mains à l'hosto, tiens ! tout juste quand je commence à me prendre au jeu du justicier dans la ville ! Et je passe sur les flics inutiles (en terme de scénario, j'entends) ou la brigade scientifique qui semble être incapable de relever les milliers (au moins !) d'empreintes du vigilante le plus con du monde puisqu'il ne connait pas l'usage des gants (un comble pour un médecin, non ?).

    En définitive, vouloir choquer, que ce soit par visuellement à grand renfort d'effets gores ou idéologiquement parlant (même s'il n'y a rien de pro-NRA dans ce film, arrêtez de délirer, les gens ou à ce tarif Die Hard est un film de fachos...) n'a aucun intérêt si le récit est simpliste et l’exécution médiocre. Bruce Willis ne démérite pas dans ce film, mais il mérite surtout bien mieux que cela...
    fanzy23
    fanzy23

    3 abonnés 592 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 21 septembre 2018
    L'histoire de Death Wish est simple. Un type perd quelqu'un de proche, il se la joue vigilante et va buter les mecs qui ont tué son être cher. « Death Wish » est un film d’action plaisant, disposant d’une histoire complètement revisitée et modernisée avec une intrigue et un développement classique. Le rythme est plaisant et les scènes d’action sont très réalistes offrant à Bruce Willis un rôle qui lui convient parfaitement.
    benitoberlon
    benitoberlon

    59 abonnés 971 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 21 septembre 2018
    Ce remake du Justicier (que je n'ai pas vu) est divertissant, bien calibré et réalisé, on reconnait le style Elie Roth, pour les aspects gore mais aussi la lumière.
    Pour le reste, même si l'histoire est sympa, tout est bâclé, de l'évolution du personnage qui est risible (comment passer en 3 jours d'un statut de chirurgien pacifiste à un véritable justicier tueur de sang froid) jusqu'au nombreuses coïncidences grotesques (le revolver trouvé en salle d'opération, la montre, etc etc)...
    Mathieu B.
    Mathieu B.

    32 abonnés 766 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 19 septembre 2018
    Paul Kersey (Bruce Willis) est chirurgien urgentiste et mène une vie de rêve, en famille, dans les beaux quartiers de Chicago… jusqu'au jour où sa femme est sauvagement tuée lors d’un cambriolage qui tourne mal… Sa fille de 18 ans a survécu mais reste plongée dans le coma. Face à la lenteur de l’enquête, il se lance dans une chasse à l’homme sans merci.
    Contrairement à d'autres "vigilante movies", Kersey ne se lance pas tout de suite à la recherche des tueurs. Bruce Willis incarne un chirurgien qui maîtrise ses nerfs et qui n'aime pas la violence (cf. la scène au bord du terrain de foot où un type le provoque). Mais le désastre qui lui arrive vient chambouler ses certitudes et, devant la violence qu'il côtoie tous les jours à l’hôpital, il décide d'agir en éliminant des petits caïds qui terrorisent des honnêtes gens.
    Très vite, ce justicier encapuchonné est surnommé "le croque mort" par les habitants de la ville, et les vidéos de ses fusillades mises en ligne déclenchent des débats parmi les habitants de Chicago, qui sont assez nombreux à se féliciter de sa façon expéditive de gérer la délinquance.
    Ce n'est que par hasard qu'il voit arriver à l’hôpital l'un des cambrioleurs de sa maison, ce qui lui permet de retrouver ses compères et de les liquider l'un après l'autre.
    Le réalisateur nous épargne pas mal d'éclaboussures, à l'exception d'une scène de lacération du nerf sciatique d'un des cambrioleurs par Paul Kersey.
    Le casting est plutôt pas mal avec un Bruce Willis que j'ai trouvé très convaincant dans son rôle de "papa normal" puis excellent dans son rôle de "Croque mort" inexpérimenté. Vincent D'Onofrio incarne le "frère raté" de Paul Kersey, qui demande régulièrement de l'argent à ce dernier et qui a fait un passage par la case prison. Il n'en fait pas trop et livre une prestation tout à fait correcte. Dean Norris incarne un flic qui est plus malin qu'il n'en a l'air, mais qui est aussi assez compréhensif, comme le montre les derniers instants du film.
    Enfin, le rythme est très dynamique et on ne voit pas le temps passer. Ce film atteint aisément les 3.5 étoiles, et aurait presque mérité 4 étoiles avec un peu plus de profondeur et de subtilité.
    Objectivons
    Objectivons

    322 abonnés 2 949 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 8 novembre 2020
    Death wish est pour moi le vrai retour de Bruce Willis au cinéma (en 2018 donc) après des années de "directement en dvd" suite au décevant Die Hard 5 (2013) qui avait presque mis fin à sa carrière. Les productions auxquelles il participait ne méritaient clairement plus de sortir sur grand écran.
    Le film est doté d'un rythme plutôt entraînant, de suspens, et il est correctement joué notamment par un Bruce Willis qu'on est enfin à nouveau heureux de suivre.
    Il s'agit d'un remake du film du même nom (signifiant pourtant littéralement "Souhait de mort"), titré en français "Un justicier dans la ville"n qui avait donné une saga de cinq films, avec Charles Bronson, que je vous invite à voir car la saga se regarde toujours plaisamment une cinquantaine d'années après sa sortie.
    chrischambers86
    chrischambers86

    13 965 abonnés 12 478 critiques Suivre son activité

    1,5
    Publiée le 10 septembre 2018
    Bruce Willis est un acteur douè mais qui tourne trop et se commet dans un nombre incalculable de Direct-to-DVD de seconde zone et oubliès aussitôt que vus! On n'attendait pas grand chose de ce remake de "Un justicier dans la ville" où Charles Bronson devenait un tueur de voyous à la suite du viol de sa fille et du meurtre de sa femme! On n'attendait donc rien de Willis dans la peau de Paul Kersey qui ne joue pas ici un architecte mais un chirurgien urgentiste! On n'avait pas tort : malgrè la prèsence de la belle Elisabeth Shue, "Death Wish" version 2018 s'avère un remake sans surprise! Quelle dèception quand même car ce n'est pas ce qu'on souhaitait voir à l'arrivèe! On pensait voir un film coup de poing, au meilleur sens du terme, qui soit ancrè dans l'Amèrique actuel et qui nous mette face à la rèalitè! Au lieu de ça, cette version 2018 sur fond d'AC/DC n'apporte rien de nouveau par rapport au classique novateur de Michael Winner! Loin de dèlaisser son style habituel, Eli Roth multiplie les scènes sanglantes pour mieux masquer la vacuitè du scènario! On louche du côtè d'un spoiler: "Drive"
    pour sa violence extrême ou d'un spoiler: "Unbreakable"
    pour son hèros à la capuche qui se fait justice lui-même! L'essentiel tient finalement à quelques fulgurances! spoiler: Et puis la fille de Kersey qui sort au bout de huit jours après un coma èprouvant entre la vie et la mort n'inspire pas la moindre èmotion devant un personnage vidè d'intèrêt! En revanche, le flic en mode du « sans gluten » a vraiment la gueule de l'emploi!
    A peine passable...
    Thibault F.
    Thibault F.

    56 abonnés 822 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 3 septembre 2018
    J'apprécie beaucoup le cinéma de Roth puisqu'il explore des thématiques du cinéma Bis des années 70-80 afin de les remettre au goût du jour. Prolifique dans le genre horrifique, Death wish est une exception même si ce dernier transpire une énergie, une atmosphère qu'on pouvait retrouver dans la franchise cinématographique porté par Charles Bronson avec Un justicier dans la ville. Or, cette nouvelle adaptation est fraîchement d'actualité notamment sous la présidence Trump et les montées de violence qui sévissent à travers les Etats-Unis. Ici, le cadre prend sur Chicago, bastion de la mafia, une des villes les plus dangereuses du continent nord-américain où les meurtres se comptent par dizaine tous les jours. On pourrait penser que cette violence concerne une minorité de personne mais Eli Roth fait le choix de la démonstration en prouvant que la violence peut devenir quotidienne et d'une extrême banalité en évoquant le choix désespéré d'un chirurgien pour venger le massacre de sa famille après le désarroi et l'incapacité de la police à faire justice. Rien de mieux que Bruce Willis - en grande forme - pour porter le premier rôle de cette petite production qui n'épargne rarement le spectateur des faits de violence. Ce qui m'a particulièrement plu, c'est l'ambiance de Chicago qui est dépeinte. Tout semble gris, sombre à la manière d'une ville livrée à elle-même. Avec plusieurs seconds rôles de qualité mais franchement dispensable (notamment le frère de Kersey joué par Vincent d'Onofrio), une intrigue peu originale - et sentant le réchauffé - Death Wish divertit sans convaincre. Un des plus faibles de Roth sans l'ombre d'un doute.
    anonyme
    Un visiteur
    1,0
    Publiée le 31 août 2018
    En plus d'être un gros nanard, d'un point de vue moral, ce film pue du début jusqu'à la fin. Pro-armes, pro-vengeance, pro-violence, sans recul ni interrogations. Bruce Willis enchaîne les films ridicules aux discours malsains et s'éloigne de la postérité.
    Vincent B.
    Vincent B.

    4 abonnés 31 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 28 août 2018
    J' ai bien aimé ce film. C est le retour de Bruce Willis . Il faut bien dire qu il tournait pas mal de navet dernièrement. Une histoire de vengeance après le meurtre de sa femme. Ça déménage bien.
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